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- Année > 1842 [ Enlever ]
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Roland furieux, Tome I
Editeur : P. Masgana
Date : 1842
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- 1842
- LATOUR T O M E P R E M I E R PARIS PAUL MASGANA, LIBRAIRE-ÉDITEUR 12 GALERIE DE L’ ODEON 1842 LIB R A IR IE PAUL MASGAN A , 12 GALERIE DE L’ODÉON. E n vente : ARIOSTE. - ROLAND F U R IEU X . Traduction de Panckoucke et Fram ery, nouvellement
- traduction offre, par sa division en o c ta v e s, une étude com parative très-utile ; lue pour elle-m ê m e, elle a to ute l’aisance et l’allure facile d’une œ uvre origin ale. Quel lecteur de nos jo u rs (e n adm ettant tous les systèm es littéraires
- , exécuté vers par vers (et qui rend cet ou vrage com m e propre à l'E d ite u r), ajoute encore à sa perfection. L e chem in du m ieux ne sa u rait ja m ais être fe r m é ; l’ É d iteu r ose dire cependant qu ’ un nouveau trad u cteu r d ’A rio ste
- éviterait d iffici lem ent a ujou rd’ hui les traces de ses deux devanciers. — Com m e exécution typ o grap h iq ue, on rem arquera qu ’on a ram ené ici à deu x volum es les cinq volum es des éditions p récéd en tes; que si on n’a point poussé plus loin
- cette rédu ction , c’est que des livres com p actes publiés récem m ent on t été ju g é s illisibles. P au l M ASG AN A. P aris, le 8 ju in 18 2 4 ' , ' • - VIE DE L ’ A R I O S T E . La vie du Tasse est tout un drame dont le dernier mot est
- , les palad ins, le s com b ats, les am ou rs, la galanterie et les audacieux exploits, qui sign alèren t ces tem ps o ù les M aures p assèren t la m er d ’A fr iq u e , et cau sèren t ta n t de m aux à la F rance en épousant la querelle et les b o u
- appris ; com m en t l’ am our ren dit insensé et furieux un héros, ju s q u ’alors réputé si sa g e : pourvu toutefois que celle qui m ’a ré d u it presque au m ême é ta t, et qui chaque jo u r se p laît à m iner ma faible r a is o n , veu ille bien m ’en
- royaum e de F ran ce. R oland n e pou vait arriver plus à propos ; m ais il ne tarda pas à se repentir de son retour. V I I . C ar b ien tôt il se vit enlever sa dam e (v o y e z com m e la prudence hum aine est souvent en d é f a u t ) ; celle qu e, des
- bords de l’ O rient a u x rivages de l’O cc id e n t, il a défendue par ta n t de com bats, lui est ravie, sans coup férir, dans sa patrie, au m ilieu de ses nom breux am is. L e prudent em pereur v o u lant éteindre un dan gereux in ce n d ie , fu t
- celui qui la lui ravit. V III. Peu de jo u rs a v a n t, il s'était élevé u n e q u erelle e n tre le com te R o lan d et R en au d , son cousin ; car tous les deux b rû laien t du plus violen t am our pour la rare b e a u té ; C h a rle s , à qui cette