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Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1911

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • 1911
  • Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
  • hypre, les colons fra n ça is de l’ Orient, tout un tum ulte de p u issa n ces et de fata lités adm irables. J e retrouvai quelques couleurs de m a rêverie, p lu s lard, sous les voûtes im pé riales de Castel del M o n te ; p u is dans la chapelle p a la
  • del P o lla iu o lo , où un svelte centaure do­ m in e du p o itr a il les archers à deu x p ied s — m on Sébastien parle, quelque part, du tendon de bête q u i s ’ a ju ste au fû t de son arc doublé et q u i s ’y colle de façon à ne fa ire qu ’ un
  • Il a été tiré de cet ouvrage CIN QUANTE E X E M P L A IR E S SUR P A P IE R DE H OLLAND E tous numérotés. LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN M Y S T E R E C O M P O S E EN R Y T H M E FRANÇAIS PAR D ’A N N U N Z I O PARIS LE XXII s u r
  • MAI l a s c e n e MCMXI G A B R I ELE et du AVEC joue a CHATELET LA MUSIQUE DE C L A U D E DEBUSSY. A PARIS CHEZ t '* C A L M A N N —L É V Y , ÉD ITEU RS'/. B.U. DE G R EN O BLE D-L Droits de reproduction, de traduction et de
  • représentations réservés pour tous les pays. Copyright, 19 11, by C a lm a n n - L é v y . La partition de M. C l a u d e D e b u s s y est en vente chez MM. D u r a n d et C le, 4, place de la Madeleine, Paris. A MAURICE BARRÈS U n jo u r d'été, au pa ys
  • des M a rses, en m a terre d ’ A bru zzes, j ’ écoutais sous le portail ta il d ’ une église un charm eur de serpents jo u er son air m agique su r un os de cerf à cin q trous q u ’ un ancêtre avait retrouvé, p a rm i des cendres, des verroteries et
  • des orges, dans un de ces sauvages sépulcres q u i sont les m illia ir e s de la route rom aine. C 'éta it le dernier descendant d ’ une lig n ée sac erdotale q u i de siècle en siècle avait fo u rn i sa à la citerne du S a n ctu a ire les couleuvres
  • sa crées. S e u l il con naissa it le « mode » que ses d ie u x lu i avaient transm is avec la flûte et avec la vertu. A u son du charme, la gent rep tile s'a g ita it dans le sac de cu ir en form e d ’ outre, ép a u le m arquée du su sp en d u
  • sig n e à la dure tutélaire. E t, dans le trem blem ent de la sp len deu r et de — II — m on ressouvenir, je découvrais su r la m ontagne dangereuse com m e le prom on toire de C ircé la citadelle ruinée des rois d evin s ,%et j'en ten d
  • a is le vent bruire dans les m êm es herbes que les m agiciennes m arses avaient broyées p o u r les matrones de R o m e ; et je sen ta is refluer du fo n d d ’ un e x il in fin i, su r les oliviers et su r les ro­ c hers, ro la m éla n colie du