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Roland furieux, Tome I

Auteur : Arioste, L' (1474-1533)

Editeur : P. Masgana

Date : 1842

Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800

  • , les termes qui en rehaussent le mérite et l’ utilité, les vérités qui leur sont à la fois un guide et un but. Ce livre est une belle manifestation poétique en même temps qu’ un acte de haute moralité. NOUVELLES SATIRES. 1 vol. in-8. . . 7 fr. 50 c
  • de sty le con tin u e, telle est la d o ub le tâche que se son t imposée les traducteurs du divin A rioste. L es su ffrages du public et l'approbation de la critiq ue prouvent qu’ ils l’on t rem plie. E n e ffe t, rapprochée du texte italien, cette
  • , exécuté vers par vers (et qui rend cet ou vrage com m e propre à l'E d ite u r), ajoute encore à sa perfection. L e chem in du m ieux ne sa u rait ja m ais être fe r m é ; l’ É d iteu r ose dire cependant qu ’ un nouveau trad u cteu r d ’A rio ste
  • éviterait d iffici­ lem ent a ujou rd’ hui les traces de ses deux devanciers. — Com m e exécution typ o grap h iq ue, on rem arquera qu ’on a ram ené ici à deu x volum es les cinq volum es des éditions p récéd en tes; que si on n’a point poussé plus loin
  • que le Tasse, moins voisin des troubadours que Pétrarque, mêlé autrement que Dante aux affaires de ce monde, c’est par l’in­ spiration seulement qu’ il ressemble à ces trois grands poètes. Il ne dépasse pas les proportions communes; ses souffrances
  • u r e u x , qu’ il devait un jour faire oublier en le continuant, en était le gouverneur. Sa famille était pauvre, mais noble, et son père avait eu la faveur d’Hercule d'Est, duc de Ferrare. Louis était l’aîné de dix enfants q u i, orphelins de bonne
  • T hisbé ; il en fit une tragédie qu’ il représentait avec ses frères et scs sœurs : c’était apparemment une réminiscence de ses lectures d’Ovide. Jaloux de cultiver ses belles dispositions, son père l’envoya à l’ université de Ferrare, où il étonna
  • lettres et des sciences en Europe. (A. de L. ) VIE DE L ’AR IOSTE. v doute, dans sa servitude enviée de Ferrare, l’Arioste se demanda s’il avait eu bien raison de ne pas tenir compte de la sage prévoyance de son père. I Quoi qu’ il en soit, il avait
  • langage évangélique d’ une exquise mélancolie, aux pensées de Marie il dut faire succéder l’œuvre de Marthe. Le rêveur se réveilla père de famille. Il paraî t qu’ il se dévoua avec courage à ses nouveaux de­ voirs ; il en parle en termes qui le font aimer
  • beauté, et, en dépit des témoignages les plus authenti­ ques, l’ imagination ne veut replacer dans ces jardins délicieux, au bord de ces fontaines de marbre, devant ces grandes fresques, entre ces statues vivantes, qu’ une société che valeresque, peuple
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L'Italie et le romantisme français

Auteur : Bisi, Alceste

Editeur : Albrighi|Segati

Date : 1914

Sujets : Romantisme -- France| Littérature française -- Influence italienne -- 19e siècle| Romantisme (mouvement littéraire) -- France

