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La fiaccola sotto il moggio : tragedia
Editeur : Fratelli Treves
Date : 1905
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- mi tocchi. E lo sai. Non ho qui nella gola anch’ io la lividura e il gonfiore e la piaga, e la secchezza sempre ? Io non porto le stimate di Cristo, i segni della passione santa. Ma le stimate porto di quella carne che mi generò. E ne sanguino e
- brucio. Non mi fu medicina il mio silenzio. Oggi fa l ’anno che mia madre cadde nella tagliuola orrenda, tratta fu all’ insidia impensata, presa fu dall'astuzia selvaggia nell’ordegno di morte... Ah, ecco il giorno! Oggi parlo, se il dubbio è verità. Si
- solleva agitata. D on n a A l d e g r in a . O Gigliola, mio cuore, tenerezza e spina del cuor mio desolato, o Gigliola, Atto I. - Scena. II o tu piccola, sempre, pe ’ capelli miei bianchi, non mi fare paura, non m’affannare cosi ! D ’ improvviso
- sa di d ove! Si può vivere in pace e avere gioia dalla piuma che cade, dal volo d ’una rondine... Sì, mi ricordo. Vedo ogni mattina Assunta delta Teve seduta su la sedia sua di paglia, laggiù nel vano detta sua finestra, che cuce le lenzuola, ed è
- e g r in a . Oh perchè, se sei dolce, mi fai più pena ? Hai gli occhi asciutti; e sembra che ogni parola tua traversi un mare di pianto, prima d'arrivare a me. Sièditi. G ig l io l a . Sì. Ecco, mi siedo. Sono in pace. Appoggerò la. gota ai tuoi
- ’ immondezza e glie la rigettava contro il viso... Mi ricordo. La vedo. 21 , D o n n a A l d e g r i n A. Ora il tuo capo pesa come il bronzo; ch'era cosi leggero! G ig l io l a . ePsa? Dimmi: perché mille pensieri insieme non hanno il peso d'un pensiero
- a . Io, io farò. Fare bisogna, fare bisogna. Alzarmi debbo, restar diritta in piedi fino all’ora di coricarmi. Baciami la fronte. Mi bacerai a sera un’ altra volta. 24 LA FIACCOLA SOTTO IL MOGGIO Così. M ’alzo. Il coraggio non vacilla, S tanotte i
- di quel vincolo fidecommissario, nella lite che abbiamo coi Mormile! B ertrando. Non divagare. Ti domando ancóra una volta : mi dai quella miseria? T ib a l d o . Ma se ti dico che non ho un tornesel Credimi. B ertrando. Tu mentisci. Non riscotesti
- chi è che mi succhia, chi è che mi dissangua da v en t’anni senza tregua? B ertrando. Di tutto il mio ti sei impossessato con l ’usura. T ib a l d o . Quali erano i beni degli Acclozamòra? Bertrando. Incominciò tuo padre a spogliarci. T ib a l d o
- addentare fino al sangue e all'osso, se non ricevi l ’offa. B ertrando. Non aizzare il mastino, Tibaldo. T ib a l d o . Che vuoi da m e? ch’io mi ti dia legato mani e piedi? vuoi darmi Atto I. - Scena. III 31 la sorte di Giovanna? seppellirmi v iv o
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- * (ÉIHTIOIX* UALZAC) *== » LA SOUS TORCHE LE Re pr é s e n t é e BOISSEAU pour la p r e mi è r e fois s ur la s cène do la Comédie- française, le 7 Dé c e mbr e 1927. CHORUS « A p â tra v T i 7ta0£iv *», tpiyéptov (xOÔoç xàôe qptoveî
- ébranle de fond en comble la maison. Il va m e la démolir ! Benedetta, ne vois-tu pas que s’élargit la fente, là, dans la travée? E t l’on n’a pas encore mis la clé ! Ce Maître Domenico di Pace ne viendra donc jam ais? Veut-il notre m ort? BENEDETTA. Il
- . Ne dem ande pas! Regarde ses yeux. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU G I G L I O L A , d o mi n a n t s ouda i n s on a ngoi s s e , t a ndi s que l a vi si on s ét ei nt e nt r e ses cils. Je suis folle. Voilà ce que tu veux dire, nourrice? J ’ai la
- un ducat ? Il sort. DONNA ALDEGRINA. Attends ! Écoute ta mère. Je t’en supplie! Elle s ui t son fils, qui ne se ret ourne pas. SCÈNE TIBA LD O DE SANGR O V r es t e a s s i s , a u milieu des pa r c h e mi n s , t ête ba ss e , e n c o r e t
- r e ga r d la nourrice qui s' en v a silencieuse me nt , e t mont e dans l' ombre do l’escalier. Pui s elle s’a pproche de son père, e t s a voix tremble. Père, c’est moi. Il n ’y a plus personne. Je suis seule avec toi. Il se lève, t i mi de me nt
- l’obliquité que depuis j ’ai revue mille fois, le masque convulsé que t’a mis cette femme et que tu ne peux t’arrach er... TI BALDO. Mais le vois-tu? ici? l’ai-je donc ici? Q uand je pleure, ne se fend-il pas? Mais qui t’a faite si cruelle? Qui t’a changée
