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Le maitre italien, ou la grammaire françoise et italienne
Editeur : A Lyon : Chez Jean-Marie Bruyset Père et Fils
Date : 1780
Sujets : Italien (langue) -- Grammaire
- Nouvelle éd. rev. sur les éd. publiées par M. Miniazio et M. Charles Placardi.
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
- Il a été tiré de cet ouvrage CIN QUANTE E X E M P L A IR E S SUR P A P IE R DE H OLLAND E tous numérotés. LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN M Y S T E R E C O M P O S E EN R Y T H M E FRANÇAIS PAR D ’A N N U N Z I O PARIS LE XXII s u r
- e d e m o n s e i g n e u r S a in c t e b a s t i e n jouée par les habitants Lanle villar Vannée courant de may. M. V. LXVII au moys NVNCIVS. D o u c e s g en s, u n p e u d e sile n ce ! S o y e z r e c u e illis e n p ré se n ce d e D ie u
- EU R S DE FLUTE. LES GENTILS, LES CHRETIENS, LES JU IFS LES ESCLAVES. LES SEPT SERAPHINS. \ aperçoit un portique intérieur, p e in t d’é étranges peintures par des Gentils, avec le carmin, l’outremer et l’or, entre les bêtes de l’entablement bas
- et les feuillages des cha piteaux lourds, qui se mirent dans les dalles polies. Par les sept ar arcades du fond ouvertes sur des jardins bleus, on aperçoit de grandes gerbes de lys, dont les tiges semblent serrées en faisceau autour de la plus haute
- comme autour de la hache les verges des licteurs. Un autel de marbre, consacré aux Idoles, se dresse dans l’enceinte, avec ses têtes de boucs et ses guirlandes de fruits sculptées, avec ses rainures rougies par l’écou lement du sang et du vin, avec les
- carcan, les ceps, et les bourreaux. Accablé par la graisse, il halette et sue, tandis que des esclaves accrou pis bercent ses pieds énormes, déformés par la podagre. Parfois, d’un mouvement de colère soudaine secouant sa somnolence, il frappe avec sa
- is . SA IN T . A rc h e rs, la is se z co u le r m o n sa n g . 305 II fa u t q u ’il co u le. P a s d e lin , beau DE SAINT SEBASTIEN 33 fem m es, p a s d e b a u m e . L a is s e z co u le r m o n san g. Ici une femme, la tête voilée par le pan
- v e u x ê tre à D ieu . 485 J e v e u x m o u rir. Ici paraît Théodote, porté par ses serfs, la toge ramenée sur son visage, sans mot dire. LA M ER E D O U L O U R E U SE . H o n te su r n o u s ! H o n te su r n o u s ! R e g a r d e ce v ie
- ses, ( par les têtes noires 575 des grands pavots roses ! LA C I N Q U I E M E . E t p a r la g re n a d e e t p a r les n e u f g ra in s to m b é s d e l ’écrin su r le n o ir r iv a g e , 580 d é to u rn e ces âm es du P o r t a il d ’a ira
- n a s e a u x l ’ é ta lo n n u m id e t o u t b la n c , d o n t la p e a u e s t u n fe u h u m id e ; ceindre du fronteau, 715 tenir par la bride cette flamme lisse à quatre sabots; bondir au garrot! DE SAINT SEBASTIEN LE SEPTIEM E. Il y
Francesca da Rimini
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1910
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- moins dém esurée que l’orgueil, la vertu de l’art, afin que par de grandes im ages notre livre soit digne qu’une m ain si pure le prenne et l’élève parm i les flam beaux éternels. Elle est celle qui discerne notre bien. Elle dit : « F rère, en moi tes
- ’A S T R O L O G U E . LES M USICIENS. LES PORTEURS DE TORCHES. A Ravenne, chez les Polenta; à Rimini, chez les Malatesta. ACTE PREMIER On aperçoit, dans les dem eures des Polenta, une cour eontiguë à un jardin qui brille par delà une clôture de
- seuil du jardin clos. Dans le fond, une grande porte et une fenêtre basse, gril lée de fer, par les baies desquelles on découvre une fuite d’arcades entourant une autre cour, plus vaste. Près de l’escalier est une arche sépulcrale byzantine, sans
- to u ch er au rôt? Eh bien, si je suis un chien, il doit y avoir des chiennes par ici. Cherchons. 11 s c m e t à q u a t r e p a t t e s c o m m e u n c hi e n , f a i t m i n e d ’a s s a i l l i r l e s f e m m e s . GARSENDA. Ah ! chien cam us
