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Le martyre de Saint Sébastien
Editeur : L'Illustration théâtrale
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- 1911
- 7e A nnée. 2 7 M ai — 1 8 1 1911 L 'IL L U ST R A T IO N THEATRALE Journal d’Actualités Dramatiques PUBLIANT JO U É E S LE TEXTE DANS LES COM PLET DES PIÈCES PR IN C IPA U X THEATRES DE NOUVELLES PA RIS THEATRE DU CHATELET GRANDE
- .) & & PHOTOGRAPHIES A. BERT T o u s d ro its réserv és p our to u s les pays, y com pris la Suède e t la N orvège. C opyright by C alm ann-L évy, 1911. 2 L’ ILLUSTRATION TH É Â T R A LE L a m è re d o u lo u re u s e e t les je u n e s s œ u r s s u p p lia n te
- SAISON DE PARIS Direction G. ASTRUC et Cgnie DU 2 0 MAI AU 2 JUIN 1911 Dix R eprésentations de Gala MARTYRE SAINT SEBASTIEN DE M ystère en 5 actes, de G A B R IE L E D'ANNUNZIO Avec la Musique de CLAUDE DEBUSSY Décors et Costumes de M . LÉON BAKST
- D.ELBRECHT 1er acte . L a C our des L y s - 2èmeacte. L a C h am b re m a g iq u e 3èmeacte. L e C oncile des F a u x D ieu x , 4ème acte. L e L a u r ie r blessé — 5èmeacte. L e P a ra d is C opyright by C alm ann-L évy, 1911. T o u s d ro its réserv és p
- our to u s les pays, y com pris la Suède et la N orvège. L'Illustration Théâtrale parait mensuellement et publie des numéros spéciaux chaque fois que l’exige l'actualité dramatique. Aucun numéro de L'Illustration T héâtrale ne doit être vendu sans le
- GABRIELE D’ANNUNZIO M . G a b r ie l e d ’A n n u n z i o Phot. H. Manuel. Le Martyre de S ain t S éb astien a été représenté pour la prem ière fois le 21 m a i 1911 au théâtre du Châtelet. ( 1G rande saison de P a ris. — Direction G abriel A stru c
- M oyen de Jesu sch rist la g race. LE MESSAGER com m ence : Le D ieu qui fic t le firm em en t E t vo lsist naistre pu rem en t D e la noble V irge M arie Veuillie garder la com pagnie. A u N om de D ieu om n ipoten t E t des m artyrs ensem blem
- plus ta face, ô Christ ! LA M ERE DOULOUREUSE Mes fils, mes fils, voilà vos sœurs, vos cinq sœurs chéries, les cinq doigts de la main qui porte la rose ; et les com pagnes de leurs jeu x ; et vos égaux; et les offran d es pour les dieux sain ts: le vin
- de larmes. L es cinq sœ urs p a ra isse n t suivies de quelques com pagnes, en u n chœ ur de n e u f voix. E lles so n t si je u n e s que la d e rn iè re e st presque une e n fa n t. L égères e t vives comme des oiseaux, pleines de grâces su p p lian
- haute. Tu flaires leurs baumes... Ic i le courag e des je u n e s p riso n n ie rs com m ence à m ollir. M arc lu tte encore, fe rm a n t les p au p ières, s e rra n t les lèvres, re te n a n t son souffle, de p e u r q u ’il ne lui échappe quelque p
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- 1911
- sig n e à la dure tutélaire. E t, dans le trem blem ent de la sp len deu r et de — II — m on ressouvenir, je découvrais su r la m ontagne dangereuse com m e le prom on toire de C ircé la citadelle ruinée des rois d evin s ,%et j'en ten d
- creusées com me celles des socles chartrains ; des m oulures étaient traitées com m e pa r le cisea u cistercien . L a pierre n o ircie évoquait confusém ent les conquérants de la P o u ille , les m aîtres d’ œuvre venus avec les chevaliers de C
- bloc de marbre grec couleur de fro m en t! J e songe à m on délicat L a u ra n a , quand il vint travailler dans votre L o rra in e et ---- IV — q u 'il s ’ en q u it du grain de votre pierre. J e songe à ces J u ste qui se francisèrent com m e
- in e, dans la m in ia tu re f Jehan de Z’A p p a r ic io n d e M eu n . E n de m a îtr e com m ençant m on M ystère, j'a p e rçu s dans une lueur de pré résage la M ila n a is e su r son pa lefroi riche p m ent harnaché s ’ arrêter devant le
- lle . A lo rs, entre arc et flèche, je m e ra p p ela i a u ssi que J e h a n n e à C om piègn e avait avec elle une m in ce com pagnie d ’ archers italien s com m a n d ée p a r Bartolom eo Baretta, quand a u p rès du p o n t l’ archer p ica rd la
- . » J e vous avoue que, qu a nd l ’œ uvre fu t ' (j achevée, je fis vœu d’ aller p èlerin à Char tres p o u r rem irer les belles verrières et p o u r déposer le m a n u scrit in con n u , non su r l’ autel, à la grâce de D ie u , — com m e a u trefois
- un ciel p lu s am ple n i p lu s in d ulgent su r une p lu s sile n cie u se fécon in d ité. L a toute verte B ea u ce trem blait de douceur com m e un s e u l fil d ’ herbe; aux branches et des p om m iers fle u r is les nu ag es p a ra issa ien
- t se retrousser com m e de m olles tra în es a u x m a in s vives de fem~ m es prêtes à une estam pie ou à une rerev erdie. « Bele, dont estes vos nee ? » « De France sui la loee, du plus haut parage. Le rossignox est mon père... » A lo r s , en
- donc le livre, sauvé et pardonné. J e vous offre m es vers de F ra n ce parce que j'a im e vos proses d ’ Ita lie, mon cher M a u r ic e B a rrès. C e poèm e com posé dans le p a y s de M o n ta ig n e et de la forte résine, je vous le dédie parce que
- avoir célébrées en l ’ honneur ----- V ili — de voire M u s e dans u n épigram m e votif. A u c u n n e pourra, certes, com m e vous, com prendre le sin g u lier p la is ir que m e donnèrent m a hardiesse et un si haut danger. U n soir, a u x