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Lettres écrites d'Italie

Auteur : Rabelais, François (1494?-1553)

Editeur : H. Champion

Date : 1910

Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle

  • 1910
  • CTIO N, A PP E N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARI S HONORÉ CHAMPION LIBRAIRE DE L A SOCIÉTÉ DES ETUDES RABELAISIENNES 5 , QUAI MALAQUAIS 1910 L E T T R E S É C R I T E S D ’ I T A PAR FRANÇOIS RABELAIS (Décembre 1535
  • PUBLICATION DE LA S O C IÉ T É D E S É T U D E S R A B E L A IS IE N N E S LETTRES ÉCRITES D’I T A L I E PAR FRANÇOIS RABELAIS (Dé c e mbr e 1 535 - F é v r i e r 1 536) NOUVELLE ÉD ITIO N CRITIQU E, DES NO TE S E T AV EC U NE UN INTRO D U
  • -Février 1536) L I E PUBLICATION DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES .... ----------- LETTRES ÉCRITES D’ITALIE PAR FRANÇOIS RABELAIS (D écem b re 1 535 -F é v rie r- 1 536) NO UVELLE É D IT IO N C R IT IQ U E , AVEC U N E IN T R O D U C T IO N
  • , DES N O TE S E T UN A PPE N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARIS HONORÉ CHAMPION L 1BRAIRE DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES 5, QUAI MALAQUAIS I9IO CETTE AUX É D IT IO N F RA IS F A IT E DE LA A ÉTÉ PU B L IÉ E D O N A T IO
  • ecin à l ’h ô p ital de cette v ille , a u x a p p o in tem en ts de 40 livres par an. D an s le co u ran t de l’ann ée 1 5 3 3 , Jean d u B e lla y et notre m é d ecin p u ren t se re n co n tre r p lu sieu rs fo is, ca r le p rem ier fit à L y o n tro
  • ella y, sieur de La ngey, ont été étud iés en détail pour la p rem ière fois par M. A rthur H eulhard, R ab elais, ses voyages en Ita lie , son e x il à M e tz , Paris, 1891, in-4°. L e 12, à L a n g re s, il receva it ses n o u v e lles in stru ctio
  • , il n ’est fait la 1. « A M. Jehan du B ellay, evesqu e de Paris, 2,25o l . t. par lettres à Langres, 12 janvier 1533 [a. s.], sur et tant m oin s et en dédu ction de ce q ui lu y sera taxé des voyages q u ’il a ja faits et en core présen ­ tem en t
  • rtan t, p o u r ne pas dire u n iq u e , est la lettre adressée à Jean du B e lla y , le 3 1 aoû t 1 534 , par la q u e lle R ab elais lu i fait h o m m age de l’é d itio n que S é b a stien G ry p h e a lla it p u b lie r de la T opographia romana de M
  • a rlia n i1 : à la su ite d ’élo g es h y p e rb o liq u e s (et p eu justifiés par les résultats) des q u a lité s o ra to ires et d ip lo m atiq u es de so n p ro te cte u r, il y a là des d étails p ré cis et p ré cieu x sur la m anière d o n t il u
  • a écrit une relation du sac de R om e p u b liée par M. L éon D orez, L e sac de Home ( 1 5 2 7 ) , R elation inédite de Jean C ave, O rléanais, dans les M éla n g es de l ’E cole fra n ça ise de Rom e, 1896. et enfin Jehan L u n e l, a bbé de S a in t-S
Francesca_da_Rimini.jpg

Francesca da Rimini

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1910

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • 1910
  • . C opyright, 1910, by R e v u e (le P aris. AVERTISSEMENT Le tex te o rig in al de cette trag é d ie, in s­ p irée p a r le c h a n t cin q u ièm e de Y E n fer, est com posé en v ers de onze, de sep t et de cinq syllabes, lesq u els, dans la
  • moins dém esurée que l’orgueil, la vertu de l’art, afin que par de grandes im ages notre livre soit digne qu’une m ain si pure le prenne et l’élève parm i les flam beaux éternels. Elle est celle qui discerne notre bien. Elle dit : « F rère, en moi tes
  • ’A S T R O L O G U E . LES M USICIENS. LES PORTEURS DE TORCHES. A Ravenne, chez les Polenta; à Rimini, chez les Malatesta. ACTE PREMIER On aperçoit, dans les dem eures des Polenta, une cour eontiguë à un jardin qui brille par delà une clôture de
  • seuil du jardin clos. Dans le fond, une grande porte et une fenêtre basse, gril­ lée de fer, par les baies desquelles on découvre une fuite d’arcades entourant une autre cour, plus vaste. Près de l’escalier est une arche sépulcrale byzantine, sans
  • to u ch er au rôt? Eh bien, si je suis un chien, il doit y avoir des chiennes par ici. Cherchons. 11 s c m e t à q u a t r e p a t t e s c o m m e u n c hi e n , f a i t m i n e d ’a s s a i l l i r l e s f e m m e s . GARSENDA. Ah ! chien cam us
  • BIANCOFIORE. Oui vient de Bologne sans un sou bolonais. ALDA. C ertainem ent il est de la faction des Lam ­ berlazzi. G A R S E N d A. P este soit d ’eux tous! ALDA. E t il est honni par les Geremei. A L T I C h IARA. As-tu perdu quelque grande seigneurie
  • haussa les épaules et me dit par elles q u ’il ne l'avait pas vu. B I A N C O F I O R E , a ve c dé d ai n . Mais c’est une chose vraie, cela ! LE J O N G L E U R . Suis-je pas nouveau, moi qui débite des choses vraies pour des bourdes, Tirli en Birli
  • pieds dans son sang! ALDA. Voici m essire Ostasio. GARSENDA. Sauvons-nous! Sauvons-nous! Soudain le gr oupe des auditrices se disperse. Elles fuient par l’esc a l i e r < a ve c des rires et des cris a i g u s ; elles t r a ve r s e n t eu c ou r a nt
  • sera fait. E x it . SCÈNE Entre porte II O S T AS I O DÂ P O L E N T A , du fond, en compagnie de par la grande maître T O L D O B E R AR D E NGO. O S T A S I O , e mp o i g n a n t le j o n g l e u r effaré. Que fais-tu ici, coquin? Avec
  • gneu r? Je chantais une chanson. Je chantais la Table ronde. Ces femmes voulaient une his­ toire de chevaliers... Je suis jo n g leu r et je chante par faim ; et ma faim croyait avoir m ieux que des horions chez le m agnifique mes­ sire Guido. Je n ’ai