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Bulletin franco-italien

Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)

Date : 1912-01

Sujets : Etudes italiennes

  • 50. Prix du numéro : 1 franc. Rédaction et Administration - 2, place Manin - Florence FLORENCE TYPOGRAPHIE GIUNTINA DIRIGÉE PAR L. FRANCESCHIN1 4, Rue del Sole COMITÉ DE DIRECTION: Benedetto CROCE, Sénateur du Royaume d’Italie. Paul DESCHANEL, de
  • suivie d’un bref commentaire d’une page de français et d’une d’italien. Le vainqueur reçoit 200 francs séance tenante, 100 francs à la nouvelle de son arrivée à Florence, 100 dans les cinq jours qui précèdent son retour en France. En 1911, la bourse fut
  • °, p. 100. L. 1,25. Cours (Nouveau) de lectures françaises, choisies et gra­ duées à l’usage des écoles d’Italie par le prof. P. Petrini. Deuxième cours. Dixième édition, revue et augmentée. Milan-Rome-Naples, soc. éd. Dante Ali­ ghieri, de Albrighi
  • (Le colombine), comédie en 3 actes par Gandillot et De Bell, jouée pour la première fois à Bologne (Arena del Sole) par la troupe Severi-Zoncada, le 22 août. Les bleus de l’amour (I coscritti dell’amore) comédie en 3 actes par Romain Coolus in Milano
  • . Napoli, F. Perrella (A. Traili), 1910, 16°, p. 479. L. 4. SeRao (Matilde). — Piccole Anime. Racconti. Firenze, la « Rinascita del libro », casa ed. italiana di An­ tonio Quattrini (stab. G. Civelli), 1910, 16°, p. 100. Cent. 30. Tettoni (Emma). — Anime
  • 3029 Janvier-Février 1912. Quatrième Année — N" 1. BULLETIN FRANCO-ITALIEN Ancienne: Italie Classique et Moderne Reçoit les Communications de: l’Association des Italianisants du Sud-Est l’Institut Français de Florence l’Association des Amis de 1
  • 'Institut de Florence à Paris l’Association lyonnaise des Amis de l’Institut de Florence la Società italo-francese de Rome la Ligue franco-italienne de Turin etc. PARAIT TOUS LES DEUX MOIS Abonnement : France et Italie : 6 francs. - Autres pays : 6 francs
  • l’Académie Française, ancien Président de la Chambre des Députés. E. FAGUET, de l’Académie Française. Guglielmo FERRERO. A. de FOVILLE, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences Morales et Politiques. LARNAUDE, Professeur à la Faculté de Droit de
  • Paris. J. LUCHAIRE, Directeur de l’Institut français de Florence. Maurice FAURE, Sénateur. Guido MAZZONI, Sénateur du Royaume d’Italie. G. MONOD, Membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques. Ugo OJETTI. E.-G. PARODI, Professeur à la Faculté
  • des Lettres de Florence. Georges RENARD, Professeur au Collège de France. ROUJON, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Beaux-Arts, de l’Académie fran­ çaise, etc., etc. -------------------- ----------------- SOMMAIRE: Pages. Georges Renard
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Bulletin franco-italien

Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)

