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- Collection > Université Grenoble Alpes [ Enlever ]
- D'Annunzio, Gabriele (1863-1938) 9
- Boccace (1313-1375) 5
- Arioste, L' (1474-1533) 3
- Colomb de Batines, Paul (1811-1855) 3
- Arioste, L' (1474-1533) 2
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- Boccace (1313-1375) 1
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- Costaing de Pusignan, Jean Joseph François (1770?-1820) 1
- D'Annunzio, Gabriele (1863-1938) 1
- Dejob, Charles (1847-1916) 1
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- Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800 4
- Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle 4
- Prose italienne -- 14e siècle 3
- Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises 3
- Dante Alighieri (1265-1321) -- Bibliographie 2
- Dante Alighieri (1265-1321) -- Divina commedia 2
- Italie -- Dans la littérature 2
- Littérature française -- Thèmes, motifs 2
- Prose italienne -- 14e siècle 2
- Boccace (1313-1375) -- Critique et interprétation 1
- Corbinelli, Jacopo (1568-1580) 1
Etudes italiennes
Editeur : Ernest Leroux
Date : 1919
Sujets : Littérature romane | Périodiques
- se dérober au devoir et à l'honneur de reprendre l’ œuvre si vaillamment inaugurée, il y a dix-huit ans, à Bordeaux. Elle a eu la bonne fortune de rencontrer un éditeur entreprenant, dont l’esprit d’ initiative ne se laisse pas intimider par les
- ’ une revue nais sante est constitué par la composition de ses premiers fasci cules. Cependant nous avons certaines ambitions, que nous croyons avouables; et il nous parait utile, pou r dissiper toute équivoque, de définir nettement la position que
- italiens pour nous aider, par leurs conseils, p a r leur collaboration, par leur appui, à triompher des obstacles qui rendent nos premiers pas un peu difficiles. De l'intérêt que rencontreront nos efforts auprès du public lettré dépend, en dernière analyse
- , a eu une action plus directe sur leur temps. On peut comparer leurs paysages, plus intellectuels chez l’un, plus sensibles chez l’autre, mais inspirés par la même nature et le même ciel. Les deux maîtres représentent ce qu’ il y a de plus élevé et de
- était pour lui son tableau véritable : l’interprétation poétique et réelle de la nature, par les grandes masses d’ombre que font au premier plan les édifices et les feuillages, par la fuite de la perspective, la vibration de l’atmosphère insaisissable et
- critique moderne. Regrettant que la campagne romaine n’ait pas été assez étudiée par les anciens peintres, M. Ugo Fleres, qui a écrit sur le sujet un livre charmant, met leur abstention sur le compte de la peur de la fièvre, et croit pouvoir ajouter
- compositions de Claude. Il conviendrait tout d’ abord d’en faire le relevé dans l’ ensemble de ses peintures, en se servant par exemple de la précieuse série photographique réunie depuis de longues années par la 1. Le texte original de Sandrart est en allemand
- maître français. Pl. II. LE CAMPO VACCINO Renversement de l'eau forte de Claude Lorrain d'après sa peinture et dans le sens de celle-ci maison Braun, et en la complétant par les anciennes gravures. On suivrait la même enquête parmi les dessins ; d
- peut-être, dans les nombreuses études d’après nature exécutées par le grand peintre. Outre les collections particulières, les grandes collections qui renferment le plus grand nombre de ses dessins sont le British Museum, qui en est particulièrement
- des dessins du Musée du Louvre et du Musée de Versailles, par MM. Jean Guiff rey et Pierre Marcel. Le texte ne donne aucune indication typographique, sauf pour le n° 4118. — La série Hesel tine, qui vient d'entrer au Louvre, ne compte pas moins de
Lettres intimes de Joseph Mazzini
Editeur : Perrin
Date : 1895
Sujets : Mazzini, Giuseppe (1805-1872) -- Correspondance