  • medioevo. Torino, Loescher, 1882, vol. Ier, chap. 1er. Rutilius Numatianus passa les Alpes au com­ mencement du V esiècle, séjourna à Rome pendant quelque temps, et ce ne fut pas sans regret qu’il dit adieu à la ville qu’ il devait appeler plus tard sa
  • IIe siècle: leurs ex­ ploits et leurs aventures charmèrent nos cours féodales, inspirèrent nos artistes et nos poètes 2). Et quand, un siècle plus tard, la France nous envoya aussi les légendes du cycle antique qu’ elle 1) G. P aris, La Sicile dans la
  • cours magnifiques de ses princes, ses fêtes splendides, ses merveilles étonnantes, fut une révélation. Ils sentirent, pour la première fois, ce qu’ était la vie embellie par 1’art et les plaisirs, et lorsqu’ils repassèrent les Alpes, leur pays leur parut
  • froid, terne, sau­ vage. Ils sentirent le besoin de le rendre plus 1) Eug. Müntz, La Renaissanoe en Italie et en France à l’ époque de Charles VIII, Paris, Firmin-Didot, 1885. Il paraît aujourd' hui qu ’E ug. Müntz faisait une trop large part à l
  • . Les poètes et les savants qui l’ entourent, soit à la cour de son frère, soit dans les magnifiques résidences qu’ elle s’ était préparées à Nérac et à Pau, vien­ nent souvent s’ abreuver aux sources mêmes de la poésie et de la science. Mellin de Saint
  • manifeste, que tous les écrivains français se fissent Romains, ou qu’ ils s’emparassent au moins des dépouilles de Rome pour en orner leurs temples et leurs autels. Mais tandis qu' en Italie la Renaissance s’était épanouie dans un moment de calme et de tran­
  • ) Deffense et illustration de la langue f rançoise (1549). * On sait qu’ en France, le X V IIe siècle se di­ vise en deux périodes bien distinctes: la première comprend le règne de Louis X III et la Régence d’ Anne d’ Autriche; la seconde comprend le règne
  • les modèles italiens les avait entraînés plus loin qu’ ils n’auraient dû aller : en peinture, particulièrement, l’ imitation étrangère avait été désastreuse 1). La réaction s'imposait, et elle fut d’ autant plus ardente qu’ elle était dirigée 1) P e
  • France, dans la vie, dans les mœurs, dans les lettres. C’ est une demi-italienne, la lille d’ une Savelli de Rome, Catherine de Vivonne qui, en 1608, inaugure à Paris la vie de société: c’ est d’ après la pastorale italienne fondue avec l’ e­ spagnole, qu
  • ’ en 1610 d’ Urfé écrit son Astrée : c’est sous la protection officielle de Chapelain qu ’ en 1623 le cavalier Marin fait imprimer son Adonis. Mais l’ affectation et l’ enflure où notre litté­ rature était tombée, encourageait et justifiait les
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Erasme et l'Italie

Auteur : Nolhac, Pierre de (1859-1936)

Editeur : Les Cahiers de Paris

Date : 1925

Sujets : Érasme (1469-1536) -- Appréciation -- Italie

  • auprès des Anciens, nos communs maîtres. L'essai qu 'on va lire, et qui respire ces idées sans les exprimer, fut écrit par un jeune éru­ dit, pour compléter un travail paru sous ce titre : Érasme en Italie, élude sur un épi­ sode de la Renaissance, avec
  • . J’essayais déjà d’expliquer com­ ment et sous quelles influences. J'insistais sur­ tout sur la nécessité de disjoindre complètement les deux notions de Renaissance et de Réforme. L'idée en était moins familière qu aujourd’hui, où l’on commence à voir plus
  • , et dans un moment décisif pour les destinées de la Renaissance. Ses liaisons y furent très nombreuses et ses études très variées. Beatus Rhenanus nous dit bien qu’ « il apporta dans ce pays la science que les autres y venaient chercher » ; mais c’est
  • praeclare, ne vous servez pas de cette langue ; je ne l’entends pas plus que la langue indienne. » Ruccellai s'obstine, et la conversation ne va pas plus loin. Si Erasme a rencontré beaucoup de semblables résistances, on comprend qu’ il ne se soit pas fait
  • palais ducal ; les Bellini, les Carpaccio, les Palma peignent dés saints pour les églises, et le siècle de Titien s’ouvre déjà par une fêle perpétuelle des sens et de l’esprit. Ce qui excite plus encore l’étonnement d’Érasme, c ’est la société qu ’il voit
  • chez Alde et qui lui offre dès l’abord droit de cité. Le monde littéraire de Venise n’est pas celui qu ’il a rencontré à Bologne ou qu’il va trouver un peu plus tard à Padoue. Les lettres n’y sont point cultivées seulement, com m e dans les villes
  • latines et humaniste renommé, qui ne voulait pas m ourir sans avoir goûté aux leçons de grec qu ’il n’avait pas ren contrées dans sa jeunesse. Ce trait suffit à peindre l’ardeur studieuse des Italiens du second Age de la Renaissance, leur soif égale des
  • est un des chefsd ’œuvre du palais Pitti. Érasme le vit sou vent, et usa de son obligeance pour visiter le Vatican, dont il était bibliothécaire. On assure qu ’lnghirami conduisit un jou r Érasme dans l’atelier de Raphaël. Celte anec d o te a quelque
  • qu’ils reflètent leurs pas­ sions et répondent à leurs incertitudes ; pour que ce nom reste dans la mémoire de l’avenir, il faut qu’il soit maudit et calom ­ nié, qu ’il retentisse longtemps dans les con tradictions et les colères ; si le philosophe veut
  • que l’Europe s'émeuve à sa parole, il faut qu’ il devienne le triste solitaire de Bâle, désigné par son isolement à la haine des partis. Telle est la vie qui l’attend désormais. En quittant l’Italie, où il n’a guère goûté que des joies, c’est au
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Lettres écrites d'Italie