- . Pense que le jo u r où tu me mis au monde ne compte plus; mais que ce jour-ci compte pour mon éternité, si tu m’aides. DO NNA Comment t’aiderai-je? Nous parlons ALDEGRINA. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU pour couvrir la clam eur qui est au fond de
- su r sa poitrine ce pauvre en fa n t... secrètem ent rongé... Est-ce possible? Non, non, c’est impossible. Trop grande serait l’infamie ! TIBALDO. Oh! oh! Pourquoi suis-je né? Mère, pourquoi m ’as-tu mis au m onde? Voilà ce que tu me réservais, à
- pleurant, eu te tordant par terre, quand je voulais m’en a lle r; tu m 'as prise aux genoux; tu as mis ta face dans la poussière pour que je pose mon talon sur ta nuque. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU TIBALDO. E t que tu me reproches les hontes, et que
- tu me rappelles les lâchetés, à présent, q u ’im porte? J ’ai relevé la tête. T u le vois. ANGIZIA. O ui, pas pour longtemps. P our te m ontrer à ceux-là qui t’excitent contre moi. T out à l’heure, tu t’es mis le m asque de l’homme fort devant ta
Francesca da Rimini
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1910
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- , chante-nous la g u erre de Bologne, après que le roi Enzo fut pris... 2V FRANCESCA DA R I MI N I . GARSENDA. Et moi, je vous dis q u ’il vient de F errare. LE JON G l EUR, cr iant, impati enté. Je viens de F errare et je viens de Bologne
- ta m archandise, Gian Figo? B abille, jase, caquette : pour q uatre caquets, on t ’en rend mille! 1. « Chansonnette joyeuse.. 32 F R A N C E S C A DA R I MI NI . A L T I c H IARA. Ecoute-m oi, jo n g leu r. Laisse les rois clans leurs tom beaux
- la l oggi a; elles disparai ssent . A C T E P R E MI E R . 3‘ LE J O N G L E U R . E t ma gonelle! Je vous recom m ande ma bonne gonelle, et l’écarlate. A L T I C H I A R A , se p e n c h a n t du h a u t de l a l oggi a. Reviens à m i-none : ce
- alatesta! Il fait mi ne do par t i r en toute hâte. Ostasio lo r e mpoi gne e t appel le l’a r b a let ri er qui mont e la g a r d e dans la cour. OSTASIO. Jacom ello! LE JONGLEUR. Q u’ai-je fait? P ourquoi me m altraitez-vous? OSTASIO. T rop de
- secours de ses cent fantassins! Mais no vaut-elle pas la seigneurie de toute la Rom agne? N otaire perfide, q u ’as tu mis dans l’esprit de mon père? Il est bien de toi, ce vil m arché! Je n'en veux pas, entends-tu? M A ÎT R E TOLDO. Quelle tarentule
- Pontife, et il a été fait Vicaire de Florence par le roi Charles, et p arto u t on le recherche comme C apitaine... O ST A SIO . A. O notaire, Guido de M ontefeltro l’a pourtant mis en déroute au pont de San Procolo. O 48 F R A N C E S C A DA R I M I N
- . Francesca, où iras-tu? Qui t’enlève à m oi? 1. « H élas! quelle atroce peine — est réservée à mon triste coeur! Hélas! » 2. « Hélas! quel deuil amer — pour ma vie! H élas! » 61 F R A N C E S G A DA R I MI N I . f r ANCESCA. Ah! tu me réveilles. L e c h
- . Nous eûm es peur d e'm o u rir, sous la nuée suspendue. T ’en sou vient-il? Mais nous n ’avons pas fui, nous 08 FRANCESCA D à RI MI NI . n ’avons pas cligné la paupière. Nous avons attendu la foudre. ( E l l e s e t o u r n e v e r s PL'esclave q
- j'oublie! J ’ai aussi à rapiécer avec de l ’écarlate la gonelle de Gian Figo. Il revient à mi-none. B IA N C O FIO R E . Il faut bien q u ’il nous continue le conte de l’écu de M organe et de ce b re u v ag e... ALDA. Gai, gai, noces de m ai! Nous ferons
- rd in où vous êtes entré un jo u r, vêtu d’un vêtem ent qui, en ce doux m onde, se nom m e fraude; m ais vous avez mis le pied dessus, sans la voir; et elle ne repoussa point, quoique votre pied soit léger, m onsieur m on beaufrère. Elle ne repoussa
Contemplation de la mort
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Littérature italienne -- 20e siècle -- Traductions françaises
- pis au milieu de m a page; et je me mis à feuilleter des livres ornés de figures. Le recueil s’offrit à moi des eaux-fortes pascoliennes de Vico Viganô. P our confronter le p o rtrait gravé du poète avec une image d’exacti tude photographique, je
