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- Collection > Université Grenoble Alpes [ Enlever ]
- D'Annunzio, Gabriele (1863-1938) 9
- Boccace (1313-1375) 5
- Arioste, L' (1474-1533) 3
- Colomb de Batines, Paul (1811-1855) 3
- Arioste, L' (1474-1533) 2
- Bisi, Alceste 1
- Boccace (1313-1375) 1
- Calderini De-Marchi, Rita 1
- Castiglione, Baldassare (1478-1529) 1
- Costaing de Pusignan, Jean Joseph François (1770?-1820) 1
- D'Annunzio, Gabriele (1863-1938) 1
- Dejob, Charles (1847-1916) 1
- Etudes italiennes 6
- Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800 4
- Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle 4
- Prose italienne -- 14e siècle 3
- Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises 3
- Dante Alighieri (1265-1321) -- Bibliographie 2
- Dante Alighieri (1265-1321) -- Divina commedia 2
- Italie -- Dans la littérature 2
- Littérature française -- Thèmes, motifs 2
- Prose italienne -- 14e siècle 2
- Boccace (1313-1375) -- Critique et interprétation 1
- Corbinelli, Jacopo (1568-1580) 1
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
- par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
- littérature con l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
- possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
- . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar dont l’histoire littéraire n’aura ja qui eut toujours les yeux
- clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
- * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
- t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se a rc ad e s d u fond o u v
- saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
- les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices
Lettres écrites d'Italie
Editeur : H. Champion
Date : 1910
Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle
- PUBLICATION DE LA S O C IÉ T É D E S É T U D E S R A B E L A IS IE N N E S LETTRES ÉCRITES D’I T A L I E PAR FRANÇOIS RABELAIS (Dé c e mbr e 1 535 - F é v r i e r 1 536) NOUVELLE ÉD ITIO N CRITIQU E, DES NO TE S E T AV EC U NE UN INTRO D U
- CTIO N, A PP E N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARI S HONORÉ CHAMPION LIBRAIRE DE L A SOCIÉTÉ DES ETUDES RABELAISIENNES 5 , QUAI MALAQUAIS 1910 L E T T R E S É C R I T E S D ’ I T A PAR FRANÇOIS RABELAIS (Décembre 1535
- -Février 1536) L I E PUBLICATION DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES .... ----------- LETTRES ÉCRITES D’ITALIE PAR FRANÇOIS RABELAIS (D écem b re 1 535 -F é v rie r- 1 536) NO UVELLE É D IT IO N C R IT IQ U E , AVEC U N E IN T R O D U C T IO N
- , DES N O TE S E T UN A PPE N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARIS HONORÉ CHAMPION L 1BRAIRE DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES 5, QUAI MALAQUAIS I9IO CETTE AUX É D IT IO N F RA IS F A IT E DE LA A ÉTÉ PU B L IÉ E D O N A T IO
- ecin à l ’h ô p ital de cette v ille , a u x a p p o in tem en ts de 40 livres par an. D an s le co u ran t de l’ann ée 1 5 3 3 , Jean d u B e lla y et notre m é d ecin p u ren t se re n co n tre r p lu sieu rs fo is, ca r le p rem ier fit à L y o n tro
- ella y, sieur de La ngey, ont été étud iés en détail pour la p rem ière fois par M. A rthur H eulhard, R ab elais, ses voyages en Ita lie , son e x il à M e tz , Paris, 1891, in-4°. L e 12, à L a n g re s, il receva it ses n o u v e lles in stru ctio
- , il n ’est fait la 1. « A M. Jehan du B ellay, evesqu e de Paris, 2,25o l . t. par lettres à Langres, 12 janvier 1533 [a. s.], sur et tant m oin s et en dédu ction de ce q ui lu y sera taxé des voyages q u ’il a ja faits et en core présen tem en t
- rtan t, p o u r ne pas dire u n iq u e , est la lettre adressée à Jean du B e lla y , le 3 1 aoû t 1 534 , par la q u e lle R ab elais lu i fait h o m m age de l’é d itio n que S é b a stien G ry p h e a lla it p u b lie r de la T opographia romana de M
- a rlia n i1 : à la su ite d ’élo g es h y p e rb o liq u e s (et p eu justifiés par les résultats) des q u a lité s o ra to ires et d ip lo m atiq u es de so n p ro te cte u r, il y a là des d étails p ré cis et p ré cieu x sur la m anière d o n t il u
- a écrit une relation du sac de R om e p u b liée par M. L éon D orez, L e sac de Home ( 1 5 2 7 ) , R elation inédite de Jean C ave, O rléanais, dans les M éla n g es de l ’E cole fra n ça ise de Rom e, 1896. et enfin Jehan L u n e l, a bbé de S a in t-S
L'Italia nella letteratura francese dalla caduta dell'impero romano alla morte di Enrico IV. Tome I.
