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Roland furieux, Tome I
Editeur : P. Masgana
Date : 1842
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- , les termes qui en rehaussent le mérite et l’ utilité, les vérités qui leur sont à la fois un guide et un but. Ce livre est une belle manifestation poétique en même temps qu’ un acte de haute moralité. NOUVELLES SATIRES. 1 vol. in-8. . . 7 fr. 50 c
- de sty le con tin u e, telle est la d o ub le tâche que se son t imposée les traducteurs du divin A rioste. L es su ffrages du public et l'approbation de la critiq ue prouvent qu’ ils l’on t rem plie. E n e ffe t, rapprochée du texte italien, cette
- , exécuté vers par vers (et qui rend cet ou vrage com m e propre à l'E d ite u r), ajoute encore à sa perfection. L e chem in du m ieux ne sa u rait ja m ais être fe r m é ; l’ É d iteu r ose dire cependant qu ’ un nouveau trad u cteu r d ’A rio ste
- éviterait d iffici lem ent a ujou rd’ hui les traces de ses deux devanciers. — Com m e exécution typ o grap h iq ue, on rem arquera qu ’on a ram ené ici à deu x volum es les cinq volum es des éditions p récéd en tes; que si on n’a point poussé plus loin
- que le Tasse, moins voisin des troubadours que Pétrarque, mêlé autrement que Dante aux affaires de ce monde, c’est par l’in spiration seulement qu’ il ressemble à ces trois grands poètes. Il ne dépasse pas les proportions communes; ses souffrances
- u r e u x , qu’ il devait un jour faire oublier en le continuant, en était le gouverneur. Sa famille était pauvre, mais noble, et son père avait eu la faveur d’Hercule d'Est, duc de Ferrare. Louis était l’aîné de dix enfants q u i, orphelins de bonne
- T hisbé ; il en fit une tragédie qu’ il représentait avec ses frères et scs sœurs : c’était apparemment une réminiscence de ses lectures d’Ovide. Jaloux de cultiver ses belles dispositions, son père l’envoya à l’ université de Ferrare, où il étonna
- lettres et des sciences en Europe. (A. de L. ) VIE DE L ’AR IOSTE. v doute, dans sa servitude enviée de Ferrare, l’Arioste se demanda s’il avait eu bien raison de ne pas tenir compte de la sage prévoyance de son père. I Quoi qu’ il en soit, il avait
- langage évangélique d’ une exquise mélancolie, aux pensées de Marie il dut faire succéder l’œuvre de Marthe. Le rêveur se réveilla père de famille. Il paraî t qu’ il se dévoua avec courage à ses nouveaux de voirs ; il en parle en termes qui le font aimer
- beauté, et, en dépit des témoignages les plus authenti ques, l’ imagination ne veut replacer dans ces jardins délicieux, au bord de ces fontaines de marbre, devant ces grandes fresques, entre ces statues vivantes, qu’ une société che valeresque, peuple