- . Comme s’il eû t répondu à la question que je lui avais posée à mi-voix devant sa table prodigieuse, il me m urm ura à l’oreille : — Quand tu seras ici, alors, oui, je t ’enseignerai un secret. Gaiement je lui dis : — Je ne pourrai venir ta n t que je
- ontré Ses mains et Son côté, et qu’ils avaient vu les m eurtrissures, et que D idym e av ait mis le doigt dans la plaie, et qu’ensuite, Il avait rom pu le pain et l’av ait mangé, qu’il avait m angé un morceau de poisson grillé. « Comment pourrais-tu L
Les victoires mutilées
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1899
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- appelle maître, sa voix devient si affectueuse que votre grand cœur paternel doit en palpiter. LOREN ZO. Tout à l’heure, il avait les mêmes yeux que je lui ai vus quand il s’est présenté pour la première fois devant moi et que je lui ai mis la glaise
- lui demander même ce ses genoux). 32 LA G I O C O N D A . que l’on n’espéra jamais. (Elle lui redresse la tête, l'attire sur son cœur. Il garde les yeux mi-clos et les lèvres serrées, très pâle, Relève-toi, relève-toi! Viens plus près de mon
Les vierges aux rochers
Editeur : Callmann Lévy
Date : 1897
Sujets : Poésie italienne -- 20e siècle -- Traductions françaises
- à ceux qui doivent travailler. » Et alors je reconnus la plus haute de mes ambitions dans le désir d’apporter quelque ornement, d’ajouter quelque valeur nouvelle à ce monde humain qui croît éternellement en beauté et en douleur. M’étant mis face à
- pour tous et aussi pour lui-même en sa propre personne. Plein d’un tel enseignement et solitaire, je me mis à l’œuvre avec l’espoir de réussir à déterminer par un contour précis et fort cette figure de moi-même à l’actualité de laquelle avaient concouru
- ! J’invoque, j ’attends et je prépare la résurrection de ta vertu avec une foi indéfec tible, adorant ton image vraie, ô dominateur 76 LES VIERGES AUX ROCHERS pensif, ô toi qui mis pour signet dans les livres de la Sagesse le fil de ta belle épée nue
Fedra
Editeur : Fratelli Treves
Date : 1909
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- B.U. D E G R E N O B L E D-L TRAGEDIA, DI GABRIELE ANNVNZIO ___________ __ -------------------------- __ TR A G ED IA DI GABRIELlE DANNVNZIO ^ U O T Hèp0 C:tm r-mi r O/y •ont..»u" Lt Vl/£ « S IT M ^ I PRO PRIETÀ LE TTE R A R IA ED
- m irto sacro. (N 'h a n n o i Tebani di Beozia, fatti col vecchio legno delle prue di C adm o nostro.) Spiega egli un peplo splendido. N on mi Anassa, questo a scirelpeplo istoriato, portento di Sidòne, da riporre nell'arca più segreta. IP P O L
Le martyre de Saint Sébastien
Editeur : L'Illustration théâtrale
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle
- lourde épée ibérienne qui fatigue le baudrier. — A rdez-les ou bien ils vous ardent. — U n Phrygien a mis le feu à trois temples. — Qui crée, sinon le feu? — C’est la douleur qui crée. — A h, c’est trop attendre. Pourquoi, pourquoi n ’abrèges-tu pas
- rêves, les rêves qu’enfantent les fièvres. — S u s! Que les buccins recourbés so u fflen t la bataille ! — O Archers, bandez vos arcs et rangez-vous! — Les N iobides ! • — Mi notaure, M inotaure d’A sie, gorgé de vierges et d’adolescents! — E lles
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- lourde épée ibérienne qui fatigue le baudrier. — A rdez-les ou bien ils vous ardent. — U n Phrygien a mis le feu à trois temples. — Qui crée, sinon le feu? — C’est la douleur qui crée. — A h, c’est trop attendre. Pourquoi, pourquoi n ’abrèges-tu pas
- rêves, les rêves qu’enfantent les fièvres. — S u s! Que les buccins recourbés so u fflen t la bataille ! — O Archers, bandez vos arcs et rangez-vous! — Les N iobides ! • — Mi notaure, M inotaure d’A sie, gorgé de vierges et d’adolescents! — E lles
Le martyre de Saint Sébastien : mystère composé en rythme français / par Gabriele D'Annunzio : et joué à Paris sur la scène du Châtelet le XXII mai MCMXI avec la musique de Claude Debussy
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1911
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle