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Bulletin franco-italien

Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)

Date : 1912-11

Sujets : Etudes italiennes

  • les Com­ fants au catéchisme. 11 conclut: « Dans l’en- munes, à payer les maîtres et à donner des « semble de la Savoie, y compris les villes primes à ceux qui se distinguaient.2 « et les bourgs, sur 100 enfants, le nombre D’autre part, des efforts
  • l’approbation de cette nouproportion des élèves dans les écoles primai­ « velle dépense ». res en 1845 est par rapport à la population Les écoles de méthode ne furent définitive­ totale de 14/100. En France, elle est à cette ment crées en Savoie qu’en 1850 : il
  • y en eut à Chambéry,6 S1 Jean de Maurienne, Albertépoque de 10/100. En 1848 commença pour l’enseignement villej Moutiers, Annecy, Bonneville. une ère 3 nouvelle : « déjà en 1847, CharlesLes cours qui duraient deux mois furent « Albert avait créé un
  • séance publique et distribua des prix à ceux qui y lisaient les meilleures compositions. Les membres les plus distingués, outre les fondateurs, furent Alphonse del Bène, évêque d’Alby, Pierre Fenouillet évêque de Montpellier, le C.tc Louis de Sales, les
  • «. Italie. Paris, H. Charles-Lavanzelle, 1911, 16°, p. 100. Deschamps (Philippe). L’Italie, la patrie des arts, la perle de I’Occident, le jardin de l’Europe. Les Exposi­ tions de Eome-Turin en 1911. Laval, impr. de L. Barnéond (1912), 8°, p. 128. Lémonon
  • Quatrième Année — N° 6. Novembre-Décembre 1912. BULLETIN FR AN CO-ITALI EN Ancienne: Italie Classique et Moderne RÉDACTION A Tlorcnce: 2, place manin La vie intellectuelle en Savoie de 1815 à 1860 Le premier traité de Paris (30 Mai 1814) rendit
  • une partie de la Savoie à Victor Emma­ nuel I : ce dernier prit possession des pro­ vinces qui lui étaient restituées en la per­ sonne de Galleani d’Agliano qui s’installa, ainsi que le Sénat de Savoie, à Conflans. Le second traité de Paris (20
  • Septembre 1815) lui rendit toute la Savoie et une commission royale reprit possession complète du terri­ toire le 16 Décembre 1815, tandis qu’un édit royal du 22 Décembre remettait en viguer, les Royales Constitutions et les Lois sardes. # # * Les années de
  • paix qui suivirent les trai­ tés de Paris furent singulièrement favora­ bles à l’éclosion de la vie intellectuelle savoyarde, et nous verrons qu’elles marquè­ rent en effet une Renaissance des études locales. Nous rechercherons les conditions qui
  • sein toute la valeur intellectuelle savoyarde ; nous re­ chercherons enfin les conditions que faisaient les lois à la libre expansion de la pensée par le journal et le livre, ce qui revient à étudier l’importation, l’imprimerie, la Cen­ sure, le théâtre