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- D'Annunzio, Gabriele (1863-1938) 10
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- Colomb de Batines, Paul (1811-1855) 3
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- Boccace (1313-1375) 1
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- Del Balzo, Carlo (1853-1908) 1
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- Dante Alighieri (1265-1321) -- Divina commedia 2
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- Prose italienne -- 14e siècle 2
- Boccace (1313-1375) -- Critique et interprétation 1
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- Dante Alighieri (1265-1321) -- Bibliographie| Dante Alighieri (1265-1321) -- Divina commedia 1
La Muse de Pétrarque ou Laure des Baux
Editeur : Avignon : Bonnet
Date : 1819
Sujets : Pétrarque (1304-1374) -- Critique et interprétation -- 14e siècle| Laure (personnage fictif)
- recommandation dans une carrière où tout autre intérêt resterait au-dessous de lues vues. Je n’ai d on c, monsieur le com te, d’autre am bi tion dans la publication démon ouvrage , dont tout le mérite appartiendra à l’historien de Vaucluse , que celle de
- lettres l’histoire de L au re des B a u x , avec tout l’intérêt qu’elle pré sente dans les divers ouvrages latins et italiens de ce p o êle, je me suis imposé la tâ c h e , aussi com plexe que laborieuse , de traduire ses poésies dansles deux lan g u es
- onnêteté et de pudeur. E n nemi déclaré du mensonge , il détestait tous les vices , cultivait toutes les vertus. Il était si doux , si pieux , qu’on l’appelait com m u nément l’homme p u r , l’homme vierge, p a r thenias alter », I l dit encore de lui
- ses com positions, qui ne sont que des éloges de la vertu de Laure , cl les triom phes de son pro pre cœur. D ’ailleurs, si l’on examine le ( 5 ) arctère des poésies de Pétrarque , on reconnaîtra qu’elles portent le sceau de sa langue cheva
- - Une troisième L au re A dhe mar fut religieuse à l’abbaye de Saint-Pont, au diocèse de Marseille , en 127^. Une quatrième L au re Adhem ar fut religieuse k ( 9 y s abbaye du B o u csiet, au Com té-Venaissin , en 128 2 (i). L a cinquième L a u r e
- le Com tat tant de monumens de leur piété et de leur grandeur. L e poëte va nous en four nir une nouvelle preuve dans l’offrande des7 pommes d’orange qui fut faite à V aucluse, dans la chapelle de Saumane , par la mère de G u illan m e-au -C o rn et
- vive, y gouvernait ses fleuves et les jeunes dames de sa fam ille; le second, ayant le corps ceint de Tache verdoyante qui le d éco rait, remuait d an sle sflo is ses nattes d ’o r , com p tant les poissons qu’il avait pris sous le gouf fre de la
- n te u x , de Carom b et du B a rio u x , au Com té Vénaissin , selon l ’histoire généalogique de celte maison , m’a paru celui dont parle ici Pétrarque. 11 ven dit la seigneurie de Monteux et les eaux de C arom b , le (5 octobre i 3 i 3 . Il fut
- forêts de V a u c lu se, qui com pre nait Saumane jusqu’à L isle , L agn es, Cabrières et partie de Cavaillon. Ces mêmes sei gneurs , qui avaient élevé la citadelle de Saum ane pour défendre les avenues de la Sorgue , avaient aussi fait hâtir la
- ( * ) . ( * ) P lu sieu rs anciens com m entateurs , p ar une m auvaise construction et m ille sous-entenüus , ont fait de ces d e u x vers une exp lication g ig an tesq u e/ L e texte m anuscrit nous a servi à les rectifier» ( 56 ) gue. L a traduction que je
Bulletin franco-italien
Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)
Date : 1912-03
Sujets : Etudes italiennes
- , Responsive, Originali 9 » » » » 33 Dieci di Balia, Resp. 102, 99, 100, 103, 104 » » Leg. e Com. 35-36. On garde les brouillons d’un certain nom bre de lettres adressées à la Seigneurie par des officiers et commissaires établis dans les villes du domaine
- de Jules II (lettres de Tosinghi). Le bruit de sa mort se répand en Lombardie et en France (lettres de Pan dolfini et d’Acciainoli); sa guérison; rupture des pourparlers (lettres de Tosinghi). Sources principales : Dieci di Balia, Resp. Leg. e Com