Auteur : Rabelais, François (1494?-1553)

Editeur : H. Champion

Date : 1910

Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle

  • N PEYRAT A U C O LLÈ G E DE F R A N C E PA R MADAME LA MARQUISE A R C O N A T I V ISC O N TI INTRODUCTION I. C ’est en c o m p a g n ie de Jean d u B e lla y qu e R a b ela is est a llé en Italie et q u ’à tro is rep rises il a séjo u rn é à
  • is, ce fu ren t, san s d o u te , au tan t d’o c c a sio n s de rep rendre c o n ta ct avec son « p a tro n » et de s 'a ssu re r u n e p ro ­ te ctio n co n tre les enn em is qu e ses p re m ières p u b lica tio n s v en aien t de lu i crée r. L e P a n
  • a it-il qu e sa m issio n à L o n d res a u ra it co m m e su ite u n e m issio n à R o m e , et R a b ela is laissa-t-il e n tre vo ir, s’il ne l ’a va it d éjà fait, car c’é ta it a lo rs le rêve de to u t h u m an iste, so n v i f d é sir de v is ite r
  • a ve c l’a y d e de D ie u , é crit Jean du B e lla y au sieu r de C a s tillo n , a m b assa d eu r de F ra n ce à L o n d re s , qu e je suis ic y , et afin que v o u s ne p e n sie z que ce a y t esté sans p ey n e, j’en a y esté ju sq u es à ne p o
  • u v o ir en d u rer qu e h om m es me p o rtassen t en u n e ch a ire . P o u r le m ie u x , j’en e sch ap p eray p o u r u n p eu de s c ia tiq u e 4... » L e s d o cu m en ts s u sce p tib les de n ou s re n se ign er sur le p re ­ m ier séjo u r
  • de R a b ela is à R o m e sont rares. L a co rre sp o n ­ d a n ce d e Jean du B e lla y , q u e lq u es épaves seu lem en t, ne traite qu e des q u e stio n s p o litiq u e s p o u r le sq u e lle s il a va it été d ép ê­ ch é au p rès du P a p e 5
  • . O n p eu t gla n er q u e lq u es d éta ils ré tro s­ p e ctifs dans p lu sieu rs lettres qu e des am is et des « clien ts » lu i ad ressèren t de R om e d ans les m ois q u i s u iv ire n t son d ép art, et o ù d ’a ille u rs, à a u cu n m o m en t
  • tilisa lui-m êm e les q u elq u es sem ain es qu ’ il passa à R o m e. R a b ela is avait préparé son v o y a g e , — q u ’on su p p o sa it d e vo ir être p lu s b re f qu ’ il ne fut en réalité, — de fa ço n à en tire r le m e ille u r parti p o ssib le
  • . Il s’était dressé u n e sorte de p ro gram m e, ce q u i ten d rait à faire cro ire qu e le départ ne fut pas im p ro ­ visé . « A n te au tem m u lto quam R om ae essem u s, ideam m ihi q u an d am m ente et c o g ita tio n e firm averam earum rerum
  • qu a rum me d esid eriu m eo p ertra x e ra t. Statu eram enim p rim um quidem viro s d o cto s, q u i iis in lo c is jacta tio n e m h aberen t per quae n ob is via esset, co n v e n ire , co n fe rreq u e cum eis fam ilia rite r et a u d ire de a m
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Extraits de Boccace (en italien)