- vol. (Paul Ollendorff, Paris, 188 6).... 1 vol. L iv ia L a D u c h e s s e G iiis l a in f . Le J o u r n a l in t im e d e B e n ja m in C o n s t a n t et Lettres à sa fam ille et à ses amis, précédés d’une Introduction, par D. M e l e g a r i
- (Paul Ollendorff, Paris, 1 8 9 5 )................................................................................ 1 vol. LETTRES INTIMES DE JOSEPH MAZZINI PUBLIÉES AVEC UNE INTRODUCTION ET DES NOTES PAR D. MELEGARI P A R IS LIBRAIRIE ACADÉMIQUE
- sortira définitivement de la légende pour entrer dans la vérité de l’histoire. Les documents qui perm ettent d’établir les contours de cette vie tragique et tour mentée sont im portants et nom breux; les écrits de Mazzini publiés par la Société 1 chargée
- hommes s’étaient singulièrem ent goûtés, dit M. Charles Secrétan dans un article consacré au souvenir de son ami. Tout semblait constraste entre leurs personnes, mais ils attiraient également par la flexible sonorité de leur voix expressive et par le
- , l’amnistie accordée aux condamnés politiques permit à Louis-Amédée Melegari de rentrer en Italie. Appelé par Charles-Albert à la chaire de droit consti- INTRODUCTION V II sont écrites à Mme X ..., femme d’esprit, allemande d’origine, dans la maison de
- lution de 1821. Condamné à mort par le gouvernement sarde, il fut obligé de s’enfuir en France. Persécuté là aussi, il se rendit en Grèce, combattit dans les rangs des Hellènes et fut tué, les armes à la main, dans l’île de Sphactérie. INTRODUCTION IX
- connivence avec 1 Le général Ramorino, né à Gènes, fut élevé en France. Sorti de Saint-Cyr, il combattit à Dresde, à Moscou, à W aterloo. A vingt- XIV INTRODUCTION leurs ennemis, avait, par ses retards volontaires et ses fausses manœuvres, empêché la
- l’expédition de Savoie avaient été con damnés à mort par le gouvernement sarde. 2 Giovanni et Agostino, frères de Jacques Ruffini, le meilleur ami de Mazzini. INTRODUCTION XV synthèse de ses croyances et de ses espérances. Mais la présence au centre de
- Ruffini, Agostino et Giovanni, qu’il avait promis à leur mère de ne jamais abandonner, souffrait trop de la vie claustrale qui leur était imposée. Par affection pour eux et par respect de la promesse faite, Maz zini se décida à chercher un refuge en
- sans importance. Mais me voir soup çonné d’ambitions ou d’impulsions médiocres, par les deux ou trois êtres sur lesquels j ’avais concentré ma puissance d’affection, accablait mon âme d’un désespoir profond
Les victoires mutilées
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1899
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- . BRODAR D. — P7-09. GABRIELE D’ANNUNZIO LES VICTOIRES MUTILÉES TROIS TRAGÉDIES TRADUITES DE L ’iT A LIEN PAR G. HERELLE P AR I S CA L M A N N - L E V Y , 3, r u e É D IT E U R S a u b e r , 3 LA GIOCONDA T R A G É D I E EN Q UA TR E
- harmonie singulière, indique le secret d’une corres pondance profonde entre les lignes visibles et la qualité de l’âme qui les a choisies et qui les aime. Tout y semble ordonné par les mains dune Grâce pensive. L’aspect de cette demeure fait naître l’image
- d’une vie douce et recueillie. Deux grandes fenêtres sont ouvertes sur le jardin qui s’étend audessous. Par l’embrasure de l’une, dans le champ serein du ciel, on aper çoit la colline de San-Miniato, et sa claire basilique, et le couvent, et l’église du
- Cronaca, la Bella Villanella, le plus pur vaisseau de la sim plicité franciscaine. Une porte donne accès à l’appartement intérieur; une autre mène au dehors. C’est l'après-midi. Par les deux fenêtres entrent la lumière, la brise et la mélodie d’avril
- , soudain, avant de quitter le travail, il indiqua par quelques touches autour de la tête une couronne de laurier. Comme cela me plut! Il voulait couronner dans la glaise le rêve inexprimé. ACTE P R E M I E R . 7 Il terminait sa journée par un acte