- . Resp. » » Leg. e Com. Signori Miss. Orig. Dieci di Balia, Cart. Miss. Signoria, Leg. e Com. Signori, Cart. Miss. Reg. 1a Canc. Consulte e Pratiche 106 37 8 93 28 57 69-70 V. Novembre 1511. Réunion du Concile de Pise, Ier novem bre ; les trois
- ). — Règlement des dépenses faites à Pise pour le Concile (lettres de P. del Nero et Niccolò de.’ Zati). Sources principales : Dieci di Balia, Cart. Resp. 107 » » Leg. e Com. 37 » » Cart. Miss. 93 Signoria, Cart. Miss. Beg. 2a Canc. 40 Consulte e Pratiche 70 VI
- l’alliance française (lettres d’Ac ciajuoli, instructions). Sources principales : Dieci di Balia, » » Signori, Leg. e » Cart. » Cart. » Cart. Cart. Resp. 103-108 Leg. e Com. 37 Commissarie 23 Miss. Beg. 1a Canc. 57 Miss. Beg. 2a Canc. 41 Resp. Orig. 33
Il Decameron, tome IV
Editeur : Ciardetti
Date : 1824
Sujets : Prose italienne -- 14e siècle
- venuta fu la fine del G IO R N A T A S E T T IM A 5 desinare, e le vivande e le tavole furon r i mosse, ancora più lieti che prima , com in ciarono a cantare. Q uindi , essendo in più luoghi per la piccola valle fatti letti, e tutti dal discreto
- vati eran o , e tempo era da ridacersi a no v ellare, come il Re vo lle, non guari lonta no al luogo dove mangiato avean o, fatti in su l’ erba tappeti distendere , e vicin i a i lago a seder postisi, comandò il Re ad : E m ilia che com inciasse. L
- in casa e standosi con Peronella, dopo alquan to, dove in tutto il dì tornar non soleva, a casa se ne to rn ò , e trovato l ’ uscio serrato dentro, picchiò,e dopo’ l picchiare com inciò seco a dire: oIddio,lodato sia tu sempre; che, benché tu m'abbi f
- atto povero, almeno m ’hai tu consolato di buona e d ’ onesta giovane di moglie. V edi com e ella tosto serrò l ’uscio dentro, come io ci u s c ii, acciò che alcuna persona entrar non ci potesse che noia le desse. Peronella, sentito il marito, che al
- m arito, com inciò a dire.* dove se’, buona donna ? A l quale i l m arito , che già veniva , d isse : eccom i, che domandi tu ?D isse G ian n ello: qual se’ tu ? io vorrei la douna con la quale io feci il mercato di questo doglio . Disse il buono
- , et ispogliatosi in camiscione , si fece accendere un lume e dare una radim adia,e fuvvi entrato dentro e com inciò a radere . E Peronella , quasi veder volesse ciò che facesse , messo il capo per Ia bocca del doglio, che molto grande non er a , et
- oltre a questo l'u n dei bracci con tutta la spalla, com inciò a dire; radi q u ivi, e qu ivi, et anche c o là , e , v e dine qui rim aso un m icolino. E mentre che così stava et al marito insegnava e r i co rd ava, G iannello, il quale appieno non
- ; pure in processo di tempo, senza lasciar l ’abito, se le riprese, e com incio a dilettarsi d'apparere e di vestire di buon Tomo i r . J ■XI G IO R N A T A S E T T IM A p a n n i, e d ' essere in tutte le sue cose leg g iadretto et ornato, et a fare
- nutricano, fa bisogno. Così adunque ritornato frate Rinaldo nei prim i ap petiti, com inciò a visitare molto spesso la com are; e cresciutagli baldanza , con più ¡stanzia che prim a non faceva , la cominciò a sollicitare a quello che egli di lei disiderava
- , e disse; com e, frate R in aldo , o fanno cosi fatte cose i fr a t i? A cui irate Rinaldo rispose : madonna, qualora io avrò questa cappa fuor di dosso, che me la trag go molto agevolm ente, io vi parrò uno uomo fatto come gli a ltri, e non frate
Lettres écrites d'Italie
Editeur : H. Champion
Date : 1910
Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle
- ota m m ent M. L éon D orez, R abelaesiana, " m aistre Jehan L u n e l" (extrait de la R evue des bibliothèques, 1905), p. 2-3. 4. L es voyages et les séjou rs de R abelais en Italie en com pagnie soit de Jean du B ella y , soit de G u illa u m e d u B
- sa u tier huguenot, t. I, ch. vi ; B. F on tan a, Renata d i F ra n c ia , R o m e, 1889, t. I, c h . v et vi. 4. V o ir dans E. R od ocan a ch i, R en ée de F ra n ce, duchesse de F e r rare, p. 84, n. I, la com p osition de la m aison de R en ée