Editeur : Casa Editrice Nazionale
Date : 1905
Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature
- seducono questi con Dio, quegli altri col dia volo » ( 1 ). (1). Vedi a pag. 46 in: La satire en France au moyen âge, par C. L e n i e n t , Paris, Hachette, 1859. La voce di Pierre Cardinal fu forse l’ultima della sven turata Provenza, che perdè nel
- scendere a fondo, senza porre in dubbio le credenze. E può vedersi nel rac conto L e vilain qui conquist paradis par plait. San Pietro gli vuol chiudere la porta del paradiso : - Qui non c ’ è posto per i villani. Ma il villano non si dà per vinto : — Non
- : Nous sommes hommes comme ils sont Tels membres avons comme ils ont, E t tout aussi grands corps avons Et tout autant souffrir pouvons. Ne nous faut que coeur seulement: Allions-nous par serment, Aidons-nous et nous défendons, E t tous ensemble nous
- Virgille s ’apparu A lui dont il f u secouru, Adont lui dist par g rant estude Ce mot : Vaille moy long estude Qui m'a fa it cerchier tes volumes Par qui ensemble accointance eusmes, Or congnois a celle parole Qui ne f u nice ne frivole Que le vaillant
- de gouverner le monde. Trad. de langue romanne en prose française par Jean Chaperon, dit lassé du Repos ». Poi dal Püschel (Berlin, R. Damkòhler), edizione citata dal Beck. Si hanno pure altre cose a stampa della Pisan (vedi a pag. 221, vol. III
- fam ille et leur patrie à l'étranger, elle put du moins, elle aussi, répéter avec un légitime orgueuil : l ’eusseje fa it, moi, qui suis femme ? Attristée par le spectacle des maux trop réels qui l ’entouraient, elle se réfugia par la pensée dans un
- quinze volumes principaux. Un seul à été imprimé. (Si vede che il Nisard non aveva letto il Brunet). C’est le « Livre des faits et bonnes mœurs du bon roy Charles. » E lle le composa par « le digne (1) Épitre d'Othéo à Hector, dédiée au duc d ’Orléans. (2
- l’ipocrisia fratesca, come ho già detto; eppure è inesplicabile come, per demolire quel libro, citi Dante che dell’ipocrisia monacale non fu meno audace censore. In fatti cosi scriveva a Pierre Col: Mais se mieulx veulx ouir descripre paradis et enfer et par
- in : Oeuvres com plètes de François Villon, édition accompagnée d ’une préface, d'un glossaire et de notes par M.r Pierre Jan n et precedée d'une étude sur Villon par Théophile Gautier. Paris, Charpen tier, 1884 e di Francesco I, pur dissanguando la Francia
- , senza darle un pollice di terra, furono a lei feconde di bene. Questo giustamente osserva il Nisard : ... elles élargirent la voie par où entrèrent en France les livres grecs et latins, et nous mirent, à notre tour, en possession de ce trésor des lettres
Etudes italiennes : publiées par l'Union intellectuelle franco-italienne / dir. Henri Hauvette
Editeur : Ernest Leroux
Date : 1920
Sujets : Littérature romane -- Périodiques
- Etudes italiennes : publiées par l'Union intellectuelle franco-italienne / dir. Henri Hauvette
- ai ne d ’alabastre s u r m o n t é e des Trois Grâces aux cor nes d ’a b on d an ce , et qui j et t ent l’eau par les mamel les , bouches et oreilles, fo nt ai ne décrite et g ra vée dans le S o n g e 1 ; les « beaux arcs d ’a nt i cqu e » et les
- d’aut res œu vr es qui ne s o nt que des va ria tions . C’est V fh/pnerotom achia qui, p o u r la p r e m i è r e fois en 1499, par aî t avoi r d o n n é a u t h è me u n a mp l e d év el opp emen t. Enfin l ’a u t e u r du Ve livre, qui se so uv ient du
- par les divins archi tect es qui o n t fait do Rome la « s'iblime et v a g a b o nd a I m pé r at ri ce », g is en t en morce aux, c’est le pire for fait du Destin. Ces m o rc e a u x eux-mêmes, si précieux parce q u ’ils s o n t beaux et parce q u
