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- Sujet > Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises [ Enlever ]
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Les victoires mutilées
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1899
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- . BRODAR D. — P7-09. GABRIELE D’ANNUNZIO LES VICTOIRES MUTILÉES TROIS TRAGÉDIES TRADUITES DE L ’iT A LIEN PAR G. HERELLE P AR I S CA L M A N N - L E V Y , 3, r u e É D IT E U R S a u b e r , 3 LA GIOCONDA T R A G É D I E EN Q UA TR E
- harmonie singulière, indique le secret d’une corres pondance profonde entre les lignes visibles et la qualité de l’âme qui les a choisies et qui les aime. Tout y semble ordonné par les mains dune Grâce pensive. L’aspect de cette demeure fait naître l’image
- d’une vie douce et recueillie. Deux grandes fenêtres sont ouvertes sur le jardin qui s’étend audessous. Par l’embrasure de l’une, dans le champ serein du ciel, on aper çoit la colline de San-Miniato, et sa claire basilique, et le couvent, et l’église du
- Cronaca, la Bella Villanella, le plus pur vaisseau de la sim plicité franciscaine. Une porte donne accès à l’appartement intérieur; une autre mène au dehors. C’est l'après-midi. Par les deux fenêtres entrent la lumière, la brise et la mélodie d’avril
- , soudain, avant de quitter le travail, il indiqua par quelques touches autour de la tête une couronne de laurier. Comme cela me plut! Il voulait couronner dans la glaise le rêve inexprimé. ACTE P R E M I E R . 7 Il terminait sa journée par un acte
- s’atténue, disparaît, est effacé par l ’oubli, cesse d’être. Parfois, tout ce qui fut, tout l’horrible far deau du souvenir, tout se condense, s’aggrave, se fait massif, impénétrable et dur comme une muraille, comme une roche que jamais je ne pourrai
- ténèbres de la mort ont passé sur son âme? S’est-il réveillé sans souvenir? Voit-il un abîme entre sa vie qui se renouvelle et la part de lui . 1 LA GIOCONDA. 10 même qui est restée par delà ces ténèbres? Ou bien., ou bien l’Image a-t-elle remonté des
- tout son art, qu’il n’a plus aucune puissance, qu’il est devenu étranger à la beauté. Tantôt, au contraire, il lui semble que ses doigts ont acquis une magique vertu et que, par une simple touche, les formes doivent sortir de la glaise avec la facilité
- fut par son ordre qu’on rapporta ici le pauvre Lucio mourant. Les médecins désespéraient de le sauver; lui seul répétait ACTE PREMIER. 17 avec une foi invincible : « Non, il ne mourra pas, il ne mourra pas; il ne peut pas mourir. » Je le crus. Ah
- faisant signe de se taire. Ne prononcez pas ce nom! LA G IOCONDA. SCÈNE I I I Sur le seuil apparaît L U C I O S E T T A L A , appuyé au bras de SI L V I A , pâle et décharné, les yeux extraordinairement agrandis par la souffrance, avec un sourire
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- Ho Yo immiiiimmmimmmmiimminiirniiïïïï'iiin!!!!! G A B R IE L E D’ANNUNZIO 70 LA T O R C H E SOUS LE BOISSEAU TRAGÉDIE EN Q U A T R E A C T E S TRADUITE DE L ' I T AL I EN PAR ANDRÉ D O D E R E T C A L M A N N -L É V Y , É diteu r
- a b r i e l e d ’A n n u n z i o vol . — 1 — — 1 — GABRIELE D’ANNUNZIO LA T O R C H E sous LE B O I S S E A U TRAGÉDIE EN Q U A T R E T R A D U IT E DE ACTES L ’ iT A L IE N PAR ANDRÉ DODERET PARIS CALMANN-LÉVY, ÉDITEURS Y DRAMATIS
- et de brique, du règne des Angevins au règne des Bourbons. Autour, une galerie, riche en sculptures, court au-dessus d’arcades profondes, dont les unes sont encore ouvertes, les autres sont bouchées, les autres soutenues par des étais. Des trois qui
- deux côtés s’ornent d’un m ausolée, s’arrondit sur la porte de la chapelle seigneuriale qui, à travers les jours d’une rosace, laisse passer la lueur de ses lampes votives. A droite, les arcs, plus légers, supportés par des piliers isolés, s’ouvrent sur
- BOISSEAU torchères en fer forgé, des coffres sculptés, une chaise à porteurs peinte, quelques fragments de marbre com plètent l’ameuble m ent. Une fontaine d’un travail délicat, dom inée par une statuette de femme, élève au m ilieu de la salle sa conque