Auteur : Boccace (1313-1375)

Editeur : Garnier Frères

Date : 1901

Sujets : Boccace (1313-1375) -- Critique et interprétation

  • to ute la s c i e n c e c o n t e m ­ p o r a i n e , qu e lq u efo is fo rt élo ig n é e , d a n s ses c o n c lu s io n s , d e la s c i e n c e d’h ie r . M ais, si l ’o n n ’e s t j a m a i s tro p s a v a n t p o u r fa ire u n e b o n n e é d itio n
  • 1313 à P aris. Son père, Boccaccio di Ch ellino, o rig ina ire de Certaldo , en T oscane, é tait c o m m e rç a n t , et ses a ffa ire s l'av aien t c o n d u it p o u r qu elqu es a n n é e s s u r les b o rd s de la Seine. De sa m è r e , q ui fu t
  • selon to ute a p p a re n c e u n e F ra n ç a ise , n o u s ne savons rien de positif, sin o n qu e le m a r c h a n d florentin n e la r d a pas à l’a b a n d o n n e r et r a m e n a e n T oscane le p etit Giovanni, en co re en bas â ge. L’en fa n c e
  • du p luriel en i servait à d ésign er la fam ille dans son en sem b le, tous ceux qui po r­ taien t le m êm e nom (de là le p lu rie l): Giovanni Boccacci veu t donc dire exactem en t: le Giovanni qu i a p p a rtien t à la fam ille Boccacci. C ette d
  • t e n d a it l’en g a g e r p re s q u e de force n e lui in s p ira it qu e d é d a in et d é g o û t; aussi s’a b a n ­ donnait-il de plus en plus à ses in c lin a tio n s n a tu r e lle s . N aples lui fit voir la vie sous u n j o u r to ut n ou
  • veau : d a n s u n des sites les plu s e n c h a n t e u r s qu e les poêles a ie n t célé­ b rés , vivait a u t o u r d u roi R o bert d ’Anjou 1 u n e c o u r b ril­ lan te cl vo lu p tueu se, qui d issim u la it à p eine, sous l’éclat tr o m p e u r
  • , on devine qu e le j e u n e lloccace se livra sans résistan ce à ta n t de sédu ctio ns n o u ­ velles p o u r lui. C’est à N aples q u ’il e u t la rév élatio n de la n a t u r e d a n s ce q u ’elle a de plus e n iv ran t, de l’a m o u r avec to us ses t r
  • o m de F iam m etta . L’on n ’ex ag ère d o n c rie n en d is a n t qu e Naples, avec sa n a tu r e , ses souvenirs, sa bril­ lante co ur, a e x e rcé s u r le génie de Boccace u n e in fluence profon de et décisive. Après b ie n des résistances
  • , Boccaccio di Ch ellino finit p a r p e rm e ttre à son fils de r e n o n c e r a u co m m e rc e — pe utêtre s’était-il convaincu qu e le j e u n e h o m m e n ’avait rien de ce q u ’il faut p o u r y réu s sir, — m ais à con dition q u ’il é tu ­ d iât le
  • m atin avait été si b ri ll a n t et si joyeux. On n e p e u t se d éfen dre d ’u n e vive sy m p a th ie p o u r le ■caractère de Boccace ; n ’oublions pas qu e la lég èreté et la c o rr u p tio n d o n t uni* p a rtie de son œ uvre po rte la trace
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Etudes italiennes