- câpriers. Alors, il s’a p p r o c h e ; son cœu r s ’arrête. Dans son h o r r e u r sacrée, il t r ouv e s p o n t a n é m e n t des mo ts a na lo gu es à ceux de Dante deva nt les spectacles i nouï s de l’au-delà. Puis, par ce q u ’il est artiste, il se r
- voulait ven g er par son m a r t y r e l’é c r o u l em en t du m o n d e ant ique. L’œuvre , a pp or té e en France p e n d a n t les g ue r r e s d’Italie par aî t être t ou j ou rs restée en Au ve rgne. On ne s a u r a i t non plus al léguer
- L E )) 15 (< par la Forest u m b r a g e u s e et d é se r te — , plusieurs vieulx Temples ruinez, plusieurs Obelisces, P yrami des , Monu ment s et Sepul chres ant iques, avecques Inscri pti ons et Epitaphes divers, les un s en lettres
- Poliphile c o m m e n c e la série qui a b ou t i r a aux f a nta sti que s Piranesi. (.A suivre). R. S c h n e i d e r . Pour et contre l’influence italienne en France au XVIe siècle'. A par ti r des de r ni èr es ann é es du xv" siècle, tous ceux qui
- peul t eslre, la paix et u n io n perpét uel le ent re lesdites deux n at i ons et l angues, lesquelles s ont en partie amies et co nc o rd an t es l’u n e à l ’aut re, mai s p o u r la pl us g r a n d par t e n n e m i e s 1. » L’idée d ’u n e sort e
- . Oue L illere in é d ite d , Vincen-.o B o rg h in i a C osido l te lia n z a ira a lmg*n fia n c e s * e la ita lia n a a f fírm a la né p r im i a n m del secolo A I / , b i r e u z e , 1874, m , publiées par P. Faufaui, à 15 exemplaire8* 20
- * . Vauquel in de la F res naye, Passerai, Bertaut, Des Port es p ou ss en t parfois l’i mi ta ti on j us qu’au plagiat. P o u r ne par ler que de Des Portes, il s embl e que tous les poètes italiens lui ai ent été fami li ers; il a t radu it P ét rar que, S
Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome III.
Editeur : Pissot, libraire
Date : 1787
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome IV.
Editeur : Pissot, libraire
Date : 1787
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome II.
Editeur : Pissot, libraire
Date : 1787
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome I.
Editeur : Pissot, libraire
Date : 1787
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
- Il a été tiré de cet ouvrage CIN QUANTE E X E M P L A IR E S SUR P A P IE R DE H OLLAND E tous numérotés. LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN M Y S T E R E C O M P O S E EN R Y T H M E FRANÇAIS PAR D ’A N N U N Z I O PARIS LE XXII s u r
- e d e m o n s e i g n e u r S a in c t e b a s t i e n jouée par les habitants Lanle villar Vannée courant de may. M. V. LXVII au moys NVNCIVS. D o u c e s g en s, u n p e u d e sile n ce ! S o y e z r e c u e illis e n p ré se n ce d e D ie u
- EU R S DE FLUTE. LES GENTILS, LES CHRETIENS, LES JU IFS LES ESCLAVES. LES SEPT SERAPHINS. \ aperçoit un portique intérieur, p e in t d’é étranges peintures par des Gentils, avec le carmin, l’outremer et l’or, entre les bêtes de l’entablement bas
- et les feuillages des cha piteaux lourds, qui se mirent dans les dalles polies. Par les sept ar arcades du fond ouvertes sur des jardins bleus, on aperçoit de grandes gerbes de lys, dont les tiges semblent serrées en faisceau autour de la plus haute
- comme autour de la hache les verges des licteurs. Un autel de marbre, consacré aux Idoles, se dresse dans l’enceinte, avec ses têtes de boucs et ses guirlandes de fruits sculptées, avec ses rainures rougies par l’écou lement du sang et du vin, avec les
- carcan, les ceps, et les bourreaux. Accablé par la graisse, il halette et sue, tandis que des esclaves accrou pis bercent ses pieds énormes, déformés par la podagre. Parfois, d’un mouvement de colère soudaine secouant sa somnolence, il frappe avec sa