- iers jo u rs de l’en trevu e de l’ E m p ereu r avec le Pap e. 1. Lettre du 28 janvier 1536. 2. Le cardinal Jean du Bellay en Italie, p. 79-84. 3. M. Heulhard croit au départ de Rabelais en même temps que Jean du Bellay. « Rabelais, son com plice
- su rto u t quinze cens au lieu de X I I e. Il nous fau t d o n c re co u rir à l’h y p o th èse d’un e co p ie in term éd ia ire où les ch iffres (com m e les dates d’ailleurs) a u raien t été tra n scrits en lettres et qui aurait été p arfo is assez
- c e s te v i l l e 5 5. E. pûs. — 6. E. peus. — 9. D. envoyray. — 10. E. escrit. — 11. E. frere, au. — 13. E. lesdites. — 14. E. une dattée. — 15. E. laquelle. — 16. D. me escriviez. — 17. E. l’autre. 1. Sans doute un religieux de Maillezais, com me
- Bertrand de Madaillan-Estissac et belle-sœ u r de l’évéque de Maillezais, qui mourut avant février 1522. Il s’agit donc, sans doute possible, com me l’a supposé M. Heulhard, op. cit., p. 73, n. 1, d’Anne de Daillon, que Louis de M adaillan-Estissac, fils de
- . faite. 1. Les lettres apostoliques (sub plumbo), com muném ent appelées bulles, étaient expédiées selon la teneur des suppliques présentées par les impétrants après que celles-ci avaient été agréées par la signature du Pape. Cette expédition se faisait
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- sig n e à la dure tutélaire. E t, dans le trem blem ent de la sp len deu r et de — II — m on ressouvenir, je découvrais su r la m ontagne dangereuse com m e le prom on toire de C ircé la citadelle ruinée des rois d evin s ,%et j'en ten d
- creusées com me celles des socles chartrains ; des m oulures étaient traitées com m e pa r le cisea u cistercien . L a pierre n o ircie évoquait confusém ent les conquérants de la P o u ille , les m aîtres d’ œuvre venus avec les chevaliers de C
- bloc de marbre grec couleur de fro m en t! J e songe à m on délicat L a u ra n a , quand il vint travailler dans votre L o rra in e et ---- IV — q u 'il s ’ en q u it du grain de votre pierre. J e songe à ces J u ste qui se francisèrent com m e
- in e, dans la m in ia tu re f Jehan de Z’A p p a r ic io n d e M eu n . E n de m a îtr e com m ençant m on M ystère, j'a p e rçu s dans une lueur de pré résage la M ila n a is e su r son pa lefroi riche p m ent harnaché s ’ arrêter devant le
- lle . A lo rs, entre arc et flèche, je m e ra p p ela i a u ssi que J e h a n n e à C om piègn e avait avec elle une m in ce com pagnie d ’ archers italien s com m a n d ée p a r Bartolom eo Baretta, quand a u p rès du p o n t l’ archer p ica rd la
- . » J e vous avoue que, qu a nd l ’œ uvre fu t ' (j achevée, je fis vœu d’ aller p èlerin à Char tres p o u r rem irer les belles verrières et p o u r déposer le m a n u scrit in con n u , non su r l’ autel, à la grâce de D ie u , — com m e a u trefois
- un ciel p lu s am ple n i p lu s in d ulgent su r une p lu s sile n cie u se fécon in d ité. L a toute verte B ea u ce trem blait de douceur com m e un s e u l fil d ’ herbe; aux branches et des p om m iers fle u r is les nu ag es p a ra issa ien
- t se retrousser com m e de m olles tra în es a u x m a in s vives de fem~ m es prêtes à une estam pie ou à une rerev erdie. « Bele, dont estes vos nee ? » « De France sui la loee, du plus haut parage. Le rossignox est mon père... » A lo r s , en
- donc le livre, sauvé et pardonné. J e vous offre m es vers de F ra n ce parce que j'a im e vos proses d ’ Ita lie, mon cher M a u r ic e B a rrès. C e poèm e com posé dans le p a y s de M o n ta ig n e et de la forte résine, je vous le dédie parce que
- avoir célébrées en l ’ honneur ----- V ili — de voire M u s e dans u n épigram m e votif. A u c u n n e pourra, certes, com m e vous, com prendre le sin g u lier p la is ir que m e donnèrent m a hardiesse et un si haut danger. U n soir, a u x
L'Italia nella letteratura francese dalla caduta dell'impero romano alla morte di Enrico IV. Tome I.