Editeur : Ernest Leroux

Date : 1919

Sujets : Littérature romane | Périodiques

  • nous sommes encore loin d’atteindre ce but, pour quantité de raisons qu’ il nous suffit d'indiquer briè­ vement. Les difficultés matérielles, qui pèsent, à l'heure actuelle, sur tous les travaux de librairie, nous obligeront notamment à nous contenter
  • , dans sa vingt-cinquième année, pour n’en plus jamais sortir et y passer toute sa carrière. L’appren­ tissage qu’ il y trouva ne fut point celui que les artistes du monde entier y venaient chercher. On ne peut croire que son art personnel ait tiré grand
  • profit de sa présence dans l'atelier d’A ntonio Tassi, qui l’employait près de Viterbe, vers 1655, avec une équipe de décorateurs français, aux ouvrages de la villa Lante. Mais, tandis qu’ il vivait de ces travaux presque manuels, le noble pays lui
  • d’un amour profond et ce qu’ il a, toute sa vie, essayé de rendre. A cette même heure de l’histoire de l’art, Rome a parlé un semblable langage à un autre de nos grands peintres, Nicolas Poussin, dont l’œuvre, plus étendue que celle de Claude L or­ rain
  • , a eu une action plus directe sur leur temps. On peut comparer leurs paysages, plus intellectuels chez l’un, plus sensibles chez l’autre, mais inspirés par la même nature et le même ciel. Les deux maîtres représentent ce qu’ il y a de plus élevé et de
  • . Les notes qui vont suivre aide­ ront à la délimiter ; elles serviront aussi à démontrer l’intérêt qu' elle peut offrir pour l'histoire du peintre et même pour la topographie romaine. * * * L’intérieur de la ville a fourni à Claude Lorrain de nombreux
  • d’autres peintres ou dessinateurs n’ ont pas manqué d’indi­ quer au même lieu, vient justifier le nom traditionnel du Campo Vaccino donné par la propre inscription de Claude. Le pourtour de la place semé de débris présente des édifices qu’ il est facile de
  • de Bracciano dans une vigou­ reuse sépia du musée du L ouvre3. On sait qu’ il y a une fort belle vue du Soracte et des montagnes du haut des tours des Orsini, et le grand lac qui s’ étend à leurs pieds doit être pour quelque chose dans les grands
  • la strada di Storta per il viago de Flo­ rence. Clodio Gelée. R om a1 ». Toute cette région grandiose et désolée a été explorée par Claude. Il a fait séjour aux envi­ rons d’Isola Farnese, dans un domaine de la famille Crescenzi, qu’ il désigne
  • , qu' il pouvait atteindre en une courte marche, en venant de sa maison de l’Arco de’Greci (via Babuino) par la porte du Peuple. Chacun sait que c’était aussi la direction principale des promenades de Poussin. On pense à l’ un et à l’ autre, en admirant
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Il Decameron, tome III

Auteur : Boccace (1313-1375)

Editeur : Ciardetti

Date : 1824

Sujets : Prose italienne -- 14e siècle

  • qu ale sotto il reggim ento d i F i am­ m e t t a s i ra g io n a d i ciò che a d alcuno am ante, dopo a lc u n i f ie r i o sventu rati a ccid en ti, felicem en te avvenisse. E r a già l oriente tutto bian co , e li sur­ genti raggi per tutto il
  • i suoi piaceri il confortava. M a C im one , che d ’esser chiamato Galeso rifiu tava, r i­ cordandosi che così da Efigenia era stato chiam ato, volendo onesto fine porre al suo disio , più volte fece tentare C ip seo , padre d’ E figeni a , che lei
  • donata la vita, la qual Pasim un­ da a suo poter sollicitava di far lo r torre , et a prigion perpetua fur dannati ; nella qu ale, sì come si può cred ere, dolorosi stavano e senza speranza mai d 'a lcu u p ia­ cere. Ma Pasimunda quanto poteva l'ap
  • poco tempo lieto fosti della guadagnata preda . Il quale se quel medesimo è che già fu , ninna cosa tanto lieta ti prestarono, quanto quella che al presente s'ap p arec­ chiano a do n arti: la qu ale, acciò che tu l'u sate forze rip igli e diventi anim
  • per due, ma per molle e diverse persone la afi G IO R N A T A Q U IN T A novella, che tutti qu elli che con Martuccio erano sopra il legn etto , erano stati anne­ gati. L a giovane la quale senza misura della partita di M artuccio era stata dolente
  • accidente capita a qu el castello dove l ' A g n o lella e r a , e sposatala, con le i se ne torna a Rom a. N iu n o ne fu tra tutti che la novella d ’E m i­ lia non commendasse: la qual conoscendo la Reina esser finita, volta ad E lis a , che el­ la
  • moglie che sim ilmente era vec­ chia. L i qu ali, quando la videro s o la , d is ­ s e ro ; o\fìglino la,ch e vai tu a questa ora così sola faccendo per questa contrada ? L a gio­ vane piangendo rispose che aveva la sua compagnia nella selva sm arrita,e
  • a n a rd i è trovalo d a messer L iz io d a V ulbona con la fig liu o la , la qu ale e g li sposa, e col p a d re d i l e i r i ­ mane in buona pace• T a c e n d o E lis a , le lode ascoltando dalle sue compagne date alla sua novella, impose la Reina
  • L L A V. G u idotto d a Crem ona la scia a G iacom in d a P a v ia una sua fa n c iu lla ., e m u o rsi, la qu ale G ia n n o l d i S e v e rin o , e M in ­ g h in o d i M in g o le am ano in F a en z a : a zzu ffa n si in sie m e ; riconoscesi la
  • tur­ bò fieramente, et in tanta ira m ontò, senza dire alcuna cosa , che a poco- si tenne che qu iv i,c o n un coltello che a llato avea,am en­ duni non g li u ccise, Poi estimando v ilis s i­ ma cosa essere a qualunque uomo si fosse , non che ad un R e
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Il Decameron, tome V

