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Le martyre de Saint Sébastien

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : L'Illustration théâtrale

Date : 1911

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
  • par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
  • littérature con­ l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
  • possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
  • . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar­ dont l’histoire littéraire n’aura ja­ qui eut toujours les yeux
  • clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi­ conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
  • * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
  • t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se­ a rc ad e s d u fond o u v
  • saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
  • les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices
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Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1911

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
  • Il a été tiré de cet ouvrage CIN QUANTE E X E M P L A IR E S SUR P A P IE R DE H OLLAND E tous numérotés. LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN M Y S T E R E C O M P O S E EN R Y T H M E FRANÇAIS PAR D ’A N N U N Z I O PARIS LE XXII s u r
  • e d e m o n s e i g n e u r S a in c t e b a s t i e n jouée par les habitants Lanle villar Vannée courant de may. M. V. LXVII au moys NVNCIVS. D o u c e s g en s, u n p e u d e sile n ce ! S o y e z r e c u e illis e n p ré se n ce d e D ie u
  • EU R S DE FLUTE. LES GENTILS, LES CHRETIENS, LES JU IFS LES ESCLAVES. LES SEPT SERAPHINS. \ aperçoit un portique intérieur, p e in t d’é­ étranges peintures par des Gentils, avec le carmin, l’outremer et l’or, entre les bêtes de l’entablement bas
  • et les feuillages des cha­ piteaux lourds, qui se mirent dans les dalles polies. Par les sept ar­ arcades du fond ouvertes sur des jardins bleus, on aperçoit de grandes gerbes de lys, dont les tiges semblent serrées en faisceau autour de la plus haute
  • comme autour de la hache les verges des licteurs. Un autel de marbre, consacré aux Idoles, se dresse dans l’enceinte, avec ses têtes de boucs et ses guirlandes de fruits sculptées, avec ses rainures rougies par l’écou­ lement du sang et du vin, avec les
  • carcan, les ceps, et les bourreaux. Accablé par la graisse, il halette et sue, tandis que des esclaves accrou­ pis bercent ses pieds énormes, déformés par la podagre. Parfois, d’un mouvement de colère soudaine secouant sa somnolence, il frappe avec sa
  • is . SA IN T . A rc h e rs, la is se z co u le r m o n sa n g . 305 II fa u t q u ’il co u le. P a s d e lin , beau DE SAINT SEBASTIEN 33 fem m es, p a s d e b a u m e . L a is s e z co u le r m o n san g. Ici une femme, la tête voilée par le pan
  • v e u x ê tre à D ieu . 485 J e v e u x m o u rir. Ici paraît Théodote, porté par ses serfs, la toge ramenée sur son visage, sans mot dire. LA M ER E D O U L O U R E U SE . H o n te su r n o u s ! H o n te su r n o u s ! R e g a r d e ce v ie
  • ses, ( par les têtes noires 575 des grands pavots roses ! LA C I N Q U I E M E . E t p a r la g re n a d e e t p a r les n e u f g ra in s to m b é s d e l ’écrin su r le n o ir r iv a g e , 580 d é to u rn e ces âm es du P o r t a il d ’a ira
  • n a s e a u x l ’ é ta lo n n u m id e t o u t b la n c , d o n t la p e a u e s t u n fe u h u m id e ; ceindre du fronteau, 715 tenir par la bride cette flamme lisse à quatre sabots; bondir au garrot! DE SAINT SEBASTIEN LE SEPTIEM E. Il y
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Francesca da Rimini

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1910

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • moins dém esurée que l’orgueil, la vertu de l’art, afin que par de grandes im ages notre livre soit digne qu’une m ain si pure le prenne et l’élève parm i les flam beaux éternels. Elle est celle qui discerne notre bien. Elle dit : « F rère, en moi tes
  • ’A S T R O L O G U E . LES M USICIENS. LES PORTEURS DE TORCHES. A Ravenne, chez les Polenta; à Rimini, chez les Malatesta. ACTE PREMIER On aperçoit, dans les dem eures des Polenta, une cour eontiguë à un jardin qui brille par delà une clôture de
  • seuil du jardin clos. Dans le fond, une grande porte et une fenêtre basse, gril­ lée de fer, par les baies desquelles on découvre une fuite d’arcades entourant une autre cour, plus vaste. Près de l’escalier est une arche sépulcrale byzantine, sans
  • to u ch er au rôt? Eh bien, si je suis un chien, il doit y avoir des chiennes par ici. Cherchons. 11 s c m e t à q u a t r e p a t t e s c o m m e u n c hi e n , f a i t m i n e d ’a s s a i l l i r l e s f e m m e s . GARSENDA. Ah ! chien cam us
  • BIANCOFIORE. Oui vient de Bologne sans un sou bolonais. ALDA. C ertainem ent il est de la faction des Lam ­ berlazzi. G A R S E N d A. P este soit d ’eux tous! ALDA. E t il est honni par les Geremei. A L T I C h IARA. As-tu perdu quelque grande seigneurie
  • haussa les épaules et me dit par elles q u ’il ne l'avait pas vu. B I A N C O F I O R E , a ve c dé d ai n . Mais c’est une chose vraie, cela ! LE J O N G L E U R . Suis-je pas nouveau, moi qui débite des choses vraies pour des bourdes, Tirli en Birli
  • pieds dans son sang! ALDA. Voici m essire Ostasio. GARSENDA. Sauvons-nous! Sauvons-nous! Soudain le gr oupe des auditrices se disperse. Elles fuient par l’esc a l i e r < a ve c des rires et des cris a i g u s ; elles t r a ve r s e n t eu c ou r a nt
  • sera fait. E x it . SCÈNE Entre porte II O S T AS I O DÂ P O L E N T A , du fond, en compagnie de par la grande maître T O L D O B E R AR D E NGO. O S T A S I O , e mp o i g n a n t le j o n g l e u r effaré. Que fais-tu ici, coquin? Avec
  • gneu r? Je chantais une chanson. Je chantais la Table ronde. Ces femmes voulaient une his­ toire de chevaliers... Je suis jo n g leu r et je chante par faim ; et ma faim croyait avoir m ieux que des horions chez le m agnifique mes­ sire Guido. Je n ’ai
  • alatesta! Il fait mi ne do par t i r en toute hâte. Ostasio lo r e mpoi gne e t appel le l’a r b a let ri er qui mont e la g a r d e dans la cour. OSTASIO. Jacom ello! LE JONGLEUR. Q u’ai-je fait? P ourquoi me m altraitez-vous? OSTASIO. T rop de
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Fedra

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Fratelli Treves

Date : 1909

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • occhio irretorto. 270 O nde asciugo le lacrime pensando che il nostro par m en truce, m en misera la prole s’erri illese O m b re su gli asfodèli; ché forse all’uom o il meglio è non essere nato m a, se nato, varcar quanto più presto all’ Invisibile
  • gonfia, che di sempre fresco sangue par tinta come i dardi avulsi, dolce a chi non tem e di baciarla, v Ipponòe. LA SCHIAVA T EBAN A. C o m e t'accendi; Regina d'isole, pari a un'iddia che si mostri dentro una nube d'occaso! FEDRA. E la sua forza, come
  • -93 - Atto FEDRA ond'era cinto il m esso, di bianco pioppo, cara 1280 all1Alcìde e all'Egide; né d'alcuna m i cingerò se non d'una che attendo dall'ignota che sola a m e par dea. FEDRA. A lz i un altare novo? un tempio? L'AEDO. Aereo tem pio è