- s’atténue, disparaît, est effacé par l ’oubli, cesse d’être. Parfois, tout ce qui fut, tout l’horrible far deau du souvenir, tout se condense, s’aggrave, se fait massif, impénétrable et dur comme une muraille, comme une roche que jamais je ne pourrai
- ténèbres de la mort ont passé sur son âme? S’est-il réveillé sans souvenir? Voit-il un abîme entre sa vie qui se renouvelle et la part de lui . 1 LA GIOCONDA. 10 même qui est restée par delà ces ténèbres? Ou bien., ou bien l’Image a-t-elle remonté des
- tout son art, qu’il n’a plus aucune puissance, qu’il est devenu étranger à la beauté. Tantôt, au contraire, il lui semble que ses doigts ont acquis une magique vertu et que, par une simple touche, les formes doivent sortir de la glaise avec la facilité
- fut par son ordre qu’on rapporta ici le pauvre Lucio mourant. Les médecins désespéraient de le sauver; lui seul répétait ACTE PREMIER. 17 avec une foi invincible : « Non, il ne mourra pas, il ne mourra pas; il ne peut pas mourir. » Je le crus. Ah
- faisant signe de se taire. Ne prononcez pas ce nom! LA G IOCONDA. SCÈNE I I I Sur le seuil apparaît L U C I O S E T T A L A , appuyé au bras de SI L V I A , pâle et décharné, les yeux extraordinairement agrandis par la souffrance, avec un sourire
Bulletin franco-italien
Editeur : (Grenoble puis Aix-en-Provence, Florence)
Date : 1912-05
Sujets : Etudes italiennes
- amical et une excursion aux alentours de Grenoble seront organisés par les soins du Comité. On est prié d’adresser son adhésion au banquet avant le 10 juillet (la cotisation séra de 6 francs par tête). 34 BULLETIN FRANCO-ITALIEN. Les Congressistes, à
- , comme nous l’apprend le Journal de Voyage, lui a été offert à Venise par l’auteur luimême. Nous avons donc encore beaucoup à apprendre sur ses lectures italiennes, et les critiques qui étudient les relations de la France et de l’Italie au XVIe siècle
- donc surtout après 1580, par consé quent dans les éditions de 1582 et de 1588 et dans les additions manuscrites postérieures à cette date qu’il convient de chercher les sou venirs des lectures italiennes de Montaigne. Parmi les livres qu’il étudia
- par tant de lecteurs, l’examen du texte suivant, qui est emprunté à l’essai Des de striers (1-48) nous le prouvera suffisamment. Je donne en regard le texte correspondant du Tesoro politico. MONTAIGNE Pour vérifier combien les armées turquesques se
- , relationi, ragguagli, instrut tioni, di molta importanza per li maneggi, interessi, pretensioni dipendenze e disegni de Principi ». L’ouvrage s’ouvre par une sorte de théorie du gouvernement, très brève et sans originalité. Elle traite des manières
- bonheur, sans que nulle part une juste proportion soit observée entre les di verses parties, sans qu’en aucun endroit on sente jamais un plan d’ensemble auquel chacune d’elles se subordonne. Dans l’exposé sur l’Espagne, par exemple les développe ments
- , le Trésor politi que s’attarde à des digressions souvent fort longues, dont quelques-unes étaient bien de nature à intéresser Montaigne. Les Turcs, par exemple, retiennent indéfiniment notre compilateur : voici un long « discours » qui a pour objet
- . Or, précisément dans le temps où il lisait le Trésor politique, après 1588, l’attention de Montaigne était particulière ment tournée vers les Turcs. Il puisait des renseignements sur eux chez Paul Jove. Il lisait l’histoire des Turcs par Guillaume Postel
- , l’histoire des progrès de l’empire turc par Chalcondile, le récit de la vie de Scanderberg entièrement consacrée à lutter contre les infidèles. Et il est bien vrai que Montaigne était de ceux que l’idée de la guerre sainte ne préoccupait guère, du moins le
- péripéties. J’imagine que Montaigne les lut avec avidité. Mais son attention semble avoir été re tenue particulièrement par quelques disser tations traitant de questions générales qui ouvrent la seconde partie. Là surtout, ainsi que dans quelques chapitres
La Muse de Pétrarque ou Laure des Baux
Editeur : Avignon : Bonnet
Date : 1819
