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Etudes italiennes
Editeur : Ernest Leroux
Date : 1919
Sujets : Littérature romane | Périodiques
- se dérober au devoir et à l'honneur de reprendre l’ œuvre si vaillamment inaugurée, il y a dix-huit ans, à Bordeaux. Elle a eu la bonne fortune de rencontrer un éditeur entreprenant, dont l’esprit d’ initiative ne se laisse pas intimider par les
- ’ une revue nais sante est constitué par la composition de ses premiers fasci cules. Cependant nous avons certaines ambitions, que nous croyons avouables; et il nous parait utile, pou r dissiper toute équivoque, de définir nettement la position que
- italiens pour nous aider, par leurs conseils, p a r leur collaboration, par leur appui, à triompher des obstacles qui rendent nos premiers pas un peu difficiles. De l'intérêt que rencontreront nos efforts auprès du public lettré dépend, en dernière analyse
- , a eu une action plus directe sur leur temps. On peut comparer leurs paysages, plus intellectuels chez l’un, plus sensibles chez l’autre, mais inspirés par la même nature et le même ciel. Les deux maîtres représentent ce qu’ il y a de plus élevé et de
- était pour lui son tableau véritable : l’interprétation poétique et réelle de la nature, par les grandes masses d’ombre que font au premier plan les édifices et les feuillages, par la fuite de la perspective, la vibration de l’atmosphère insaisissable et
- critique moderne. Regrettant que la campagne romaine n’ait pas été assez étudiée par les anciens peintres, M. Ugo Fleres, qui a écrit sur le sujet un livre charmant, met leur abstention sur le compte de la peur de la fièvre, et croit pouvoir ajouter
- compositions de Claude. Il conviendrait tout d’ abord d’en faire le relevé dans l’ ensemble de ses peintures, en se servant par exemple de la précieuse série photographique réunie depuis de longues années par la 1. Le texte original de Sandrart est en allemand
- maître français. Pl. II. LE CAMPO VACCINO Renversement de l'eau forte de Claude Lorrain d'après sa peinture et dans le sens de celle-ci maison Braun, et en la complétant par les anciennes gravures. On suivrait la même enquête parmi les dessins ; d
- peut-être, dans les nombreuses études d’après nature exécutées par le grand peintre. Outre les collections particulières, les grandes collections qui renferment le plus grand nombre de ses dessins sont le British Museum, qui en est particulièrement
- des dessins du Musée du Louvre et du Musée de Versailles, par MM. Jean Guiff rey et Pierre Marcel. Le texte ne donne aucune indication typographique, sauf pour le n° 4118. — La série Hesel tine, qui vient d'entrer au Louvre, ne compte pas moins de