Date : 1912-03

Sujets : Etudes italiennes

  • . A toutes les ca­ 1 Le passage cité se trouve pp. 6-7 et va depuis : « Ubi vero decimum quintum annum » à « hispaniee­ que loqui ». 2 Journal de voyage de Montaigne (ed. Lautrey, Hachette, 1906), cfr. aussi l’éd. de M. d’Ancona (L’Ita­ lia alla fine del
  • secolo XVI; giornale del viaggio di Michele de Montaigne, Città di Castello, 1889). 3 Cfr. H. Bouchitté. Le Poussin, sa vie et son œuvre. Paris, 1858. Poussin arrive à Rome en 1624. Avec lui étaient Duquesnoy, les frères Duguet etc. BULLETIN FRANCO
  • , XXXIII, 1883. — L. Pastor. Ge­ schichte der Päpste; seit dem Ausgang des Mittelalters, 4e éd., Fribourg-en-Brisgau, 1901-1909, 5 vol. in-8 ; 3e vol. 6 Nous citons les fonds d’après l’Inventario som­ mario del R. Archivio di Stato di Firenze, Florence
  • Conseils fournit assez peu de renseignements. La série dite des Provvisioni della Signoria concerne unique­ ment la législation intérieure ; celle des Par­ titi del Consiglio est relative aux votes des Provvisioni. La série très complète des Deli­ berazioni
  • lettere missive, per la mag­ gior parte fuori del dominio. Cette série est constituée par 48 registres où les lettres des Dix étaient recopiées au jour le jour avec grand soin. Les registres BULLETIN FRANCO-ITALIEN. contemporains du Concile, très riches
  • » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » 100 101 102 99 100 104 105 106 107 103 108 27 Par suite d’une erreur de classement, les lettres de mars-avril 1511 (avant Pâques) et de mars-avril 1510 (avant Pâques) se trou­ vent mêlées dans le volume n°. 100. Un grand nombre de ces lettres sont
  • Acciajuoli, am­ bassadeur auprès de Louis XII). — Le Con­ cile français de Tours autorise le roi à pro­ cèder contre le pape (lettres d’Acciajuoli). Sources principales, Dieci di Balia, Re­ sponsive 100-102. II. Octobre 1510-mai 1511. — Séjour des cardinaux
  • , Responsive, Originali 9 » » » » 33 Dieci di Balia, Resp. 102, 99, 100, 103, 104 » » Leg. e Com. 35-36. On garde les brouillons d’un certain nom­ bre de lettres adressées à la Seigneurie par des officiers et commissaires établis dans les villes du domaine
  • commissaires et officiers, Giovanni da Poppi, Francesco Vettori, Posso Ridolfi, Gio­ vanni Barducci). — Préparatifs du Concile à Pise (correspondance avec Piero del Nero et Niccolò de’ Zati, capitaine et podestat). Sources principales : Dieci di Balia, Cart
  • premières sessions ; tumultes ; départ des prélats français (lettres de P. del Nero et Niccolò de’ Zati, Rosso Ridolfi et Antonio Portinari ; instructions) — Retour des Cardinaux en Lombardie ; leur méconten­ tement (lettres de Giovanni Barducci
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Bulletin franco-italien

Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)

Date : 1912-07

Sujets : Etudes italiennes

  • d’Audebert à Angelo dei Massimi. Il y avait aussi le palais di Luca de’ Massimi «presso a la Valle» qui contenait aussi beaucoup d’œuvres d’art. (Aldo­ vrandi, p. 169). 4 « In capo del cortiglio di questa casa si sede sopra une base posta una statua intiera
  • : 2, place Manin, à Florence Congrès des Etudes italiennes à Grenoble (14-15 juillet 1912). Le Congrès des Etudes italiennes tenu à Grenoble le 14 et 15 juillet 1912 a eu non seulement une portée politique immédiate, que tout lé monde a aperçue, mais
  • aussi une valeur technique. Ce n’est par ici le lieu d’insister sur l’op­ portunité et l’importance, au point de vue diplomatique, des témoignages de sympathie que le public français a adressés alors à la nation italienne. Rappelons seulement en quelques
  • mots comment, en dehors de toute risée politique proprement dite, il est possible de travailler méthodiquement à l’accroissement et à l’organisation des relations morales entre deux pays. Ce Congrès de Grenoble donne un bon exemple d’une telle méthode
  • . On peut remarquer que les sciences, lettres et arts depuis quelque temps, se rencontrent souvent avec la politique dans certaines manifestations. Cela n’est pas sans raison. Sur cette même question des rela­ tions franco-italiennes, quelques jours avant le
  • congrès de Grenoble, avait lieu à Paris, dans l’amphithéâtre de la Sorbonne une cé­ rémonie en l’honneur de Léonard de Vinci, où des hommes d’Etat firent d’importantes déclarations. S’il arrive parfois que le thème littéraire ou artistique de la
  • manifestation n’apparaît plus que comme un prétexte, il n’en a pas été ainsi à Grenoble. Là, l’Uni­ versité a vraiment collaboré à la séance du 15 juillet dernier par la présence de ses pro­ fesseurs, par la parole de son Recteur. Il con­ vient de la féliciter
  • de ce qu’on doit peut-être appeler un acte de courage, — du moins d’une initiative heureuse. Elle a ainsi mar­ qué, discrètement, mais fermement, sans se compromettre, d’une façon qu’il faudra reconnaître légitime, la part que peuvent prendre à la vie
  • publique du pays en un de ses points les plus délicats, les gens d’étude, les corps et institutions consacrés au travail intellectuel désintéressé. En effet les relations entre les peuples ne re­ posent pas seulement sur les faits particuliers, les
  • intérêts, les calculs de forces, les systèmes qui ne peuvent guère être connus et maniés que par les spécialistes de la politique et de la diplomatie. Ces relations dépendent aussi, et de plus en plus, de l’opinion publique, qui voit plus gros, qui procède
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Bulletin franco-italien

Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)

Date : 1912-11

Sujets : Etudes italiennes

  • les Com­ fants au catéchisme. 11 conclut: « Dans l’en- munes, à payer les maîtres et à donner des « semble de la Savoie, y compris les villes primes à ceux qui se distinguaient.2 « et les bourgs, sur 100 enfants, le nombre D’autre part, des efforts
  • l’approbation de cette nouproportion des élèves dans les écoles primai­ « velle dépense ». res en 1845 est par rapport à la population Les écoles de méthode ne furent définitive­ totale de 14/100. En France, elle est à cette ment crées en Savoie qu’en 1850 : il
  • y en eut à Chambéry,6 S1 Jean de Maurienne, Albertépoque de 10/100. En 1848 commença pour l’enseignement villej Moutiers, Annecy, Bonneville. une ère 3 nouvelle : « déjà en 1847, CharlesLes cours qui duraient deux mois furent « Albert avait créé un
  • séance publique et distribua des prix à ceux qui y lisaient les meilleures compositions. Les membres les plus distingués, outre les fondateurs, furent Alphonse del Bène, évêque d’Alby, Pierre Fenouillet évêque de Montpellier, le C.tc Louis de Sales, les
  • «. Italie. Paris, H. Charles-Lavanzelle, 1911, 16°, p. 100. Deschamps (Philippe). L’Italie, la patrie des arts, la perle de I’Occident, le jardin de l’Europe. Les Exposi­ tions de Eome-Turin en 1911. Laval, impr. de L. Barnéond (1912), 8°, p. 128. Lémonon
  • Quatrième Année — N° 6. Novembre-Décembre 1912. BULLETIN FR AN CO-ITALI EN Ancienne: Italie Classique et Moderne RÉDACTION A Tlorcnce: 2, place manin La vie intellectuelle en Savoie de 1815 à 1860 Le premier traité de Paris (30 Mai 1814) rendit
  • une partie de la Savoie à Victor Emma­ nuel I : ce dernier prit possession des pro­ vinces qui lui étaient restituées en la per­ sonne de Galleani d’Agliano qui s’installa, ainsi que le Sénat de Savoie, à Conflans. Le second traité de Paris (20
  • Septembre 1815) lui rendit toute la Savoie et une commission royale reprit possession complète du terri­ toire le 16 Décembre 1815, tandis qu’un édit royal du 22 Décembre remettait en viguer, les Royales Constitutions et les Lois sardes. # # * Les années de
  • paix qui suivirent les trai­ tés de Paris furent singulièrement favora­ bles à l’éclosion de la vie intellectuelle savoyarde, et nous verrons qu’elles marquè­ rent en effet une Renaissance des études locales. Nous rechercherons les conditions qui
  • sein toute la valeur intellectuelle savoyarde ; nous re­ chercherons enfin les conditions que faisaient les lois à la libre expansion de la pensée par le journal et le livre, ce qui revient à étudier l’importation, l’imprimerie, la Cen­ sure, le théâtre