Auteur : Boccace (1313-1375)

Editeur : Ciardetti

Date : 1824

Sujets : Prose italienne -- 14e siècle

  • ­ venute ; non che n elle sepolture de' morti ma ancora altrove , tu tti i peli gli s ’ inco­ m incia ro no ad arricc ia re addosso, e pa re v agli tratto tratto c h e Scan n adio si dovesse levar ritto e qu iv i scannar l u i . Ma da fe r­ vente amore a iu
  • u ello che era in te rv e n u to , e con qu esto scusan­ d osi se fo rn ito non avean pienam ente il suo com an dam en to, la sua gra zia et il suo am o­ re add im an dava. L a qual m ostran do a niun Ciò v o ler c r e d e r e , con re cisa risposta
  • ' a lt re , che sì focose e sì a tt e nte erano a dove r far tro var e in fallo l ’ Isabetta, che d i cosa che la badessa in ca po avesse non s ' a vv ed ie no, giunse a ll’ uscio della cella e qu el lo d e l l’ altre aiutata piuse in terra : e t entrate
  • ugnersi il gri fo alle spese di C a la n d r in o : e senza tro pp o indugio d a r v i, ave ndo tra se ordin ato qu ello ch e a fare a v e s s e r o , la seguente m attina appostato quan do C a la n d r in o d i ca ia u sc is se , non essendo egli guari
  • uscita in un g uarne llo bi an co e c o ’ cape lli ra vv olt i al capo , et ad un pozzo che nella corte era del casamento la van dosi le m an i e ' l v i s o , avv en n e che C a la n d rin o qu iv i venne per acqua, e N O V E LL A V. 37 d sen i cica m
  • ogni cosa a N e l l o et a Bulfalmacco , e t insieme t ac ita m en te ordin aron o qu ello che fare gli dovesser di questo suo in n am or am en to. E co m e egli rito rnato fu , disse Bruno piana­ mente : vedestila ? Rispose Ca la nd ri n o ; o i m è
  • a vv ie n che io le favelli ? Rispose C a la n d r i­ n o ; gn aff e, tu le dira i im p rim a im p rim a , che io le voglio m ille moggia d i qu el buon bene da im p re g n a r e , e p o s c ia , che io son suo servigiale , e se ella vuol nulla ; hami
  • v ata Ia c u lla ,in quello letto a l quale ella era a lla to ,in sie m e con A d r ia ­ no si c o r ic ò , credendosi co l m arito c o ric a ­ re. A d ria n o c h e ancora add orm en tato non era , sen ten d o qu esto , la rice v e tte bene e N O
  • B io n d el, che è qu esto ? M esser F ilip p o , presolo per li c a p e lli e s tra c c ia ta g li la cuffia in capo e g itta to il c a p p u ccio per terra e d an d ogli tu tta via f o r t e , d iceva ; tra d ito r e , tu il v e ­ d rai bene c iò
  • che q u esto è ; che arru b inate­ m i e ch e zan zeri m i m andi tu d icen d o a m e ? p a io t’io fa n ciu llo da d overe essere u c­ c e lla to ? E cosi d ic e n d o , con le pugna , le qu ali aveva ch e parevan d i ferro , tu tto il v iso gli r u p
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L'Italia nella letteratura francese dalla morte di Enrico IV alla rivoluzione. Tome II.

