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La Muse de Pétrarque ou Laure des Baux

Auteur : Costaing de Pusignan, Jean Joseph François (1770?-1820)

Editeur : Avignon : Bonnet

Date : 1819

Sujets : Pétrarque (1304-1374) -- Critique et interprétation -- 14e siècle| Laure (personnage fictif)

  • 1819
  • U E S A I N T - A N D R E - D E S - i ^ S , ' A AVIGNON, ciiez bonnet f il s , im prim eu r, - l ib r a ir e . 1819. ‘ A L A V I L L E D ’A V I G N O N . A M .R L E M CO M TE M A IR E DE o n sieu r le LA DE C A M B IS , % Y IL LE
  • recommandation dans une carrière où tout autre intérêt resterait au-dessous de lues vues. Je n’ai d on c, monsieur le com te, d’autre am bi­ tion dans la publication démon ouvrage , dont tout le mérite appartiendra à l’historien de Vaucluse , que celle de
  • lettres l’histoire de L au re des B a u x , avec tout l’intérêt qu’elle pré­ sente dans les divers ouvrages latins et italiens de ce p o êle, je me suis imposé la tâ c h e , aussi com plexe que laborieuse , de traduire ses poésies dansles deux lan g u es
  • onnêteté et de pudeur. E n ­ nemi déclaré du mensonge , il détestait tous les vices , cultivait toutes les vertus. Il était si doux , si pieux , qu’on l’appelait com m u­ nément l’homme p u r , l’homme vierge, p a r thenias alter », I l dit encore de lui
  • ses com ­ positions, qui ne sont que des éloges de la vertu de Laure , cl les triom phes de son pro­ pre cœur. D ’ailleurs, si l’on examine le ( 5 ) arctère des poésies de Pétrarque , on reconnaîtra qu’elles portent le sceau de sa langue cheva­
  • - Une troisième L au re A dhe­ mar fut religieuse à l’abbaye de Saint-Pont, au diocèse de Marseille , en 127^. Une quatrième L au re Adhem ar fut religieuse k ( 9 y s abbaye du B o u csiet, au Com té-Venaissin , en 128 2 (i). L a cinquième L a u r e
  • le Com tat tant de monumens de leur piété et de leur grandeur. L e poëte va nous en four­ nir une nouvelle preuve dans l’offrande des7 pommes d’orange qui fut faite à V aucluse, dans la chapelle de Saumane , par la mère de G u illan m e-au -C o rn et
  • vive, y gouvernait ses fleuves et les jeunes dames de sa fam ille; le second, ayant le corps ceint de Tache verdoyante qui le d éco rait, remuait d an sle sflo is ses nattes d ’o r , com p­ tant les poissons qu’il avait pris sous le gouf­ fre de la
  • n te u x , de Carom b et du B a rio u x , au Com té Vénaissin , selon l ’histoire généalogique de celte maison , m’a paru celui dont parle ici Pétrarque. 11 ven­ dit la seigneurie de Monteux et les eaux de C arom b , le (5 octobre i 3 i 3 . Il fut
  • forêts de V a u c lu se, qui com pre­ nait Saumane jusqu’à L isle , L agn es, Cabrières et partie de Cavaillon. Ces mêmes sei­ gneurs , qui avaient élevé la citadelle de Saum ane pour défendre les avenues de la Sorgue , avaient aussi fait hâtir la