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La torche sous le boisseau

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1928

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises

  • 1928
  • * (ÉIHTIOIX* UALZAC) *== » LA SOUS TORCHE LE Re pr é s e n t é e BOISSEAU pour la p r e mi è r e fois s ur la s cène do la Comédie- française, le 7 Dé c e mbr e 1927. CHORUS « A p â tra v T i 7ta0£iv *», tpiyéptov (xOÔoç xàôe qptoveî
  • ébranle de fond en comble la maison. Il va m e la démolir ! Benedetta, ne vois-tu pas que s’élargit la fente, là, dans la travée? E t l’on n’a pas encore mis la clé ! Ce Maître Domenico di Pace ne viendra donc jam ais? Veut-il notre m ort? BENEDETTA. Il
  • . Ne dem ande pas! Regarde ses yeux. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU G I G L I O L A , d o mi n a n t s ouda i n s on a ngoi s s e , t a ndi s que l a vi si on s ét ei nt e nt r e ses cils. Je suis folle. Voilà ce que tu veux dire, nourrice? J ’ai la
  • un ducat ? Il sort. DONNA ALDEGRINA. Attends ! Écoute ta mère. Je t’en supplie! Elle s ui t son fils, qui ne se ret ourne pas. SCÈNE TIBA LD O DE SANGR O V r es t e a s s i s , a u milieu des pa r c h e mi n s , t ête ba ss e , e n c o r e t
  • r e ga r d la nourrice qui s' en v a silencieuse­ me nt , e t mont e dans l' ombre do l’escalier. Pui s elle s’a pproche de son père, e t s a voix tremble. Père, c’est moi. Il n ’y a plus personne. Je suis seule avec toi. Il se lève, t i mi de me nt
  • l’obliquité que depuis j ’ai revue mille fois, le masque convulsé que t’a mis cette femme et que tu ne peux t’arrach er... TI BALDO. Mais le vois-tu? ici? l’ai-je donc ici? Q uand je pleure, ne se fend-il pas? Mais qui t’a faite si cruelle? Qui t’a changée
  • . Pense que le jo u r où tu me mis au monde ne compte plus; mais que ce jour-ci compte pour mon éternité, si tu m’aides. DO NNA Comment t’aiderai-je? Nous parlons ALDEGRINA. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU pour couvrir la clam eur qui est au fond de
  • su r sa poitrine ce pauvre en fa n t... secrètem ent rongé... Est-ce possible? Non, non, c’est impossible. Trop grande serait l’infamie ! TIBALDO. Oh! oh! Pourquoi suis-je né? Mère, pourquoi m ’as-tu mis au m onde? Voilà ce que tu me réservais, à
  • pleurant, eu te tordant par terre, quand je voulais m’en a lle r; tu m 'as prise aux genoux; tu as mis ta face dans la poussière pour que je pose mon talon sur ta nuque. LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU TIBALDO. E t que tu me reproches les hontes, et que
  • tu me rappelles les lâchetés, à présent, q u ’im porte? J ’ai relevé la tête. T u le vois. ANGIZIA. O ui, pas pour longtemps. P our te m ontrer à ceux-là qui t’excitent contre moi. T out à l’heure, tu t’es mis le m asque de l’homme fort devant ta
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Contemplation de la mort

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1928

Sujets : Littérature italienne -- 20e siècle -- Traductions françaises

  • 1928
  • CALMANN-LÉVY, 3, RUE ÉDITEURS AUBER, 1928 3 Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous les pays. ENVOI AU D I S C I P L E PISAN M on jeune ami, pour cette feuille de laurier que vous me cueillîtes sur la
  • pis au milieu de m a page; et je me mis à feuilleter des livres ornés de figures. Le recueil s’offrit à moi des eaux-fortes pascoliennes de Vico Viganô. P our confronter le p o rtrait gravé du poète avec une image d’exacti­ tude photographique, je
  • . Comme s’il eû t répondu à la question que je lui avais posée à mi-voix devant sa table prodigieuse, il me m urm ura à l’oreille : — Quand tu seras ici, alors, oui, je t ’enseignerai un secret. Gaiement je lui dis : — Je ne pourrai venir ta n t que je
  • ontré Ses mains et Son côté, et qu’ils avaient vu les m eurtrissures, et que D idym e av ait mis le doigt dans la plaie, et qu’ensuite, Il avait rom pu le pain et l’av ait mangé, qu’il avait m angé un morceau de poisson grillé. « Comment pourrais-tu L
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La torche sous le boisseau

Auteur : D'Annunzio, Gabriele (1863-1938)

Editeur : Calmann-Lévy

Date : 1928

Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises

  • 1928
  • lourde épée ibérienne qui fatigue le baudrier. — A rdez-les ou bien ils vous ardent. — U n Phrygien a mis le feu à trois temples. — Qui crée, sinon le feu? — C’est la douleur qui crée. — A h, c’est trop attendre. Pourquoi, pourquoi n ’abrèges-tu pas
  • rêves, les rêves qu’enfantent les fièvres. — S u s! Que les buccins recourbés so u fflen t la bataille ! — O Archers, bandez vos arcs et rangez-vous! — Les N iobides ! • — Mi notaure, M inotaure d’A sie, gorgé de vierges et d’adolescents! — E lles