Auteur : Del Balzo, Carlo (1853-1908)

Editeur : Soc. Tipo Ed. Nazionale

Date : 1907

Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature

  • je n’y change d'esprit et qu ’il ne m 'y vienne d ’autres pensées que les miennes ordinaires. Cet a ir m ’inspire quelque chose de grand et de g enereux, que je n ’avais point auparavant, et si je reste deux heures au bord du Tibre, je suis aussi
  • ’apprentissage de leurs victoires et com­ mencé ce long [dessein qu'ils n ’acheverent qu’ aux extre­ mitez de la terre; quand vous serez monté au Capitole, oh ils croyent que Dieu estoit aussi p resent que dans le ciel, et q u 'il avoit enfermé le destin de la
  • que Siphas la réclame Elle est pour Massinisse, et qu'elle aimera mieux Suivre un jeune empereur, qu 'un autre déjà vieux. A ll’ Hôtel Rambouillet la rappresentazione della Sofoni­ sba del Mairet fu un grande avvenimento. Giulia, la grande et toute
  • nom d ’Angélique, ne nous faisoit point regretter la meilleure bande de violons qu’ on emploie d ’ordinaire en ces intermèdes » ( 1 ). E Voiture, che era innamorato di Angelica, come un po’ di tutte quelle preziose, cantò: Dans le fond d'un bois
  • croises ? S i on ne tient ce qu' on a promis, pensent ils estre spectateurs oisifs et immobiles d'une action dont le succez leur est commun par une conséquence iné­ vitable? Croyent-ils que cette affaire leur soit indifferente, parce que les premières
  • qu’ on donne à I.nostre Patrie, et que toutes ses blessures sont nostres ? Qu ’on itreX ap h (1)C nous désarme en despouillant nos alliez, et qu’ on af­ fo iblit nos villes en prenant celles de nos voisins ? Quelfa ta l et misérable assoupissement
  • est celui-là ? N ’ ont-ils point d ’y eu x pour voir les flam beaux qui viennet de brusler l ’A l­ lemagne ? le bruit qu’ a fa it la cheute du Palatiu n’est-il point capable de les esveiller? Dirat-on des Italiens ce qu’on disoit des peuples d ’A sie
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L'Italia nella letteratura francese dalla caduta dell'impero romano alla morte di Enrico IV. Tome I.

Auteur : Del Balzo, Carlo (1853-1908)

Editeur : Casa Editrice Nazionale

Date : 1905

Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature

  • Merovingi, solo Carlo­ magno, dopo aver vista l’Italia, ebbe nella gran mente 11 pensiero di creare una cultura, riattaccandosi alla civiltà antica. « Charlemagne, en parcourant l ’Italie, s ’était convaincu qu ’il restait certaines traces de cette brillante
  • canta : Ung grant vilain entr' eux eslurent Le plus ossu de quan qu' il (1) furent, Le plus corsu et le greignor (2) S i le firent prince et seignor. Cil jura qui adroit (3) les toudroit. Et que lor loges (4) deffendroit. E per conseguenza, data questa
  • monde idéal, qu ’elle paraît de vertus depuis longtemps oubliées. A la veille d ’Azincourt, elle écrivait son « Livre de chevalerie » ( 1) comme Tacite composant sa Germanie en face de la corruption romaine; mais les voix de la terre la ramenaient
  • , che egli è del par­ tito del re : He ! monseigneur, par Dieu mercy, Haut le trait! Qu 'aye la vie franche! Je vois bien à votre croix bianche Que nous sommes toni d'ung party. Ma, camminando, si avvede che il gendarme porta alle spalle la croce nera, e