- chancelle, Seigneurie. BENEDETTA. E t l’aigle est tombée du sépulcre de l’évêque B érard. ANNABELLA. Et la fontaine aussi d e Joyzelle s’est tue. T out est bouché par le tartre : les trois cannelles sont sèches. Elle se lève. Elle v a soul ever le di s que
- de pi erre dans le dallage. Elle e s s a ye de donne r l’eau. La clé vire et volte dans la prise, l’eau ne passe plus! Elle laisse r e t o mb e r le disque. Elle r e g a r d e la fontaine. Une cannelle seule donne encore par instant une goutte
- a plu : une averse d ’eau, un orage de grêle : et à présent les hirondelles voltigent par l’o u v e rtu re ... 0 Seigneurie, à quoi penses-tu ? DONNA ALDEGRINA. Où peut être Gigliola? C’est la veille de la Pentecôte, aujourd’hui. ANNABELLA. 11 y a un
- tout sauvage et triste comme le champ de personne. Les paons, à leu r tour, l’ont abandonné. D O N N A A L D E G R I NA. Où peut être Gigliola et son cœ ur? 9 10 LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU ANNABELLA. Elle va par la maison, par les cent pièces
- et guette. BENEDETTA. Il était posté là. E t tout de suite il s’est retiré. Il sera passé par la brèche du m ur, 12 LA TORCHE SOUS LE BOISSEAU là, derrière la fontaine de Guenièvre, sans doute. L’as-tu aperçu, Annabella? DONNA ALDEGRINA
La torche sous le boisseau
Editeur : Calmann-Lévy
Date : 1928
Sujets : Théâtre (genre littéraire) italien -- 20e siècle -- Traductions françaises
- prose, compose des mots qui deviennent du nous la remplacerons par une revue prix ! meilleur italien. C’est un innovateur, « d’avant-premières », en choisissant » Arrivent ses pièces, ses insuccès un rénovateur merveilleux. » parmi les innombrables
- par la célébrité de M. d’Annunzio tines qui ornent ses villas, les vingt- gaieté une des bizarres légendes qui et par les conditions mêmes dans quatre lévriers qui habitent sa maison l’ont peu à peu environné. « — Une fois, certaine tragédienne
- littérature con l’épaule deux cent mille francs pour priété qui déconcerte. Il le reconnaît temporaine. Mais, par surcroît, tout aller en Amérique : « Fi donc ! fait-il, lui-même, et en donne l’explication : en lui — et même hors d é lui — semble » de quoi
- possède la langue française, mais mérer ses cravates, ses cannes et ses tique, sur un brigantin... Est-ce que qu’il en ait la science profonde, il par ce détail, dès sa naissance, le sort gants. On dit qu’il part pour Chypre serait assez superflu d ’y
- . Atticisme pur. N ’y nité par les mains de la France, par atteint pas qui veut ! » finements exquis, et mille caquets les mains de cette grande semeuse Grand érudit, vient d ’écrire M. Mar dont l’histoire littéraire n’aura ja qui eut toujours les yeux
- clairs et la mais que faire, telles que brouilles cel Boulenger ; oui, et à ce sujet pensée claire pour avoir vu la Mi conjugales, femmes abandonnées, que M. Jean Carrère précisera, de son côté : nerve du Capitole ; par les mains de sais-je encore
- * * aux périodes cicéroniennes. Cette folie vait alors au milieu de la nef et, prêt E t néanmoins comment vint à im p r e s s io n (Voir la suite àl' avant-dernière page de la couverture.) Martyre de Saint eL Sébastien M YSTÈRE EN C IN Q ACTES par
- t sue, ta n d is que des esclaves accroupis bercent ses pieds énorm es déform és par lourds, qui se m ir e n t dans les dalles polies. P a r les sept la podagre. P a rfo is, d 'u n m ouvem ent de colère soudaine se a rc ad e s d u fond o u v
- saies. Jule Andronique, éveille-toi! — Quelqu’un va venir? — I l dort dans sa chaire d’ivoire Le soir approche, le soir tombe. laissant dorloter sa podagre — N e devaient-ils donc pas marcher, par ses esclaves délicats. pied s nus, sur la braise? I l est
- les aimes. — Qui a parlé? — Tu les m énages. — Qui a crié? —- I l ne s u ffit p as qu’on en fasse — I l y a des chrétiens ici. des colonnes caryatides — Qu'on cherche! pour les regarder. — M aintenant, LES H ERAUTS qu’ils passent par tous les supplices