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Vignette Poesie di Francesco Lorenzini
  • Dédicace à Isabella Pignone del Carretto ; avertissement au lecteur ; Sonetti, Canzoni, Capitoli, Egloghe, Componimento drammatico, Epistola ; à la fin, soumission du texte par les imprimeurs-libraires Genaro et Vincenzo Muzio à la révision par
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Le martyre de Saint Sébastien

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : L'Illustration théâtrale

Date : 1911

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle

  • prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
  • par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
  • littérature con­ l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
  • possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
  • . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar­ dont l’histoire littéraire n’aura ja­ qui eut toujours les yeux
  • clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi­ conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
  • * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
  • t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se­ a rc ad e s d u fond o u v
  • saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
  • les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices
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La torche sous le boisseau

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1928

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises

  • prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
  • par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
  • littérature con­ l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
  • possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
  • . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar­ dont l’histoire littéraire n’aura ja­ qui eut toujours les yeux
  • clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi­ conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
  • * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
  • t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se­ a rc ad e s d u fond o u v
  • saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
  • les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices
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Lettres écrites d'Italie

Auteur : Rabelais, François (1494?-1553)

Editeur : H. Champion

Date : 1910

Sujets : Récits de voyages français -- 16e siècle | Descriptions de voyages -- Italie -- 16e siècle

  • PUBLICATION DE LA S O C IÉ T É D E S É T U D E S R A B E L A IS IE N N E S LETTRES ÉCRITES D’I T A L I E PAR FRANÇOIS RABELAIS (Dé c e mbr e 1 535 - F é v r i e r 1 536) NOUVELLE ÉD ITIO N CRITIQU E, DES NO TE S E T AV EC U NE UN INTRO D U
  • CTIO N, A PP E N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARI S HONORÉ CHAMPION LIBRAIRE DE L A SOCIÉTÉ DES ETUDES RABELAISIENNES 5 , QUAI MALAQUAIS 1910 L E T T R E S É C R I T E S D ’ I T A PAR FRANÇOIS RABELAIS (Décembre 1535
  • -Février 1536) L I E PUBLICATION DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES .... ----------- LETTRES ÉCRITES D’ITALIE PAR FRANÇOIS RABELAIS (D écem b re 1 535 -F é v rie r- 1 536) NO UVELLE É D IT IO N C R IT IQ U E , AVEC U N E IN T R O D U C T IO N
  • , DES N O TE S E T UN A PPE N D IC E PAR V.-L. B O U R R I L L Y PARIS HONORÉ CHAMPION L 1BRAIRE DE LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES RABELAISIENNES 5, QUAI MALAQUAIS I9IO CETTE AUX É D IT IO N F RA IS F A IT E DE LA A ÉTÉ PU B L IÉ E D O N A T IO
  • ecin à l ’h ô p ital de cette v ille , a u x a p p o in tem en ts de 40 livres par an. D an s le co u ran t de l’ann ée 1 5 3 3 , Jean d u B e lla y et notre m é d ecin p u ren t se re n co n tre r p lu sieu rs fo is, ca r le p rem ier fit à L y o n tro
  • ella y, sieur de La ngey, ont été étud iés en détail pour la p rem ière fois par M. A rthur H eulhard, R ab elais, ses voyages en Ita lie , son e x il à M e tz , Paris, 1891, in-4°. L e 12, à L a n g re s, il receva it ses n o u v e lles in stru ctio
  • , il n ’est fait la 1. « A M. Jehan du B ellay, evesqu e de Paris, 2,25o l . t. par lettres à Langres, 12 janvier 1533 [a. s.], sur et tant m oin s et en dédu ction de ce q ui lu y sera taxé des voyages q u ’il a ja faits et en core présen ­ tem en t
  • rtan t, p o u r ne pas dire u n iq u e , est la lettre adressée à Jean du B e lla y , le 3 1 aoû t 1 534 , par la q u e lle R ab elais lu i fait h o m m age de l’é d itio n que S é b a stien G ry p h e a lla it p u b lie r de la T opographia romana de M
  • a rlia n i1 : à la su ite d ’élo g es h y p e rb o liq u e s (et p eu justifiés par les résultats) des q u a lité s o ra to ires et d ip lo m atiq u es de so n p ro te cte u r, il y a là des d étails p ré cis et p ré cieu x sur la m anière d o n t il u
  • a écrit une relation du sac de R om e p u b liée par M. L éon D orez, L e sac de Home ( 1 5 2 7 ) , R elation inédite de Jean C ave, O rléanais, dans les M éla n g es de l ’E cole fra n ça ise de Rom e, 1896. et enfin Jehan L u n e l, a bbé de S a in t-S
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L'Italia nella letteratura francese dalla caduta dell'impero romano alla morte di Enrico IV. Tome I.

Auteur : Del Balzo, Carlo (1853-1908)

Editeur : Casa Editrice Nazionale

Date : 1905

Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature

  • seducono questi con Dio, quegli altri col dia­ volo » ( 1 ). (1). Vedi a pag. 46 in: La satire en France au moyen âge, par C. L e n i e n t , Paris, Hachette, 1859. La voce di Pierre Cardinal fu forse l’ultima della sven­ turata Provenza, che perdè nel
  • scendere a fondo, senza porre in dubbio le credenze. E può vedersi nel rac­ conto L e vilain qui conquist paradis par plait. San Pietro gli vuol chiudere la porta del paradiso : - Qui non c ’ è posto per i villani. Ma il villano non si dà per vinto : — Non
  • : Nous sommes hommes comme ils sont Tels membres avons comme ils ont, E t tout aussi grands corps avons Et tout autant souffrir pouvons. Ne nous faut que coeur seulement: Allions-nous par serment, Aidons-nous et nous défendons, E t tous ensemble nous
  • Virgille s ’apparu A lui dont il f u secouru, Adont lui dist par g rant estude Ce mot : Vaille moy long estude Qui m'a fa it cerchier tes volumes Par qui ensemble accointance eusmes, Or congnois a celle parole Qui ne f u nice ne frivole Que le vaillant
  • de gouverner le monde. Trad. de langue romanne en prose française par Jean Chaperon, dit lassé du Repos ». Poi dal Püschel (Berlin, R. Damkòhler), edizione citata dal Beck. Si hanno pure altre cose a stampa della Pisan (vedi a pag. 221, vol. III
  • fam ille et leur patrie à l'étranger, elle put du moins, elle aussi, répéter avec un légitime orgueuil : l ’eusseje fa it, moi, qui suis femme ? Attristée par le spectacle des maux trop réels qui l ’entouraient, elle se réfugia par la pensée dans un
  • quinze volumes principaux. Un seul à été imprimé. (Si vede che il Nisard non aveva letto il Brunet). C’est le « Livre des faits et bonnes mœurs du bon roy Charles. » E lle le composa par « le digne (1) Épitre d'Othéo à Hector, dédiée au duc d ’Orléans. (2
  • l’ipocrisia fratesca, come ho già detto; eppure è inesplicabile come, per demolire quel libro, citi Dante che dell’ipocrisia monacale non fu meno audace censore. In­ fatti cosi scriveva a Pierre Col: Mais se mieulx veulx ouir descripre paradis et enfer et par
  • in : Oeuvres com­ plètes de François Villon, édition accompagnée d ’une préface, d'un glossaire et de notes par M.r Pierre Jan n et precedée d'une étude sur Villon par Théophile Gautier. Paris, Charpen­ tier, 1884 e di Francesco I, pur dissanguando la Francia
  • , senza darle un pollice di terra, furono a lei feconde di bene. Questo giustamente osserva il Nisard : ... elles élargirent la voie par où entrèrent en France les livres grecs et latins, et nous mirent, à notre tour, en possession de ce trésor des lettres
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Etudes italiennes : publiées par l'Union intellectuelle franco-italienne / dir. Henri Hauvette

Auteur : Union intellectuelle franco-italienne, Paris

Editeur : Ernest Leroux

Date : 1920

Sujets : Littérature romane -- Périodiques

  • Etudes italiennes : publiées par l'Union intellectuelle franco-italienne / dir. Henri Hauvette
  • ai ne d ’alabastre s u r m o n t é e des Trois Grâces aux cor nes d ’a b on d an ce , et qui j et t ent l’eau par les mamel les , bouches et oreilles, fo nt ai ne décrite et g ra vée dans le S o n g e 1 ; les « beaux arcs d ’a nt i cqu e » et les
  • d’aut res œu vr es qui ne s o nt que des va ria tions . C’est V fh/pnerotom achia qui, p o u r la p r e m i è r e fois en 1499, par aî t avoi r d o n n é a u t h è me u n a mp l e d év el opp emen t. Enfin l ’a u t e u r du Ve livre, qui se so uv ient du
  • par les divins archi tect es qui o n t fait do Rome la « s'iblime et v a g a b o nd a I m pé r at ri ce », g is en t en morce aux, c’est le pire for­ fait du Destin. Ces m o rc e a u x eux-mêmes, si précieux parce q u ’ils s o n t beaux et parce q u
  • câpriers. Alors, il s’a p p r o c h e ; son cœu r s ’arrête. Dans son h o r r e u r sacrée, il t r ouv e s p o n t a n é m e n t des mo ts a na lo gu es à ceux de Dante deva nt les spectacles i nouï s de l’au-delà. Puis, par ce q u ’il est artiste, il se r
  • voulait ven g er par son m a r t y r e l’é c r o u ­ l em en t du m o n d e ant ique. L’œuvre , a pp or té e en France p e n ­ d a n t les g ue r r e s d’Italie par aî t être t ou j ou rs restée en Au ve rgne. On ne s a u r a i t non plus al léguer
  • L E )) 15 (< par la Forest u m b r a g e u s e et d é se r te — , plusieurs vieulx Temples ruinez, plusieurs Obelisces, P yrami des , Monu ment s et Sepul chres ant iques, avecques Inscri pti ons et Epitaphes divers, les un s en lettres
  • Poliphile c o m m e n c e la série qui a b ou t i r a aux f a nta sti que s Piranesi. (.A suivre). R. S c h n e i d e r . Pour et contre l’influence italienne en France au XVIe siècle'. A par ti r des de r ni èr es ann é es du xv" siècle, tous ceux qui
  • peul t eslre, la paix et u n io n perpét uel le ent re lesdites deux n at i ons et l angues, lesquelles s ont en partie amies et co nc o rd an t es l’u n e à l ’aut re, mai s p o u r la pl us g r a n d par t e n n e m i e s 1. » L’idée d ’u n e sort e
  • . Oue L illere in é d ite d , Vincen-.o B o rg h in i a C osido l te lia n z a ira a lmg*n fia n c e s * e la ita lia n a a f fírm a la né p r im i a n m del secolo A I / , b i r e u z e , 1874, m , publiées par P. Faufaui, à 15 exemplaire8* 20
  • * . Vauquel in de la F res naye, Passerai, Bertaut, Des Port es p ou ss en t parfois l’i mi ta ti on j us qu’au plagiat. P o u r ne par ler que de Des Portes, il s embl e que tous les poètes italiens lui ai ent été fami li ers; il a t radu it P ét rar que, S
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Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome III.

Auteur : Arioste, L' (1474-1533)

Editeur : Pissot, libraire

Date : 1787

Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800

  • Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
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Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome IV.

Auteur : Arioste, L' (1474-1533)

Editeur : Pissot, libraire

Date : 1787

Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800

  • Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Roland_furieux_tressan_T2.jpg

Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome II.

Auteur : Arioste, L' (1474-1533)

Editeur : Pissot, libraire

Date : 1787

Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800

  • Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan
Roland_furieux_tressan_T1.jpg

Roland furieux, poëme héroïque de l'Arioste. Tome I.

Auteur : Arioste, L' (1474-1533)

Editeur : Pissot, libraire

Date : 1787

Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800

  • Nouvelle traduction, Par M. le Comte de Tressan