Sujets : Pétrarque (1304-1374) -- Critique et interprétation -- 14e siècle| Laure (personnage fictif)
- cette vestale dans les collines de Vaucluse , par les écrits de Pétrarque , long-temps sacrifiés à l’histoire de madame de Sade d’Avignon , morte de la peste, mentaient de sortir d’un long oubli. L ’histoire de L«u ic de Yaucluse , quoique bien distincte
- Avignon , l’an i 533 , lors de l’ouverture du tombeau de madame de Sade aux C ord e liers. Cette tradition , inconnue auparavant comme on le p rou vera, est par là même sans autorité; elle ne se soutient que sur un fait étranger à L au re de P étrarque
- , trou vera toujours que nos imitations, ces produc tions maniérées par l’enthousiasme , ne tien nent qu’à une imagination passionnée , ordi nairement p lu s voisine des fictions que de la vérité ; qu ’enfin ces édifices du moment ne reposent que sur
- écrits de ce poète, isolés et séparés de leur ensemble , et par là même expliqués sans cohérence , que ces écrivain s, toujours poètes , et jamais histo riens , se sont mis en opposition avec le texte consacré à l’histoire de L aure de V aucluse
- . Discours prélim inaire. xj Par une étrange servitude qui nuit beau coup au progrès de sa scien ce, dès qu’il faut porter un jugement public sur des auteurs , ou sur des ouvrages d’esprit , on cherche à se rapprocher des idées reçu es, toutes fausses ou
- océan de dis cussions et de préjugés. Convaincu par une longue étude de ce p o è te , que trop souvent ses traducteurs ont fait violence à ses pensées , ce ne sera point avec les idées d’astrologie que j’expliquerai ce qu’il entend par le lau rier, le
- soleil et les étoiles , dont il fait si souvent retentir les noms. Il est évident, par les lettres de Pétrar que à L e liu s , et au cardinal Colonne , con tre a stro lo g ie qui était le défaut de son siècle ; Discours prélim inaire. x iij siècle
- pensées et de l’esprit du texte. On remarquera que Pétrarque ne parle du soleil et des étoiles que dans un sens figu ré, qui présente L aure semblable h ces astres par sa vertu , et brillante par sa vie exem plaire d’une lumière divine. C e sont là des
- celte manière que , sans égard à la chaîne du sens b x iv Discours prélim inaire. et des pensées de ce génie supérieur , on a morcelé son esprit et sa pensée, par des conceptions vagues et bannales, par des ex plications semblables à la définition
- burles que du tombeau de L a u r e , par Benevenuto de Iinola , dont on jugera dans la suite. L a manière dont Pétrarque a écrit sur L a u re , dans un siècle superstitieux, attaché lui-m êm e à la cour de Rom e dont il avait à ménager l’esprit et la
Contemplation de la mort
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Littérature italienne -- 20e siècle -- Traductions françaises
- 5 actes. . . l a t o r c h e s o u s l e b o i s s e a u (sous p resse). . les vol. — 1 — — 1 — 1 — GABRIELE ASPECTS D ’A N N U N Z I O DE L ’I N C O N N U CONTEMPLATION DE LA M O R T TRADU IT DE l ' lTA LIE N PAR ANDRÉ DODERET PARIS
- vents, éblouis-toi aux lumières, enivretoi des odeurs. Une vipère te tuera. » J ’allai et je cherchai ma vipère. Je por tais de légères sandales de spart attachées à mes chevilles par de minces lanières. Telle était mon attente que, me sentant mordre
- gonflées par l’effort de la marche dans le sable ardent comme la braise, et sur les aiguilles incandescentes comme les schistes du Désert. « Pas encore. » ENVOI V E t je poursuivis sans regarder à terre, pénétrant toujours au plus épais des brous
- être enseigné. E t moi qui plus d’une fois rebutai l’injure, je comprends, à présent, la parole du chrysostome : « que personne ne peut être offensé sinon par soi-même. » E t je reçois, à présent, ma force, de toutes mes erreurs vaincues et de tous mes
- rire, même dans la pire tristesse. E t je dis que l'élément de mon dieu, c’est le futur. E t je dis que ce que je ne suis pas, demain un autre le sera par ma vertu. 0 mon jeune ami, chacune de ces pensées n'est que le thème d’un hymne et ne peut être
