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Histoire de la Société d'études italiennes

Auteur : Dejob, Charles (1847-1916)

Editeur : E. De Boccard (Paris)

Date : 1919

Sujets : Etudes italiennes

  • 1919
  • 34306 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’ÉTUDES ITALIENNES PAR CHARLES DEJOB PROFESSEUR HONORAIRE A LA SORBONNE PARIS E. de BOCCARD, 1. RUE Editeur E MÉDICIS, D 1919 1 HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ D’ÉTUDES ITALIENNES DU MÊME AUTEUR Marc-Antoine
  • des engage­ ments ; une Revue, même composée avec des articles donnés pour rien, eût mis la caisse en déficit ; il était encore trop tôt, et d’ailleurs l’expérience m’a montré depuis 12 HISTOIRE DE LA SOCIETE que, sur dix conférences qu’on obtient
  • publié d’im­ portants articles inspirés ou signés par des personnes de marque qui avaient mis en lu­ mière la politesse faite à l’Italie par une élite de Français. Nos affaires allaient donc à souhait. J’avais dû, à la vérité, renoncer à un article de mon
  • M. Ferri qui s’en montra choqué, tout en adhérant à la proposition et qui m’écrivit : « Ces politiciens gâtent tout. » (22 mai 1894.) Néanmoins Bonghi avait mis la main sur un secrétaire zélé, le professeur Lesca ; une circulaire fut lancée le 30 mai
  • des chargés de cours et des lecteurs indigènes. D’autre part, I’italien avait obtenu en 1894 d’être mis sur le même pied que les langues du Nord pour les examens de jeunes filles dans l’enseignement secondaire, puis pour les deux sexes dans les
  • aca­ démicien, MM. Henri Chantavoine, Eugène Darsy, Paul Desjardins, Samuel Rocheblave, Roger Peyre ; des vétérans de la science mé­ dicale comme M. Labat ou feu Durand-Fardel qui s’était mis à I’italien sur ses vieux jours et faisait passer un frisson
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Etudes italiennes

Editeur : Ernest Leroux

Date : 1919

Sujets : Littérature romane | Périodiques

  • 1919
  • É T U D E S IT A L IE N N E S 1re ANNÉE - 1919 ANGERS -IMP. F. GAULTIERET A THEBERT. RUR GARNIER. A U X L E C T E U R S Non si volta chi a stella è fisso. Leonardo Da Vinci. Ceci n'est pas, à proprement p a rler, une revue nouvelle
  • ; selon toute probabilité, l’année de leur apparition sera une date glorieuse dans l’histoire de l'humanité. » Comme chacun de nous, notre maître se mépre­ nait sur l'heure de la victoire : elle a sonné avant la fin de 1918 ; mais l'année 1919 va bien
  • tore da collera sulle costanti mie negative, mi fece un atto per cui gli dissi : — Oh ! l'affare ha cominciato in commedia e vuol terminare in tragedia. — Son sue precise parole, e nulla si concluse. » Il Gazòla, per quanto vi si sforzasse, non riusci
  • forse da una certa somiglianza che scorgesi in alcune situazioni e nella catastrofe di questi due drammi. Ma l’autore ribatte aper­ tamente tale accusa, e mi sembra che ne abbia ben ragione; poiché assai differente è il concetto generale che vi domina e
  • Carducci, 1’ « italo Amleto », inspirò al de Vigny un’ ammirazione pietosa che è da rimpiangere non si manifestasse in un’ ode versificata. La traccia, per sommi capi è questa : — Gli avvenimenti poli­ tici del 1848-49 mi avevano (pensa il poeta) cosi
  • qui ont mis là leur énergie n’est pas tout à fait une duperie. L’impression est bien plus forte encore à la classe du soir, où tout le monde assiste, même les vieux ; souvent, l’insti­ tuteur y prend occasion d’un passage de la lecture pour inter­