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- Année > 1910 [ Enlever ]
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Francesca da Rimini
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1910
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- 1910
- . C opyright, 1910, by R e v u e (le P aris. AVERTISSEMENT Le tex te o rig in al de cette trag é d ie, in s p irée p a r le c h a n t cin q u ièm e de Y E n fer, est com posé en v ers de onze, de sep t et de cinq syllabes, lesq u els, dans la
- m arc h an d , les filles, les m u si ciens lu tte n t d ’esp rit reto rs et de chicane, com m e dans une so tie; 011 a u ra it pu m êm e co n se rv er p re sq u e to u jo u rs l ’o rd re efficace des m ots, en p ro fitan t de cette abondance de
- ) Dans la voûte qui est pleine de fatalité com m e l’an tre où siègent les Voyants près des sources m ystérieuses de la Vie; dans le ciel im m obile q u ’anim a de vents contraires M ichelange, de souffles formidables en des m em bres surhum ains; entre
- le héros nu pour qui la victoire est pain, et le solitaire prophète bestial de qui le F u tu r jaillit com m e un fleuve, la Sibylle tien t son rouleau, rayonnant su r ses deux voisins, très belle parce que l’hellène Apollon chante encore dans sa
- habite mon cœ ur : chaque m atin, je bals la flèche d ’or, pour q u ’elle frappe le but visé. V ainem ent au to u r de moi grince le rire des sots, vainem ent su r moi la niaise louange crépite com m e une pluie fastidieuse. Je n ’en ai cure. T oute basse
- ... polenta. LE J O N G L E U R . P olenta jau n e avec une fleur d ’ellébore noir, parce q u ’il n ’y a plus de poivre dans le monde. T o u t le poivre, sauf respect, les R avennates l’o n t... dans la pièce ronde, sau f respect de la com pagnie! GARSENDA
- . GARSENDA. C’est donc loi qui, de Bologne, m enais à F errare Ghisolabella de’ Caccianim ici au m ar quis Opizzo? LE J O N G L E U R . Oui, certes, oui, certes, com m e tu le dis. GARSENDA. E t c'est encore toi qui fis le m ariage de la sœ u r du m
- arquis avec ce ju g e riche de Gal lu ra, lequel, étan t un peu m ollasse, fut aidé p ar son gros valet... LE J O N G L E U R . Oui, certes, com m e tu le dis; et j ’eus de lui en présent... ALDA. Un os? DONELLA. Deux châtaignes? b IANCOFIORE. Trois
- bois, et qui parlait avec les épaules. ACTE PREMIER. 29 BIANCOFIORE. O h ! com m e elle est plus nouvelle, celle chose-là! Vite, dis com m ent, dis com m ent! DONELLA. S u r nos gardes! Tenons-nous su r nos gardes! LE J O N G L E U R . Je veux
- bien vous le dire. J ’ai trouvé un hom m e qui avait une grande cervelière sur la tête et qui allait cueillir des pignes dans la pigneraie de R avenne, m archant avec des béquilles; et, interrogé s’il avait vu un petit com pagnon parti en av an t, il
Lettres écrites d'Italie
Editeur : H. Champion
Date : 1910
Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle
- 1910
- CTIO N, A PP E N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARI S HONORÉ CHAMPION LIBRAIRE DE L A SOCIÉTÉ DES ETUDES RABELAISIENNES 5 , QUAI MALAQUAIS 1910 L E T T R E S É C R I T E S D ’ I T A PAR FRANÇOIS RABELAIS (Décembre 1535
- ota m m ent M. L éon D orez, R abelaesiana, " m aistre Jehan L u n e l" (extrait de la R evue des bibliothèques, 1905), p. 2-3. 4. L es voyages et les séjou rs de R abelais en Italie en com pagnie soit de Jean du B ella y , soit de G u illa u m e d u B
- . II, p. 86. Dans l ’édition de 1548, le passage est au chapitre v. V o ir L e Q uart L iv r e de P a n tagruel, éd. J. Plattard, Paris, 1910, p. 86-87. 4. V o ir n otam m ent A . H eulhard, op. c it., p. 61-66; A . T ille y , F ra n çois R ab elais
- sa u tier huguenot, t. I, ch. vi ; B. F on tan a, Renata d i F ra n c ia , R o m e, 1889, t. I, c h . v et vi. 4. V o ir dans E. R od ocan a ch i, R en ée de F ra n ce, duchesse de F e r rare, p. 84, n. I, la com p osition de la m aison de R en ée
- iers jo u rs de l’en trevu e de l’ E m p ereu r avec le Pap e. 1. Lettre du 28 janvier 1536. 2. Le cardinal Jean du Bellay en Italie, p. 79-84. 3. M. Heulhard croit au départ de Rabelais en même temps que Jean du Bellay. « Rabelais, son com plice
- su rto u t quinze cens au lieu de X I I e. Il nous fau t d o n c re co u rir à l’h y p o th èse d’un e co p ie in term éd ia ire où les ch iffres (com m e les dates d’ailleurs) a u raien t été tra n scrits en lettres et qui aurait été p arfo is assez
- c e s te v i l l e 5 5. E. pûs. — 6. E. peus. — 9. D. envoyray. — 10. E. escrit. — 11. E. frere, au. — 13. E. lesdites. — 14. E. une dattée. — 15. E. laquelle. — 16. D. me escriviez. — 17. E. l’autre. 1. Sans doute un religieux de Maillezais, com me
- Bertrand de Madaillan-Estissac et belle-sœ u r de l’évéque de Maillezais, qui mourut avant février 1522. Il s’agit donc, sans doute possible, com me l’a supposé M. Heulhard, op. cit., p. 73, n. 1, d’Anne de Daillon, que Louis de M adaillan-Estissac, fils de
- . faite. 1. Les lettres apostoliques (sub plumbo), com muném ent appelées bulles, étaient expédiées selon la teneur des suppliques présentées par les impétrants après que celles-ci avaient été agréées par la signature du Pape. Cette expédition se faisait