- conduite à son accomplissement que par le rythme héroïque. E t je crois avoir accru le nombre de mes cordes, après ces funérailles, comme le constructeur de villes qui, ayant appris la mélodie des Lydiens au cours des obsèques faites à Tantale par ces mêmes
- pâlissait sur ce peu de paille devant la porte de mon malade, et ce peu de verre cassé qui luisait là comme des larmes ou de la rosée. Il silenzio era un inno senza voce 1. Tel pourrait être alors mon silence. M ais celui qui monte vers moi par l’autre ver
- mes songes et je la mâche pour ne pas en être étouffé. L 'avant-dernier soir d’avril, j ’ai eu dans la rue un compagnon de vingt ans; un visage imberbe modelé par le pouce de fer du Destin, comme le visage de Beethoven ; un cœur fermé dans lequel peut
- -être résonnaient les quatre notes formidables de la Cinquième Symphonie. Tous deux nous allions, oppressés par un de ces ciels d’orage bas et ro u geâtres sous lesquels Paris semble écum er et fumer comme une énorme source bouil lante. Le papier des
- , après l'assaut féroce et ridicule, en lançant l’inju re suprême ENVOI xv de sa tête trouée par douze balles. Et tandis qu'on célébrait dans les feuilles l’héroïsme des assaillants couverts de ma telas, il semblait que l’affreux mot plébéien dût
Roland furieux, Tome I
Editeur : P. Masgana
Date : 1842
Sujets : Littérature italienne -- Ouvrages avant 1800
- revue et corrigée; précédée d'une Notice sur l’Arioste, par Antoine de L atour.‘2 vol. grand in-18............. 7 fr. C o n fié e à la ré v is io n d ’ un h o m m e p ro fo n d é m e n t v e r s é d a n s la co n n a iss a n ce d e la la n g u e e t d e
- ib u e à fa ir e d e c e liv r e u n e p u b lic a tio n au ssi u tile q u 'a g r é a b le . POÉSIES DE PÉTRARQUE. Traduction complète par le comte F. de Gramont. 1 vol. grand in-18. 3 fr. 50 c. « « « « « « « « « « C e tte tra d u ctio n , la p r e
- plus profonde « encore de son art. » ( J o u r n a l d e s D é b a t s .) TELEN ANN ARVOR (harpe d’A rmorique), poésies en langue celtique. In-18. . ........................... 1 fr. LES BRETONS, poëme. ( P our paraître). . . . MYOSOTIS, par Hégésippe
- Moreau. Nouvelle édition, augmentée du Diogène , de poésies posthumes inédites, et d’une Notice par M. Sainte-Marie Marcotte. 1 vol. grand in-18 3 fr. 50 c. Il serait trop long de répéter ici tous les témoignages de sympa thie qui ont répondu à la
- publication de ces remarquables poésies. Leur réputation, d'ailleurs, est faite aujourd’hui, et citer le nom d'Hégésippe Moreau suffit pour rappeler à la mémoire de tout homme de coeur et de goû t l’infortuné qui, par ses ouvrages autant que par ses malheurs
- , a pris place à côté de ces génies mélancoliques et purs qui ont nom Gilbert, Malfilâtre, Chatterton ! ONYX , par Charles Coran 1 vol. in-18. . 3 fr. 50 c. Des inspirations fraîches et gracieuses, un sentiment vrai de l’art e t un rare mérite de
- versification, ont dès l’abord recommandé aux amis de la poésie ce premier ouvrage d'un jeune poëte. LES SENTIERS PER D U S, poésies par Arsène Hous saye. 1 vol. grand in-18.......................... 3 fr. 50 c. Ce volume porte un cachet d’ individualité bien
- S, par X. Marmier. 1 volume grand in-18. 3 fr. 50 c. C’est un album plein d’in térêt, où l’auteur a semé avec profusion les descriptions animées, les gracieux épisodes, les contes piquants, recueillis par lui dans ses pérégrinations à travers les
- hebdomadaire, par Barthélémy. Sixième édition. 2 vol. in-32.. . . . . . . . . 3 fr. Tout est dit sur cette unique et hardie production , qui est désor mais un monument historique aussi bien que littéraire. LOUISE, poème, par M. N. Martin. In-32. . . 1 fr
- . Par la publication de nombreux extraits, la Revue de Paris avait commencé, auprès de ses lecteurs, le succès de ce livre, qu’un pu blic nombreux a depuis justement confirmé. PAMPHLETS POLITIQUES ET LITTÉRAIRES de Paul-Louis Courier, suivis d’un choix