Editeur : Casa Editrice Nazionale
Date : 1905
Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature
- retri butiva, può chiamarsi, sebbene, nell’insieme, fredda per le fredde allegorie e la satira impersonale, la volgare Com media della Francia. Con essa incomincia la vera storia letteraria della poesia francese. Jean de Meun è il primo ad avere il
- origine della regalità, in cui non entra l’olio santo della Cattedrale di Reims, doveva sostenere il diritto alla rivolta e il rifiuto delle imposte: Quant il vodront L or aides au roi todront (5) E t li rois tous sens (6) demorra, S i tost com li peuple
- e coscienze, sufficientemente edificate, potevano di vertirsi con tutta sicurezza : la moralità dell’uomo ostinato com pletava la dim ostrazione. Peuple italique e Peuple français si fanno le loro condoglianze reciprocamente. Questo confessa che
- barba, ed urlante com e scoppio di tuono : Regardez-moy, j e suis l ’hommc obstiné. Il popolo italiano lo supplica invano di chetarsi e di fare la pace con la Francia : Punition divine appare dal l’alto del cielo, ma l ’uomo ostinato rifiuta di
- de Pasque 1512 avec lordonnance fa icte a Millan a lentree du corps Monsieur Nemours dont Dieu ait lame. — S . 1., 4 ff. goth. s. d. (1 5 1 2 ). U n ’opera notevole, pratica, e di un interessse in gran parte militare, com pose Giacom o Signot
La fiaccola sotto il moggio : tragedia
Editeur : Fratelli Treves
Date : 1905
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- com piscono la suppellèttile. Una fontana di gentile lavoro, dominata da una statuetta muliebre, alza nel mezzo dell’ aula la sua conca vacua. E il tutto è vetusto, consunto, corro so, fenduto, coperto di polvere, condannato a perire. SCENA PRIMA. D
- La turpitudine ovunque, la frode servile, il tradimento. Profanati sono i miei occhi; e chiuderli non posso. T ib a l d o . C ogni tua parola on com e con una branca m ’ afferri il cuore e me lo serri. Dimmi tutto. G ig l io l a . Si, tutto debbo
Les femmes dans l'œuvre de Dante
Editeur : Didier Perrin
Date : 1902
Sujets : Dante Alighieri (1265-1321) -- Critique et interprétation
Lettres intimes de Joseph Mazzini
Editeur : Perrin
Date : 1895
Sujets : Mazzini, Giuseppe (1805-1872) -- Correspondance
- toutes les émotions violentes de l’époque ; il aurait voulu partir avec les proscrits, il s’indignait de voir ses camarades retourner à leurs distractions habituelles... Il venait de lire 1 Le com te Santorre di Santa Rosa fut un des chefs de la révo
- Jeune Ita lie, de la Jeune Allem agne et de la Jeune Pologne. Les instructions générales acceptées par les initiateurs com m encent par ces mots : « La Jeune Europe est l’association de tous ceux qui, croyant pour tous les hommes à un avenir de liberté
- dualisme et on rit de celui qui persiste. Ceci p a r tout et pour tous. Si je pouvais vous com pter n os défections ! Quant à moi je reste ; la vie ne m ’ay an t jamais paru une question de souffrance ou de jo u issance, mais bien de devoir et de mission
L'Italie et le romantisme français
Editeur : Albrighi|Segati
Date : 1914
Sujets : Romantisme -- France| Littérature française -- Influence italienne -- 19e siècle| Romantisme (mouvement littéraire) -- France
- et à celle de la société de son temps. Ainsi, tandis que Diderot n' a presque au cune influence directe sur son siècle, Rousseau en a une très grande, immédiate, com plète1). Diderot, tout en faisant un étrange contraste avec les au tres