- is . SA IN T . A rc h e rs, la is se z co u le r m o n sa n g . 305 II fa u t q u ’il co u le. P a s d e lin , beau DE SAINT SEBASTIEN 33 fem m es, p a s d e b a u m e . L a is s e z co u le r m o n san g. Ici une femme, la tête voilée par le pan
- v e u x ê tre à D ieu . 485 J e v e u x m o u rir. Ici paraît Théodote, porté par ses serfs, la toge ramenée sur son visage, sans mot dire. LA M ER E D O U L O U R E U SE . H o n te su r n o u s ! H o n te su r n o u s ! R e g a r d e ce v ie
- ses, ( par les têtes noires 575 des grands pavots roses ! LA C I N Q U I E M E . E t p a r la g re n a d e e t p a r les n e u f g ra in s to m b é s d e l ’écrin su r le n o ir r iv a g e , 580 d é to u rn e ces âm es du P o r t a il d ’a ira
- n a s e a u x l ’ é ta lo n n u m id e t o u t b la n c , d o n t la p e a u e s t u n fe u h u m id e ; ceindre du fronteau, 715 tenir par la bride cette flamme lisse à quatre sabots; bondir au garrot! DE SAINT SEBASTIEN LE SEPTIEM E. Il y
Francesca da Rimini
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1910
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- moins dém esurée que l’orgueil, la vertu de l’art, afin que par de grandes im ages notre livre soit digne qu’une m ain si pure le prenne et l’élève parm i les flam beaux éternels. Elle est celle qui discerne notre bien. Elle dit : « F rère, en moi tes
- ’A S T R O L O G U E . LES M USICIENS. LES PORTEURS DE TORCHES. A Ravenne, chez les Polenta; à Rimini, chez les Malatesta. ACTE PREMIER On aperçoit, dans les dem eures des Polenta, une cour eontiguë à un jardin qui brille par delà une clôture de
- seuil du jardin clos. Dans le fond, une grande porte et une fenêtre basse, gril lée de fer, par les baies desquelles on découvre une fuite d’arcades entourant une autre cour, plus vaste. Près de l’escalier est une arche sépulcrale byzantine, sans
- to u ch er au rôt? Eh bien, si je suis un chien, il doit y avoir des chiennes par ici. Cherchons. 11 s c m e t à q u a t r e p a t t e s c o m m e u n c hi e n , f a i t m i n e d ’a s s a i l l i r l e s f e m m e s . GARSENDA. Ah ! chien cam us
- BIANCOFIORE. Oui vient de Bologne sans un sou bolonais. ALDA. C ertainem ent il est de la faction des Lam berlazzi. G A R S E N d A. P este soit d ’eux tous! ALDA. E t il est honni par les Geremei. A L T I C h IARA. As-tu perdu quelque grande seigneurie
- haussa les épaules et me dit par elles q u ’il ne l'avait pas vu. B I A N C O F I O R E , a ve c dé d ai n . Mais c’est une chose vraie, cela ! LE J O N G L E U R . Suis-je pas nouveau, moi qui débite des choses vraies pour des bourdes, Tirli en Birli
- pieds dans son sang! ALDA. Voici m essire Ostasio. GARSENDA. Sauvons-nous! Sauvons-nous! Soudain le gr oupe des auditrices se disperse. Elles fuient par l’esc a l i e r < a ve c des rires et des cris a i g u s ; elles t r a ve r s e n t eu c ou r a nt
- sera fait. E x it . SCÈNE Entre porte II O S T AS I O DÂ P O L E N T A , du fond, en compagnie de par la grande maître T O L D O B E R AR D E NGO. O S T A S I O , e mp o i g n a n t le j o n g l e u r effaré. Que fais-tu ici, coquin? Avec
- gneu r? Je chantais une chanson. Je chantais la Table ronde. Ces femmes voulaient une his toire de chevaliers... Je suis jo n g leu r et je chante par faim ; et ma faim croyait avoir m ieux que des horions chez le m agnifique mes sire Guido. Je n ’ai
- alatesta! Il fait mi ne do par t i r en toute hâte. Ostasio lo r e mpoi gne e t appel le l’a r b a let ri er qui mont e la g a r d e dans la cour. OSTASIO. Jacom ello! LE JONGLEUR. Q u’ai-je fait? P ourquoi me m altraitez-vous? OSTASIO. T rop de