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  • Collection > Université Grenoble Alpes Enlever ]
  • Année > 1919 Enlever ]
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Histoire de la Société d'études italiennes

Auteur : Dejob, Charles (1847-1916)

Editeur : E. De Boccard (Paris)

Date : 1919

Sujets : Etudes italiennes

  • 1919
  • 34306 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’ÉTUDES ITALIENNES PAR CHARLES DEJOB PROFESSEUR HONORAIRE A LA SORBONNE PARIS E. de BOCCARD, 1. RUE Editeur E MÉDICIS, D 1919 1 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’ÉTUDES ITALIENNES DU MÊME AUTEUR Marc-Antoine
  • au XVIIIesiècle. Paris,Fontemoing, 1899. In 18jés. 4 fr. » La Foi religieuse en Italie au XIVe Siècle. Paris Fonte­ moing, 1906. In-18 jésus................. j 4 fr. » 34306 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’ÉTUDES ITALIENNES PAR CHARLES DEJOB PROFESSEUR
  • d’embarras ; mais je m’y achemi­ nais depuis longtemps sans le savoir. 'idée 6 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’abord j’y étais prédisposé par une vive admiration pour l’Italie contempo­ raine. Certainement son unité ne se serait pas accomplie sans nous, mais
  • rapprochement. Tous les écrivains étrangers, les Allemands comme les autres, tiennent à être connus en France, soit par estime pour notre goût, soit plutôt parce que nous savons louer et que, traduit ou simplement vanté en notre langue, un livre fait plus vite
  • projet d’une Société qui visât par la littérature au rapprochement des deux peuples. J’étais un simple professeur du collège Stanislas, et dépourvu de toute accointance avec la presse, mais l’idée me paraissait séduisante ; plusieurs ouvrages, bons ou
  • par là de cer­ taines ressources. Plus d’un m’en avertissait et notamment M. Gaston .Paris qui, dès la première ouverture, s’était intéressé à la tentative : « Faites comme tout le monde », me disait-il, « demandez une cotisation, mi­ nime, si vous le
  • nos Bulletins était couverte par les entrées à nos conférences, mais je tenais à ne pas me laisser entraîner ou compromettre. Ainsi entendue, la Société me paraissait avoir chance de se soutenir : vivre presque de l’air du temps est quelquefois le
  • meilleur moyen de vivre vieux. Toutefois les lettres d’invitation à nos conférences et les deux Bulletins que je comptais publier par an, les frais de poste ne pouvaient pas ne point fournir un total assez respectable. Je tins chez moi une sorte de conseil
  • elle. Pressenti par M. Gaston Boissier, il accepta avec au­ tant de simplicité que de bonté, sans même faire d’autre observation que sur le titre « So­ d’études italiennes 15 ciété d’Études Italiennes », qui est en effet d’un français douteux, mais
  • en mars, mais il importait de commencer tout de suite, et je rédigeai la circulaire dont j’eus la bonne fortune d’obtenir la révision par M. Albert Sorel. La voici : « Il a paru à quelques amis de la littérature et de l’art italien que l’heure était
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Etudes italiennes

Editeur : Ernest Leroux

Date : 1919

Sujets : Littérature romane | Périodiques

  • 1919
  • É T U D E S IT A L IE N N E S 1re ANNÉE - 1919 ANGERS -IMP. F. GAULTIERET A THEBERT. RUR GARNIER. A U X L E C T E U R S Non si volta chi a stella è fisso. Leonardo Da Vinci. Ceci n'est pas, à proprement p a rler, une revue nouvelle
  • se dérober au devoir et à l'honneur de reprendre l’ œuvre si vaillamment inaugurée, il y a dix-huit ans, à Bordeaux. Elle a eu la bonne fortune de rencontrer un éditeur entreprenant, dont l’esprit d’ initiative ne se laisse pas intimider par les
  • ’ une revue nais­ sante est constitué par la composition de ses premiers fasci­ cules. Cependant nous avons certaines ambitions, que nous croyons avouables; et il nous parait utile, pou r dissiper toute équivoque, de définir nettement la position que
  • ; selon toute probabilité, l’année de leur apparition sera une date glorieuse dans l’histoire de l'humanité. » Comme chacun de nous, notre maître se mépre­ nait sur l'heure de la victoire : elle a sonné avant la fin de 1918 ; mais l'année 1919 va bien
  • italiens pour nous aider, par leurs conseils, p a r leur collaboration, par leur appui, à triompher des obstacles qui rendent nos premiers pas un peu difficiles. De l'intérêt que rencontreront nos efforts auprès du public lettré dépend, en dernière analyse
  • , a eu une action plus directe sur leur temps. On peut comparer leurs paysages, plus intellectuels chez l’un, plus sensibles chez l’autre, mais inspirés par la même nature et le même ciel. Les deux maîtres représentent ce qu’ il y a de plus élevé et de
  • était pour lui son tableau véritable : l’interprétation poétique et réelle de la nature, par les grandes masses d’ombre que font au premier plan les édifices et les feuillages, par la fuite de la perspective, la vibration de l’atmosphère insaisissable et
  • critique moderne. Regrettant que la campagne romaine n’ait pas été assez étudiée par les anciens peintres, M. Ugo Fleres, qui a écrit sur le sujet un livre charmant, met leur abstention sur le compte de la peur de la fièvre, et croit pouvoir ajouter
  • compositions de Claude. Il conviendrait tout d’ abord d’en faire le relevé dans l’ ensemble de ses peintures, en se servant par exemple de la précieuse série photographique réunie depuis de longues années par la 1. Le texte original de Sandrart est en allemand
  • maître français. Pl. II. LE CAMPO VACCINO Renversement de l'eau forte de Claude Lorrain d'après sa peinture et dans le sens de celle-ci maison Braun, et en la complétant par les anciennes gravures. On suivrait la même enquête parmi les dessins ; d