- BIANCOFIORE. Oui vient de Bologne sans un sou bolonais. ALDA. C ertainem ent il est de la faction des Lam berlazzi. G A R S E N d A. P este soit d ’eux tous! ALDA. E t il est honni par les Geremei. A L T I C h IARA. As-tu perdu quelque grande seigneurie
- haussa les épaules et me dit par elles q u ’il ne l'avait pas vu. B I A N C O F I O R E , a ve c dé d ai n . Mais c’est une chose vraie, cela ! LE J O N G L E U R . Suis-je pas nouveau, moi qui débite des choses vraies pour des bourdes, Tirli en Birli
- pieds dans son sang! ALDA. Voici m essire Ostasio. GARSENDA. Sauvons-nous! Sauvons-nous! Soudain le gr oupe des auditrices se disperse. Elles fuient par l’esc a l i e r < a ve c des rires et des cris a i g u s ; elles t r a ve r s e n t eu c ou r a nt
- sera fait. E x it . SCÈNE Entre porte II O S T AS I O DÂ P O L E N T A , du fond, en compagnie de par la grande maître T O L D O B E R AR D E NGO. O S T A S I O , e mp o i g n a n t le j o n g l e u r effaré. Que fais-tu ici, coquin? Avec
- gneu r? Je chantais une chanson. Je chantais la Table ronde. Ces femmes voulaient une his toire de chevaliers... Je suis jo n g leu r et je chante par faim ; et ma faim croyait avoir m ieux que des horions chez le m agnifique mes sire Guido. Je n ’ai
- alatesta! Il fait mi ne do par t i r en toute hâte. Ostasio lo r e mpoi gne e t appel le l’a r b a let ri er qui mont e la g a r d e dans la cour. OSTASIO. Jacom ello! LE JONGLEUR. Q u’ai-je fait? P ourquoi me m altraitez-vous? OSTASIO. T rop de
Tragedie di Vittorio Alfieri da Asti. Volume di scarto...
Editeur : Didot, François-Ambroise (1730-1804)
Date : M. DCC. LXXXVII.
- Premier exemplaire de 'Filippo' corrigé par Alfieri en février 1789 d’après sa propre note ms. sur la p. de titre, second exemplaire de 'Filippo' corrigé en juin 1789 d’après la note autographe d’Alfieri sur la p. de titre. Corrections autographes

Œuvres - Tome VI
Editeur : Potey, Pichard (éditeurs)
Date : 1798
Sujets : Machiavel (1469-1527) | Guichardin, François (1483-1540) | Florence (Italie) | Florence (Italie) -- Politique et gouvernement -- 1421-1737 | Raphaël Girolami | Valdichiana (Italie) | Lucques (Italie) | France | Allemagne
- devant les Dix sur l'affaire de Pise ; Précis des affaires de la ville de Lucques ; Caractère des Français ; Rapport sur les affaires d'Allemagne (17 juin 1508) ; Instructions données par Nicolas Machiavel à Raphaël Girolami ambassadeur du roi d'Espagne
Tragedie di Vittorio Alfieri da Asti. volume primo-[terzo].
Editeur : Pazzini Carli, Vincenzo (17..-17.. ; libraire)
Date : MDCCLXXXIII.
- Corrections autographes de l’auteur en vue d’une nouvelle édition (Paris : Didot, 1787-1789). Page de titre et note au verso de la main d’Arsène Thiébaut de Berneaud ('Ces différentes pièces me furent données par Alfieri lui-même durant mon séjour
Il Petrarcha con l’esposizione d’Alessandro Vellutello, e con piu utili cose in diversi luoghi di quella novissimamente da lui aggiunte.
Editeur : Comin da Trino (1510?-1574?)
Date : M. D. XXXXI.
- Contient : Vita e costumi del poeta ; Origine di madonna Laura ; après le Canzoniere, vers adressés à Pétrarque par Stramazzo da Perugia, Jacopo Colonna, Geri di Gian Figliazzi et Giovanni de Dondi ; à la fin, table ms. des 'sonetti' et des 'canzoni'
Tragedie di Vittorio Alfieri da Asti. volume primo-[terzo].
Editeur : Pazzini Carli, Vincenzo (17..-17.. ; libraire)
Date : MDCCLXXXIII.
- Corrections autographes de l’auteur en vue d’une nouvelle édition (Paris : Didot, 1787-1789). Page de titre et note au verso de la main d’Arsène Thiébaut de Berneaud ('Ces différentes pièces me furent données par Alfieri lui-même durant mon séjour
L'Italia nella letteratura francese dalla morte di Enrico IV alla rivoluzione. Tome II.
Editeur : Soc. Tipo Ed. Nazionale
Date : 1907
Sujets : Littérature française -- Thèmes, motifs | Italie -- Dans la littérature
- , plus une d e sc rip tio nparticutière des lieux et une chronotogie ge nerale des principaux potentas de la terre par BLAISE DE VIGNE NIERE. Paris. 2 voll, in fol. 1617. (6) Le X X X III livre de t ite Live, nouvellement trouvé à Bam berg, traduit par
- le sieur Fr. de Malh e rb e . Paris, in-8, 1621. (7) Le dix livres de V alere le grand contenant les exemples des faits et dicts memorables, tant des vertueux que des vitieux personnages anciens. Traduits par maistre I. Le BLOND. Rouen, Angot, in-16
- . Francfort-sur-Mein, Paul laeques, in-fol. 16 16 . (1) Traduction un peu paraphresée du deuxième livre de l ’Eneide, p a r J e a n B e r t h a u l t , évêque de Séez. Paris, du Bray, in-8, 1620, — Partie du premier livre de l ’Eneide, traduit en vers, par le
- car dinal J e a n D a v y D u P e r r o n . Paris, Robert Estienne, in-4, 1610. — Partie du quatrième livre de l 'Eneide, traduit en vers, par le cardinal J e a n D a v Y D u P e r r o n . Paris,, du B ra y , in-8, 1620. — Les etranges aventures d'un
- d ’une reine, trad. du quatrième livre de l'Eneide par d e l a M o t t e d u T a r t r e . Paris, du Bray, 1617-1619. — Eneide, où sont décrites la naissance de l ’Em pire de Rome, les diverses fortunes, gestes, amours, voyages et combats du ma
- gnanime Enee, prince des reliques de Troie, mise en prose fr a n çaise par E. M . 1. ( C l a u d e M a l i n g r e ) . Paris, Collet, in-8, 1628. — Version de quelques pièces de Virgile, Tacile e Salluste (par tie du quatrième livre de l'Eneide) par la
- demoiselle M a r i e d e J ars de G o u r n a v . l’ aris, F . B ourriquent, in-8, 1619 . — Les Bucoliques, traduites en vers, par P i e r r e de M a r c a s s u s . Paris, Antoine Estienn e, in-4, 1 6 2 1 . (2) A brégé du parallèle des langues
- mémorable défaite et déroute de huit cens Espagnols, voulant donner l'assaut généra! contre la ville de Ver rue près de Monfe r r at, par l'année du Roi, conduite par M. le maréchal de Créquy ; ensemble la prise des fo rts dressés par les dits Espagnols
- contre la dite Ville. Plus, la prise du chateau de B ourquière par M. le P rince de Piémont, et généralement tout ce qui s ’est passé en la dite armée, suivant les mémoires repportés par le courier du Roi. Paris, in-8, 1625. — Les conquêtes généreuses du
- Serénissime duc de Savoye et Prince de Piémont, contenant la prise et réduction de la Ville et chateau de Piene en Italie et du général de l'armée des G enois : avec la lettre de son A ltesse envoyée au R oi par le marquis de Caluze. Paris, Martin, in-8, 1625
Extraits de Boccace (en italien)
Editeur : Garnier Frères
Date : 1901
Sujets : Boccace (1313-1375) -- Critique et interprétation
- encore bien m a la d roitem en t forme. 2. A propos de celle strophe de huit ver* (offrira rima), don t lu fortune fut grande par lu nulle daim la poésie italienn e, avec le Po litie n , l’A r ioste et le Tanne, on fait so u ven t honneur il Boccace de mm
- Décaméron esl un livre d 'in s p iration I. Oii verra c i-a pres» que doux personnages de la n o u v elle IX Ven geance d'un para site) non* nont égalem ent connu* par divers» passages il»; la d ivin e Comédie, — Au début do la nÔuvelle du Faucon (Kxlr
- une sorte de paren thèse, rattachée à la phrase par la conjonction e x p lic a tiv e onde. 3. S c o g lie : rochers. 4. F u i m o sso : mi mis i. 5. C e r b io : voir ci-dessus, v .2 6 e t la note. lî. Détail naïf e t plein de grâce. 7. V id o n
- stare, il veu t d ire a rrêt et, par su ite, reta rd . C'est aussi dans ce sens d 'arret, station que le m ot stanza ffr. stance) a été a p p liq u é à la poésie. Au contraire, il
- réel par le pro nom au d a tif gli. 2. T a ’ : Tai , tu li. — S p e r t o : esperto. 3. R em a rq u ez l'inversion : che quelle che dicea dovieno essere s ta le n nfe. Dovieno est une form e ancienne de l’im p a rfa it de l'in d ica tif pour dovevano
- , par analogie, pour più, Gesù. G. L ’a v e a : le est au d a tif. Il faudrait le avesse. 7. É g ià u d it o : on a déjà vu po u r quel m o tif... Le revirem en t de M ensola passant de la haine à l’am our est in d iq u é trop brusqu em en t. 8. N o n p
- fiume seco ’1 ritenesse. Da poi in qua q uel fiume dalla gente Affrico fu chiam ato, e ancor si chiam a. Quelque temps après, Mensola est à son tour transfor mée en ruisseau par Diane prompte ù punir la faute de la nymphe. NOTE POUR AIDER A SCANDER