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Le martyre de Saint Sébastien
Editeur : L'Illustration théâtrale
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- 1911
- 7e A nnée. 2 7 M ai — 1 8 1 1911 L 'IL L U ST R A T IO N THEATRALE Journal d’Actualités Dramatiques PUBLIANT JO U É E S LE TEXTE DANS LES COM PLET DES PIÈCES PR IN C IPA U X THEATRES DE NOUVELLES PA RIS THEATRE DU CHATELET GRANDE
- SAISON DE PARIS Direction G. ASTRUC et Cgnie DU 2 0 MAI AU 2 JUIN 1911 Dix R eprésentations de Gala MARTYRE SAINT SEBASTIEN DE M ystère en 5 actes, de G A B R IE L E D'ANNUNZIO Avec la Musique de CLAUDE DEBUSSY Décors et Costumes de M . LÉON BAKST
- D.ELBRECHT 1er acte . L a C our des L y s - 2èmeacte. L a C h am b re m a g iq u e 3èmeacte. L e C oncile des F a u x D ieu x , 4ème acte. L e L a u r ie r blessé — 5èmeacte. L e P a ra d is C opyright by C alm ann-L évy, 1911. T o u s d ro its réserv és p
- prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
- par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
- littérature con l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
- possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
- . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar dont l’histoire littéraire n’aura ja qui eut toujours les yeux
- clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
- * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- 1911
- Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
- Il a été tiré de cet ouvrage CIN QUANTE E X E M P L A IR E S SUR P A P IE R DE H OLLAND E tous numérotés. LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN M Y S T E R E C O M P O S E EN R Y T H M E FRANÇAIS PAR D ’A N N U N Z I O PARIS LE XXII s u r
- e d e m o n s e i g n e u r S a in c t e b a s t i e n jouée par les habitants Lanle villar Vannée courant de may. M. V. LXVII au moys NVNCIVS. D o u c e s g en s, u n p e u d e sile n ce ! S o y e z r e c u e illis e n p ré se n ce d e D ie u
- EU R S DE FLUTE. LES GENTILS, LES CHRETIENS, LES JU IFS LES ESCLAVES. LES SEPT SERAPHINS. \ aperçoit un portique intérieur, p e in t d’é étranges peintures par des Gentils, avec le carmin, l’outremer et l’or, entre les bêtes de l’entablement bas
- et les feuillages des cha piteaux lourds, qui se mirent dans les dalles polies. Par les sept ar arcades du fond ouvertes sur des jardins bleus, on aperçoit de grandes gerbes de lys, dont les tiges semblent serrées en faisceau autour de la plus haute
- comme autour de la hache les verges des licteurs. Un autel de marbre, consacré aux Idoles, se dresse dans l’enceinte, avec ses têtes de boucs et ses guirlandes de fruits sculptées, avec ses rainures rougies par l’écou lement du sang et du vin, avec les
- carcan, les ceps, et les bourreaux. Accablé par la graisse, il halette et sue, tandis que des esclaves accrou pis bercent ses pieds énormes, déformés par la podagre. Parfois, d’un mouvement de colère soudaine secouant sa somnolence, il frappe avec sa
- is . SA IN T . A rc h e rs, la is se z co u le r m o n sa n g . 305 II fa u t q u ’il co u le. P a s d e lin , beau DE SAINT SEBASTIEN 33 fem m es, p a s d e b a u m e . L a is s e z co u le r m o n san g. Ici une femme, la tête voilée par le pan
- v e u x ê tre à D ieu . 485 J e v e u x m o u rir. Ici paraît Théodote, porté par ses serfs, la toge ramenée sur son visage, sans mot dire. LA M ER E D O U L O U R E U SE . H o n te su r n o u s ! H o n te su r n o u s ! R e g a r d e ce v ie
- ses, ( par les têtes noires 575 des grands pavots roses ! LA C I N Q U I E M E . E t p a r la g re n a d e e t p a r les n e u f g ra in s to m b é s d e l ’écrin su r le n o ir r iv a g e , 580 d é to u rn e ces âm es du P o r t a il d ’a ira
- n a s e a u x l ’ é ta lo n n u m id e t o u t b la n c , d o n t la p e a u e s t u n fe u h u m id e ; ceindre du fronteau, 715 tenir par la bride cette flamme lisse à quatre sabots; bondir au garrot! DE SAINT SEBASTIEN LE SEPTIEM E. Il y