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- Ho Yo immiiiimmmimmmmiimminiirniiïïïï'iiin!!!!! G A B R IE L E D’ANNUNZIO 70 LA T O R C H E SOUS LE BOISSEAU TRAGÉDIE EN Q U A T R E A C T E S TRADUITE DE L ' I T AL I EN PAR ANDRÉ D O D E R E T C A L M A N N -L É V Y , É diteu r
- a b r i e l e d ’A n n u n z i o vol . — 1 — — 1 — GABRIELE D’ANNUNZIO LA T O R C H E sous LE B O I S S E A U TRAGÉDIE EN Q U A T R E T R A D U IT E DE ACTES L ’ iT A L IE N PAR ANDRÉ DODERET PARIS CALMANN-LÉVY, ÉDITEURS Y DRAMATIS
- et de brique, du règne des Angevins au règne des Bourbons. Autour, une galerie, riche en sculptures, court au-dessus d’arcades profondes, dont les unes sont encore ouvertes, les autres sont bouchées, les autres soutenues par des étais. Des trois qui
- deux côtés s’ornent d’un m ausolée, s’arrondit sur la porte de la chapelle seigneuriale qui, à travers les jours d’une rosace, laisse passer la lueur de ses lampes votives. A droite, les arcs, plus légers, supportés par des piliers isolés, s’ouvrent sur
- BOISSEAU torchères en fer forgé, des coffres sculptés, une chaise à porteurs peinte, quelques fragments de marbre com plètent l’ameuble m ent. Une fontaine d’un travail délicat, dom inée par une statuette de femme, élève au m ilieu de la salle sa conque
- chancelle, Seigneurie. BENEDETTA. E t l’aigle est tombée du sépulcre de l’évêque B érard. ANNABELLA. Et la fontaine aussi d e Joyzelle s’est tue. T out est bouché par le tartre : les trois cannelles sont sèches. Elle se lève. Elle v a soul ever le di s que
- de pi erre dans le dallage. Elle e s s a ye de donne r l’eau. La clé vire et volte dans la prise, l’eau ne passe plus! Elle laisse r e t o mb e r le disque. Elle r e g a r d e la fontaine. Une cannelle seule donne encore par instant une goutte
- a plu : une averse d ’eau, un orage de grêle : et à présent les hirondelles voltigent par l’o u v e rtu re ... 0 Seigneurie, à quoi penses-tu ? DONNA ALDEGRINA. Où peut être Gigliola? C’est la veille de la Pentecôte, aujourd’hui. ANNABELLA. 11 y a un
- tout sauvage et triste comme le champ de personne. Les paons, à leu r tour, l’ont abandonné. D O N N A A L D E G R I NA. Où peut être Gigliola et son cœ ur? 9 10 LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU ANNABELLA. Elle va par la maison, par les cent pièces
- et guette. BENEDETTA. Il était posté là. E t tout de suite il s’est retiré. Il sera passé par la brèche du m ur, 12 LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU là, derrière la fontaine de Guenièvre, sans doute. L’as-tu aperçu, Annabella? DONNA ALDEGRINA
Le Parfait courtisan du comte Baltazar Castillonnois, es deux langues, respondans par deux colomnes l'une à l'autre, pour ceux qui veulent avoir l'intelligence de l'une d'icelles.
Editeur : Chez Claude Micard
Date : 1585
Sujets : Cour et courtisans| Littérature italienne -- 16e siècle
- Le Parfait courtisan du comte Baltazar Castillonnois, es deux langues, respondans par deux colomnes l'une à l'autre, pour ceux qui veulent avoir l'intelligence de l'une d'icelles.
Le martyre de Saint Sébastien
Editeur : L'Illustration théâtrale
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
- par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
- littérature con l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
- possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
- . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar dont l’histoire littéraire n’aura ja qui eut toujours les yeux
- clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
- * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
- t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se a rc ad e s d u fond o u v
- saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
- les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices